NdeyeMarie “Karma” a dit oui à Moussa Versailles devant Dieu et les hommes. L’actrice trùs heureuse, laisse un message trùs coquin à son homme en story sur Instagram.

L’appellation Grand SiĂšcle » attribuĂ©e au XVIIe siĂšcle français dĂ©signe un sommet de civilisation, passĂ© Ă  la postĂ©ritĂ© sous le signe de la grandeur et de la raison, mais qui fut aussi parcouru de passions - mystiques, littĂ©raires, amoureuses, politiques - dont le point commun est la hauteur d’engagement. Grand siĂšcle des Ăąmes » Daniel-Rops, le XVIIe siĂšcle français n’est certes pas univoque. Qu’il s’agisse de foi, de culture ou de gouvernement, on ne s’engage pas de la mĂȘme maniĂšre sous Henri IV, Louis XIII ou au dĂ©but de la rĂ©gence d’Anne d’Autriche que sous le rĂšgne de Louis XIV. Les mentalitĂ©s du premier XVIIe siĂšcle sont marquĂ©es par une tension vers l’hĂ©roĂŻsme, le goĂ»t du romanesque et la conquĂȘte de l’idĂ©al. Marie-JoĂ«lle Guillaume Les inspiratrices du Grand SiĂšcle Le Grand SiĂšcle a laissĂ© dans l’Histoire une marque profonde. Quid des femmes ? Le thĂšme n’avait Ă©tĂ© jusqu’à prĂ©sent qu’effleurĂ©. SpĂ©cialiste du XVIIe siĂšcle, Ă©ditorialiste et confĂ©renciĂšre, Marie-JoĂ«lle Guillaume a dĂ©cidĂ© d’explorer cette question Ă  travers une galerie de onze portraits de femmes Ă©minentes. Le Grand SiĂšcle au fĂ©minin, avril 2022, 382 pages, Ă©ditions Perrin. Loin de ne s’attacher qu’à analyser le rĂŽle des plus illustres, l’auteure nous fait aussi dĂ©couvrir d’autres figures moins connues mais dont l’action fut tout aussi dĂ©cisive. Marie-JoĂ«lle Guillaume nous dĂ©voile ainsi la contribution de ces femmes d’exception Ă  la crĂ©ation du Grand SiĂšcle. Grande libertĂ© d'esprit Sous le long rĂšgne de Louis XIV, traversĂ© de passions tragiques et de dĂ©chirures de l’esprit public, de la Fronde aux querelles religieuses de la fin du siĂšcle sur fond de montĂ©e du libertinage, le pessimisme augustinien domine. Mais l’art de vivre en sociĂ©tĂ© est commun aux deux pĂ©riodes. Dans les cercles de la noblesse et de la haute magistrature, la conversation des honnĂȘtes gens », faite d’amour des mots, de courtoisie rĂ©ciproque et d’intĂ©rĂȘt trĂšs vif pour les saillies de l’esprit, devient un grand jeu littĂ©raire oĂč se polit la civilisation française. Le revers de la mĂ©daille est la tentation, Ă  laquelle cĂšderont les Solitaires de Port-Royal, de rompre en visiĂšre » avec un monde en reprĂ©sentation permanente pour mieux viser l’absolu. Evoquer les femmes du Grand SiĂšcle, c’est prendre conscience qu’au premier comme au second XVIIe siĂšcle les Ă©lites fĂ©minines ont jouĂ© un rĂŽle dĂ©terminant dans cette affirmation et cette Ă©volution de la vie spirituelle, intellectuelle, sociale et politique de leur temps. Inspiratrