Cest pas l’homme qui prend la mer qu’on voit danser. Création le 26 janvier 2018 : Espace Michel Simon (Noisy-le-Grand) Mise en scène: Hervé Devolder; Interprétation : Jacques Mougenot (Le cas Martin Piche, l'Affaire Dussaert) Adrien Biry-Vicente; Milena Marinelli; Catherine Arondel; Isabelle Fleur; Les données de ce spectacle sont incomplètes Dates Dates 2017
Toute femme a une petite part en elle qui rêve de l’amour parfait et de l’homme qui saura se battre pour elle et la rendre heureuse. Il faut avouer qu’avoir une personne attentionnée au quotidien est très agréable. Les astrologues vous dévoilent mesdames, les 4 hommes du zodiaque les plus à même de vous couvrir de petites attentions, de vous choyer et de vous traiter comme une reine Mais il y a des hommes qui ont tout pour plaire. Tout pour vous plaire ! Ces hommes vont offriront tout ce dont vous avez besoin et tout ce dont vous rêvez. Et bien plus, d’ailleurs ! Et ces hommes sont nés sous les quatre signes du zodiaque suivants 1-Lion Généreux et investi, le Lion sait traiter une femme avec respect et amour. Si vous avez la chance de rencontrer un homme de ce signe astrologique et qui de surcroît est amoureux de vous, sachez que lorsqu’il est dans une relation, il demeure loyal notamment lorsqu’il est sûr d’avoir trouvé la bonne personne. Comme le Lion aime tout ce qui brille et être sous les feux des projecteurs, il n’hésite pas à gâter sa partenaire et lui offrir les plus belles parures. De plus, c’est un homme fiable qui sait être fidèle à la femme qu’il aime, d’autant plus que c’est un homme qui a le sens de la famille. Avec ce félin du zodiaque, vous serez traitée non pas comme une princesse mais comme une vraie reine. 2-Taureau Un homme né sous ce signe traite sa femme comme une vraie reine, et cela ne le dérange pas d’en faire des pieds et de mains pour la rendre heureuse. C’est le genre de mec qui sait voir tous les efforts que sa partenaire fait pour lui. Il ne ferme pas les yeux devant tous les sacrifices qu’elle fait pour que leur relation fonctionne. Et il sait comment donner en retour. Un homme comme lui, vous aimera, prendra soin de vous, vous séduira toujours, et il ne se lassera jamais de vous. A ses côtés vous vous sentirez spéciale, même pendant les jours où vous ne vous aimez pas. Il n’aura d’yeux que pour vous dans une pièce pleine de belles femmes, et avec d’un seul sourire, il fera sursauter votre cœur. Même s’il est pro lorsqu’il s’agit de séduction, il ne s’en servira jamais contre vous et il vous sera fidèle. Il sait que les vraies femmes sont difficiles à trouver, et il n’échangerait jamais son diamant contre une pierre. 3-Cancer C’est l’un des signes astrologiques les plus sensibles et les plus émotionnels du zodiaque et il le montre quotidiennement à sa partenaire. Avec un homme comme lui, vous serez submergée de baisers et de câlins parce que c’est sa façon d’exprimer son amour. Il réalisera tous les souhaits de sa partenaire et ça ne le dérangera pas de le faire. Il préfère rester avec sa partenaire à la maison, regarder un bon film plutôt que de sortir avec ses amis et de s’amuser. Il a tout le potentiel d’un mari parfait et il n’est pas étonnant que toutes les filles qui sortent avec des Cancers soient heureuses et épanouies. Un homme Cancer sera votre soutien quand vous ne saurez pas quoi faire. Il sera votre bon sens quand vous serez perdue et votre meilleur ami quand vous aurez besoin d’une épaule pour pleurer. Il est le genre d’homme qui vous fera toujours passer en premier, même si cela signifie qu’il finira par être blessé. Quand il aime, il fait tout ce qu’il peut pour qu’avec lui, vous sachiez toujours où vous en êtes. 4-Capricorne Le travailleur acharné du zodiaque fait tout pour ne jamais manquer d’argent. On peut même lui reprocher de délaisser sa vie privée au profit de son travail. Mais ce qu’il faut retenir, est que si ce signe de terre pragmatique est souvent un bourreau de travail, c’est aussi pour prendre soin des personnes qu’il aime, notamment la femme de sa vie. L’homme Capricorne a les pieds sur terre et ne fera rien de stupide pour perdre l’amour qu’il a peiné à trouver. Car oui, il est difficile et exigeant en amour, mais lorsqu’il trouve la perle rare après avoir pris le temps de la connaître, il n’hésite pas à lui mettre la bague au doigt, l’aimer et la choyer telle une reine. Sous son apparence froide, le Capricorne peut cacher un homme au cœur d’artichaut qui ressent fortement l’amour pour la femme qu’il a choisie. Il fera tout pour qu’elle se sente unique et privilégiée. Par ailleurs sachez pour autant que tout homme amoureux a la capacité de traiter la femme de sa vie comme une reine. Chaque homme a sa façon d’exprimer son amour à sa manière et en fonction de sa personnalité. Sur le même sujet
Certainsd'entre vous savent que je suis quelque peu musicienne. Et j'apprécie particulièrement interpréter la musique celtique (irlandaise, galloise, écossaise, bretonne, etc.), avec quelques amis musiciens amateurs. Nous
Portrait François Richer C’est pas l’homme qui prend la mer » !Africa-Press – Congo Brazzaville. Cap sur Pointe-Noire où François Richer, grand spécialiste de toutes les pêches, fin cuisinier et installé au Congo depuis 10 ans, flirte depuis toujours avec les océans. Comme dit la chanson C’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme »Il est né en France en 1969, dans une petite commune d’à peine 20 000 habitants appelée Saint Lô au cœur de la région de Normandie. François Richer a grandi dans un milieu modeste, entre une mère au foyer et un père employé aux PTT Postes et télécommunications dont il a gardé l’uniforme bleu de nuit. Cette veste de facteur, j’y tiens, elle est vintage, presque collector, c’est un souvenir d’enfance du temps où j’ai commencé la pêche avec mon père dans les marais du Cotentin. On y pêchait le brochet et la perche, deux poissons carnassiers d’eau douce. L’amour de la pêche m’est venu de cette époque de l’enfance », s’est-il souvenu. Comme hameçonné à cet amour de la pêche, François désertera une école qu’il n’aime que trop peu pour s’embarquer dès l’âge de 17 ans sur un caseyeur bulotier au port de Granville. L’ancre est levée, voilà François devenu matelot à pêcher ces mollusques marins qu’on appelle bulots. C’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme », chantait aime bien Renaud. Il aime aussi les chansons de marins qu’il connaît sur le bout de ses doigts qui se frottent au sel des océans car, de Granville à la Baie de Pointe-Noire, c’est une longue histoire. C’est d’abord, à l’est du Cotentin, un autre bateau, Le Laëtitia », la pêche à la drague ou au chalut et les coquilles Saint-Jacques, très recherchées par les gastronomes. Il y a eu une rencontre formidable avec un homme hors du commun, Jean Paul, avec qui je pêchais la seiche au-delà des côtes et qui m’aura transmis toutes les valeurs de la pêche et le respect de l’environnement. Dans un métier qui te ne fait pas vraiment de cadeaux, je peux dire que lui c’était un bonhomme », a souligné François. Et d’ajouter Quand Jean Paul est décédé, j’ai acheté plus tard mon propre bateau, un doris qui est une embarcation en bois et à fond plat, je pêchais le bar à la canne. Par la suite, j’ai enchaîné avec un bateau plus grand, l’Euréka, pour pêcher les coquilles Saint-Jacques, les raies blanches, les soles, je les revendais moi-même en direct, à la criée ou sur les marchés. De temps en temps, j’allais aussi aux huitres ».Il y aura d’autres bateaux, le Karentez coulé dans l’archipel anglo-normand des Ecréhous, le Formule 1, le Steven, des bateaux toujours de plus en plus grands et quelques rêves à la fin qui dérivent au large. Mon dernier bateau et moi, ça matchait pas trop, il n’était pas assez performant alors j’ai ouvert une parenthèse et je me suis engagé sur les navires des Abeilles, spécialisés dans le remorquage et le sauvetage en haute mer », a lâché François. Mais l’amour de la pêche est le plus fort. Cap sur d’autres horizons, l’Ecosse et la mer du nord ou encore Terre Neuve, au Canada, pour la pêche dans les grands fonds, avec parfois des creux de 12 mètres, des vents à 60 nœuds et où la température fait – 40°. Ce fut d’autres expériences, rudes et magnifiques, avec des paysages d’une autre dimension où j’ai pêché le pétoncle géant ou encore le concombre des mers très prisé par les Asiatiques », s’est illuminé François désormais installé au Congo depuis 10 ans. En dehors de son travail sur un crew boat pour Total Energies, François s’adonne forcément, et dès qu’il peut, à la pêche. De sa passion, il en a fait presque une véritable encyclopédie ! Alors ? Du poisson au menu ? Ici, à Pointe-Noire, j’avoue une préférence pour le bar », a conclu ce presque ichtyologue !Pour plus d’informations et d’analyses sur la Congo Brazzaville, suivez Africa-Press
Cest pas l'Homme qui prend la Mer !.. mais la Mer qui pre | Flickr; C est pas l homme qui prend la mer guitare est; Dessin Rosace A Imprimer - AZ Coloriage; Comme on prend un taxi Je f'rai le tour du monde Pour voir à chaque étape Si tous les gars du monde Veulent bien m'lâcher la grappe, J'irai z'aux quatre vents Foutre un peu le boxon Jamais les océans N'oublieront mon Anonymous774682, le 9/9/2009 Diluvion C’est pas l’homme qui prend la mer! – Découverte -12mnoupas. Par Wildpumpk1n le 11 février 2017 | Pas de commentaires. Partager Tweet. Bonjour à toi moussaillon! Viens donc rejoindre notre équipage dans une folle aventure sentant le fioul et le renfermé à bord de notre beau sous-marin Diluvion! Diluvion est un nouveau jeu en 3D/2D
Mathieu Pernot, un photographe sur les routes de l’exil28 Minutes 18/08/2022Adoptée au cœur de l’Afrique par des semi-nomades28 Minutes 17/08/2022Archive - Salman Rushdie28 Minutes 12/09/2016En 2022, Sherlock Holmes enquête avec un scalpel28 Minutes 11/08/2022“Le gosse” cette enfance que la France a réprimée28 Minutes 09/08/2022Sur le toit du monde, Éric Loizeau fait son nid28 Minutes 08/08/2022L’incroyable postérité des pharaons28 Minutes 04/08/2022Hugo Travers des millions de jeunes suivent l’actu grâce à ses vidéos28 Minutes 03/08/2022
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L'aventure, ce n'est pas quand tu franchis la ligne de départ, c'est quand tu oublies tout ce que tu as fait avant et que tu vas dans l'inconnu. AFP Le skipper Eric Bellion sur son Imoca monocoque AFP Cette conversation téléphonique a été enregistrée le 27 janvier 2017. Eric Bellion est toujours en mer, il devrait arriver dimanche 12 février. Il est 9ème de la course, premier bizuth et son bateau est le prochain à franchir la ligne d'arrivée. Isabelle Autissier Tu fais une course superbe, je suis fière de toi! Éric Bellion Merci. Je mets tout dans la balance mais en même temps, je le fais comme on avait dit avant le départ, en me préservant, en m'écoutant. En allant vite quand je me sens bien. Je ne me mets jamais dans des états pas croyables. J'ai mon superman à côté de moi. Je le regarde de temps et temps et je lui demande "que ferais-tu superman?" Et je fais exactement l'inverse! Plus je fais ça en m'écoutant, plus j'essaie de trouver une harmonie et plus je navigue vite. Ce qui est quand même sympa. Isabelle Autissier C'était vraiment le secret et ça n'était pas gagné que tu y arrives. Tu aurais pu avoir envie, soit de pousser à l'extrême, soit de te recroqueviller et de te faire peur tout le temps. Le secret, c'est le bonheur! C'est vrai que tu arrives à bien gérer ça et à garder le bonheur de naviguer. Il y a des fois où c'est du bonheur d'accélérer et il y a des fois où c'est du bonheur de lever un peu le pied. Éric Bellion C'est exactement ça. A chaque fois, dans les vacations, ils me posaient des questions sur le classement, sur les autres, etc... Je leur disais, ça n'est pas mon truc. Ça ne m'intéresse pas. Déjà, ça n'est pas mon objectif et -en plus- je sais que ça me pourrit ma performance. Si je commence à naviguer en regardant les autres, ça ne m'aide pas. On en parlait avec Bertrand Piccard il n'y a pas si longtemps et il me parlait du moment où commence une aventure. Est-ce que c'est quand tu franchis la ligne de départ? Moi ça n'a pas été le cas. L'aventure, elle arrive quand tu dis "ok, j'oublie tout ce que j'ai fait et je vais dans l'inconnu, je décide de faire quelque chose de nouveau. D'apprendre quelque chose de nouveau." Moi, ça a été dans l'océan indien. Je me suis dit, "ok, je vais aller voir cette dépression". On était trois, quatre à être dans le sud à subir le temps et moi je me suis dit, je ne veux plus subir. Je vais aller voir. Et ça m'a délivré complètement. Isabelle Autissier Ça ressemble pas du tout à ce que tu imaginais? Je parle de ce que tu vis dans ta tête, pas des paysages et de la navigation. Est-ce que c'est complètement différent de ce que tu pensais? Éric Bellion Oui. C'est complètement différent. Je voyais plus de la technique. Je ne voyais pas la solitude comme ça. Je ne voyais pas la solitude de la décision. Ça n'est pas le fait d'être seul, de vivre seul sans personne à qui parler. Ça, ça ne me pose pas trop de problème. C'est d'avoir la responsabilité de sa vie, de sa sécurité, de son intégrité et c'est toujours toi qui est le maître de la décision, qui va mettre ça en péril ou pas. Et qui est maître de la solution aussi. Si tu as un problème, c'est toi qui dois trouver la solution. Il n'y a personne d'autre qui va venir t'aider. Et ça, c'est assez incroyable. Isabelle Autissier Ça t'a paru difficile au début? Comment tu vis ça? C'est ça qui est le plus important, c'est l'éloignement. Tu es seul parce que tu es loin et tu es seul parce que c'est toi qui décides tout et c'est toi qui passes à la caisse, que ça soit en bien ou en moins bien. Éric Bellion Surtout quand tu n'as pas beaucoup d'expérience de l'IMOCA. Moi, avant le Vendée Globe, j'ai fait deux fois une semaine de navigation en solitaire dessus. ... Pour moi, tout est toujours aussi difficile parce que ça change. Le bateau, je le connais mieux. On fait corps tous les deux donc le bateau, je lui demande autre chose. Je l'emmène sur un autre territoire. Il n'est pas question que je fasse avec lui les mêmes choses qu'il y a un ou deux mois. Au début, j'étais très crispé par cette responsabilité. J'avais vraiment peur de chaque décision. Au fur et à mesure, j'ai appris à me faire confiance. Ça devient plus facile mais les décisions sont plus difficiles. Il faut se faire confiance. Je vais trouver la solution, ça ne sert à rien de se prendre la tête. Ça va le faire et si j'ai un problème, je vais trouver la solution, ça, c'est le Vendée Globe qui me l'a donné et c'est quelque chose qui va me servir dans ma vie d'homme. Isabelle Autissier C'est sûr. Ça, ça reste après, toute ta vie. Je pense que ça vient aussi du sentiment que tu as aussi le droit de te tromper. Tu vas prendre une décision. Tu vas prendre la meilleure possible en ton âme et conscience. Il n'y a pas une obligation absolue et un couperet sur le fait que tu serais bon ou tu ne serais pas bon. On fait tous des conneries et on a le droit d'en faire. Je pense que ça, c'est s'autoriser à se dire que l'on n'est pas complètement sûr lorsque l'on prend une décision. Éric Bellion Je suis complètement d'accord. Et de toute façon, pour prendre cette décision, il n'y a personne de mieux placé que moi. Et si je me plante, je me plante. Et ce qui est assez génial aussi, c'est de voir à quel point l'instinct de marin se développe. Le nombre de fois où j'ai pris un ris juste parce que je le sentais et, quand je ferlais la Grand Voile, le vent s'engouffrait. Il était en fait grand temps de prendre un ris. C'est fou. Isabelle Autissier Parce que tu fais corps avec la mer et avec le bateau. Tu perçois des tous petits signes, des choses auxquelles ton esprit n'aurait pas fait attention auparavant. Ces petits signes allument des petites lampes dans ta tête et ça va t'amener à prendre une décision. Tu es plus en cohérence. Il y a quelque chose en toi qui est plus attentif à ce que tu vis tout de suite et à ce qui se passe. Je pense que ça aussi, c'est quelque chose qui reste après. C'est une façon de percevoir des choses de manière plus immédiate et plus profonde. Ce sont des choses sur lesquelles, d'habitude, tu ne t'arrêtes pas où que tu ne perçois pas. Éric Bellion Je suis complètement d'accord. Pour moi, c'est la magie de la mer et des bateaux. Tu es obligé d'être très présent à toi-même et à ce que tu vis. A terre, on est pris par des tas de choses. On est alpagué sans arrêt et c'est extrêmement difficile. Ça demande une énergie colossale pour être présent à ce qu'on fait. Je réalise sur le bateau que, le moment où je me suis senti le mieux, c'est le moment où j'ai été présent. Tu te délivres de tout ce qui est à terre et de la représentation aussi du skipper par rapport au public, aux médias et à la direction de course. Ne serait-ce que le chenal de départ! J'ai mis des jours et des semaines à me laver de cette impression qui était que les gens te regardent. Il y a une espèce d'amplificateur. C'est très difficile d'être présent à ce que l'on fait parce qu'on a l'impression qu'il y a un œil qui nous regarde. Isabelle Autissier Tu as encore quelques jours ou semaines pour en profiter à fond. Il faut vraiment faire le plein de tout ça. Tu vas te retrouver dans l'arène en arrivant. Ça va être beaucoup de bonheur parce que franchement c'est que du bonheur d'arriver et tu le partages avec les gens. Je crois que je t'avais raconté ce que Jean-Luc Van den Heede m'avait dit et que je n'ai vraiment jamais oublié. A son retour du Vendée Globe, il m'avait dit "ce qui est très difficile quand tu rentres, c'est que tout le monde te dit que tu es génial et il ne faut surtout pas les croire." Je me suis toujours souvenu de ça parce que c'est vrai. Tu fais une belle course, les gens vont te féliciter pour ça et c'est bien. Tu vas partager un truc vachement sympa et tu en es à l'origine. Il ne faut pas se dévaloriser. Tu ne sais pas l'influence que tu vas peut-être avoir sur des gens à terre. Et en même temps, il y a juste toi avec toi-même. C'est très intéressant. Ce sont des choses qui se vivent longtemps après. Profite à fond, tu verras qu'il y a des choses qui vont se mettre en place. Qui vont changer mais même longtemps après le retour. C'est un truc qui va vivre en toi pour toujours. Éric Bellion J'en suis sûr, je sais qu'il va falloir que je prenne mon temps pour digérer. J'ai vu dès le départ à quel point je changeais vite. J'évolue. Je ne sais pas forcément vers quoi mais j'ai conscience qu'on ne devient pas génial parce qu'on a fait le Vendée Globe! Quand je voyais des marins terminer un Vendée Globe, je trouvais ça extraordinaire et je voyais les marins comme des héros. Après, quand tu es de l'autre côté du miroir, tu fais juste ton travail de marin et le grand truc, c'est d'avoir accepté de se lancer dans l'aventure. Après c'est un métier de marin. C'est découvrir des ressources que tout le monde à en soi. Tu les révèles. Isabelle Autissier C'est bien aussi que les gens puissent côtoyer et s'inspirer de personnages qui vont sur des terrains inconnus. Mais tu réaliseras tout ça quand tu mettras le pied à terre et tu as encore un peu de temps. Éric Bellion Quand on franchit le Cap Horn, on a envie d'aller raconter à plein de gens qu'on a traversé l'océan austral. T'aimerais bien que ça se termine à ce moment-là, au Cap Horn en fait. T'as tellement de trucs à raconter et tu es tellement fier de toi. T'as eu peur et tu as affronté tellement de choses. Et après, une fois remonté, c'est difficile de se dire qu'il faut profiter de cette remontée. Ça a mis quelques jours pour changer d'objectif. Et l'objectif c'est d'être heureux sur son bateau et il n'y a que ça. C'est génial d'être là, en ayant fait tout ce trajet. Isabelle Autissier Et c'est normal d'avoir des moments d'impatience. Dans le grand sud, c'est quand même l'exaltation, les angoisses, la bagarre. La remontée, c'est un peu long parce que tu avances moins vite. Ça m'est arrivé de me dire, "qu'on en finisse" mais c'est complètement con parce que, quand ça sera fini, je penserai avec nostalgie à ces moments-là. C'est bien de se ramener à la réalité et se dire que sur 6,5 milliards d'êtres humains, vous êtes 20 à vivre ça. C'est un privilège incroyable que vous êtes allé chercher les uns les autres. C'est à la fois énorme et rien du tout. Éric Bellion ça ne sert à rien d'avoir autant travaillé pour rêver à autre chose. Rêver à un autre projet alors que je suis là. On m'a beaucoup posé la question, "et après? et après?", mais ça ne m'intéresse pas. C'est le maintenant qui m'intéresse. Je suis content de discuter de tout ça avec toi Isa, parce que tu es une des personnes qui m'a inspiré. Je suis super heureux d'en causer avec toi. À voir également sur Le HuffPost
Cest-pas-l'homme-qui-prend-la-mer[de]-c'est-la-mer[de]qui-prend-l'homme. 07 avril 2009. Start with the Begining Maouhh songe sérieusement à travailler ds l'évènnementiel tellement sa vie se résume aux soirées organisées pendant les vacances YouYouuuu ^^ Maouhh aime la photo , la danse , l'inconnu , et par dessus tout les fêtes taurines. Maouhh ne croit pas au destin ,psk elle Scénario Spectare - C'EST PAS L'HOMME QUI PREND LA MER, C'EST LA MER QUI PREND L'HOMME1m76 - 62kgCheveux violets - lisses - mi-longsYeux dorés - perçants - acuité visuelle 10/10Visage fin - inexpressif le 3/4 du tempsCorps svelte - athlétique sous ses vêtements - agilité 9/10Kyanos a toujours été une personne loyale envers les gens, mais aussi envers ses convictions, l’ordre et les lois. Il n’aime décidément pas le chaos. Sur l’eau, il faut être toujours bien préparé à toute éventualité et cela pour de très bonnes raisons. Mère nature peut être sacrément cruelle par moment. C’est pourquoi il est important de toujours suivre les règles de navigation par exemple ou bien les conseils de marins plus expérimentés. Il faut aussi savoir suivre ses instincts sur ce que l’on croit bien ou mauvais. On sera toujours récompensé d’une bonne action que d’une mauvaise action. Le marin le sait et c’est pourquoi il n’hésitera jamais à dénoncer une personne qui va à l’encombre des règles de Novabi. Un travail bien fait c’est un travail suivi à la est aussi calme et serein qu’une déferlée de vagues légères sur une plage. Il ne montre pas ses émotions, ni ses sentiments sur son visage, mais par ses mots et ses gestes. Il n’est pas du genre violent, mais il sait se montrer ferme lorsque nécessaire. Kyanos n’est pas non plus du genre à hausser la voix, mais s’il doit interpeler quelqu’un qui trouble l’ordre de l’archipel dans une tentative inutile de s’enfuir de là, il le fera. Néanmoins, il fera tout en son pouvoir pour arrêter le trouble-fête, dans le respect des lois, bien sûre. Il n’est pas très enclin à user de la force et préfèrera nettement mieux parlementer avec l’individu en premier un homme très déterminé aussi. Quand il a une idée en tête, c’est très difficile de le dissuader d’arrêter d’y penser et encore moins, de l’empêcher de l’accomplir. Aussi, ce n’est pas une personne qui peut se faire acheter alors, les pots de vin et les messes basses, c’est hors de question. Ce n’est pas pour rien qu’il n’affiche jamais rien sur son visage même si la personne pleure devant lui ou tente de l’amadouer. Il reste bien stoïque à la détresse humaine. Être honnête c’est un peu son modus operandi. Il faut savoir être honnête avoir soi-même, mais aussi avec les autres gens qui nous entourent. Encore là, cela va dans le sens de sa bonne foi et d’aider son prochain à garder la tranquillité des lieux. Le garde de côte préfère dire la vérité même si elle peut sembler cruelle ou faire mal que de mentir pour paraitre mieux aux yeux de la personne. Un mensonge en entrainera certainement un autre et ainsi de suite jusqu’à se retrouver embourbé dans une histoire fausse ou une fausse représentation de soi. Kyanos travaille toujours très fort aussi. Il aime que tout soit ordonné et propre autant chez lui, dans son appartement, que sur le bateau des gardes de côte. Comme il a le pied marin et beaucoup de difficulté à rester sur la terre ferme, il préfèrera dormir sur le navire que de faire le chemin jusqu’à son domicile. Sa vie reste l’eau et ses remous. C’est sa maison et il y ressent un très fort bien-être. Plus à l’aise sur l’eau que sur terre, il ne mettra pied que si cela est nécessaire et cela bien malgré temps normal, il ne parle pas beaucoup, préférant observer ce qui l’entoure. S’il a besoin de s’exprimer, il le fera. S’il doit jouer le diplomate, le garde de côte le fera aussi, mais chacun de ses mots sera réfléchi et bien pesé. Persuader une personne à renoncer à sa liberté prend tout de même de l’expérience. On ne peut pas dire n’importe quoi et espérer que l’autre abdique en le remerciant du fond du cœur de lui avoir ouvert les yeux, hein? Tout doit être calculé et réfléchit et c’est une habitude que Kyanos a prise avec le temps. On ouvre la bouche que pour dire quelque chose d’intelligent. dernière petite chose à savoir sur lui c’est que le jeune homme est très lunatique. Il part souvent dans la lune, surtout lorsqu’il repense au passé ou à voguer plus loin que l’archipel. Cependant, ce ne sont que des vestiges du passé, rien qui le persuaderait de retourner affronter les flots des mers et de l’océan au loin là-bas. Ses camarades ont tendance à le bousculer un peu pour le sortir de cette transe lunatique et c’est bien l’un des rares moments où le violet affiche une expression de confusion sur son visage. Il manque parfois des trucs, mais jamais rien d’important!Un type favoris? Le type eau à 200%. Ayant toujours eu la mer comme seule impitoyable amante et seul véritable amour de génération en génération dans sa famille, il va sans dire que les pokémons aquatiques sont ce qu’il préfère. Il ne fait pas semblant, loin de là. L’eau douce, mais surtout l’eau salée, c’est ce qui le fait vibrer. Il va au gré des vagues et du tempérament de mère nature, tout comme les pokémons de type eau. Un pokémon craint? Le type électrik en général? Étant la plus grande faiblesse de l’eau, conducteur naturel de l’électricité, quoi de plus effrayant qu’une décharge surchargée? Les pokémons électriques sont dangereux et peuvent être mortels sur l’eau. En rester loin, c’est le minimum. Point barre. Son lien avec les pokémons? Kyanos n’a jamais possédé de pokémon lorsqu’il était dans la région de Kanto. Pas le temps pour cela lorsqu’on avait la grandeur des mers et de l’océan à naviguer et à découvrir. Pourtant, il a toujours eu une fascination pour les pokémons et leur adaptation aux environnements et à la présence humaine. Les seuls pokémons qu'il a connu de près sont ceux de sa mère, soit son Spoink et sa Nirondelle. Maintenant qu’il est à l’archipel et qu’il a un but précis à réaliser, soit d’empêcher quiconque de quitter les environs par la voie des mers, il a besoin d’un allié de taille. Un partenaire aquatique c’est l’idéal. De génération en génération, la famille Solomos a toujours vécu à Cramois'île. Même si les membres de cette famille de marins pouvaient parcourir les diverses régions sur leurs navires et leurs bateaux, leur port d’attache se trouvait toujours sur cette île flamboyante. L’amour de l’eau, de ce biome aquatique qui parsemait une grande partie du monde permettait à ces gens de découvrir bon nombre de mystères et de rencontrer des gens incroyables. C’est ainsi que le père de Kyanos rencontra sa mère. Jeune adulte d’à peine 20 ans, il avait vogué jusqu’à Hoenn, région lointaine pour ensuite amarrer à la ville portuaire de Nénucrique. Au tout début, il ne devait rester que quelques jours pour amasser vivres et eau potable, mais les jours devinrent des semaines, puis trois mois. L’homme était tombé amoureux de cette femme qui se donnait en spectacle concours après concours avec ses deux pokémons. Il ne manquait jamais de la regarder danser avec ces derniers. Ils finirent par tomber amoureux l’un de l’autre et la belle demoiselle accepta de le suivre sur son bateau pour vivre d’aventures trépidantes et de soleils couchants léchés par les vagues des mers et de l’océan. Après un an de périples dans les eaux sauvages du monde, ils revinrent à Cramois'île pour y donner naissance à un petit garçon. Le petit bébé fut bercer par ses parents et protégé par les pokémons de sa mère, un Spoink enjoué nommé Tourbillon et une Nirondelle sérieuse nommée Ciel. Il n’avait même pas encore un an que le père entrainait déjà son fils sur son bateau à lui faire faire des petits tours de l’île. Son baptême de l’eau dura des années aux côtés de son père et sous la surveillance attendrie de sa mère. Kyanos eu une enfance très heureuse. Enfant doux et calme, il n’exprimait pas visuellement ses émotions, mais ses gestes et ses mots parlaient d’eux-mêmes. La même passion que son paternel et que les générations avant lui s’incrusta dans sa chair et dans son cœur, son âme emplit d’aventures en haute mer. Le jeune garçon ne fit jamais le moindre grabuge, écoutant toujours à la lettre les règles et les avertissements de ses parents et des gens du voisinages. C’était un enfant perçu comme docile et tranquille qui était terriblement sage. Il n’avait pas la fougue des gens de feu, ni le tempérament festif des gens des mers. Le garçon ressemblait au calme d’une mer apaisée et à la flamme dansante sous une brise légère d’une journée d’été. Après quelques autres années, le jeune garçon à la chevelure violette devint un adolescent. Il avait la détermination de pouvoir voguer seul sur les eaux et l’ambition de tout marin qui se respectait. D’apparence calme, il y avait tout de même cette flamme de passion qui s’échauffait en lui. Avoir son propre navire et voyager ici et là sans connaitre sa prochaine destination, c’était son désir de jeunesse. À 18 ans, ses parents le laissèrent aller. On ne pouvait pas retenir la passion de l’océan dans le cœur d’un homme. C’est pourquoi son père offrit à Kyanos son propre bateau, celui-là même qu’il avait reçu de son père auparavant. Quittant donc père, mère et les pokémons de celle-ci, le nouveau marin pris le large, seul, pour la toute première premier voyage, il y en eu d’innombrables autres. Le violette se fit de nombreuses connaissances ici et là, mais jamais il ne restait bien longtemps. Il revint à Cramois'île quelques fois, mais il sentait que sa place était ailleurs. Naviguer c’était bien, mais ce n’était pas un but fixe, un but réel. C’est ainsi qu’à 21 ans, il prit connaissance d’un projet concernant une archipel qui recrutait des gens pour y vivre une aventure des plus extraordinaires. Une aventure sans retour en arrière, mais qui permettrait au marin de s’épanouir c’était plus que certain. Amoureux des eaux, il y trouverait son bonheur à coup sûr, une raison d’être et d’exister. C’est donc sans aucun remord que le jeune homme signa le contrat après l’avoir lu bien scrupuleusement et qu’il s’embarqua dans ce périple sans retour possible. Il avait laissé une lettre d’au revoir à sa famille et avait atterri bien vite sur l’archipel Novabi. Il laissa même son bateau à son père, ne pouvant pas l’apporter avec lui, malheureusement. C’était un nouveau départ après tout. Un nouvel air et de nouveaux horizons s’offraient au marin. Arrivé là-bas, Kyanos rencontra d’autres marins comme lui, devint leur camarade de beuverie et d’histoires saugrenues sur cet archipel et ses mystères. Lui, il ne parlait pas vraiment, mais écoutait, observait. C’était bien beau la vie de marin même sur ces eaux, mais il lui manquait encore là, un petit quelque chose. C’est ainsi qu’il eut vent d’une escouade de garde de côte. Le respect des règles et des lois lui tenait à cœur et il y avait toujours cette passion de l’eau qui envahissait son cœur. N’y pensant pas plus que cela, il s’engagea comme garde de côte même si cela lui attira des railleries de ses camarades marins. C’était un bon job et l’homme avait maintenant la certitude de faire quelque chose de bien et de ainsi que pendant 6 années de sa vie et maintenant encore, il empêcha les fuyards de quitter l’île prenant son rôle très à cœur. Le violet appris aussi à élever son propre partenaire pokémon pour l’aider à capturer les personnes qui se refusaient à suivre les lois de Novabi. Il lui donnait amour, douceur et protection, le traitant comme son propre enfant, un membre de sa famille. Aussi, Kyanos s’obstinait à dormir sur le bateau de la garde de côte parce que l’eau le rassurait bien plus que la terre ferme. Il ne dormait que très peu dans son appartement. L’eau, elle le berçait. La terre, elle ne pouvait pas faire cela. Encore aujourd’hui, il se prépare à une autre journée de boulot, scrutant les vagues et les eaux à la recherche de ce qui ne devrait pas s’y retrouver. Il fait un bon boulot et le garde de côte adore ce qu’il fait. wOpN. 379 185 359 262 64 287 17 194 99

c est pas l homme qui prend la mer tab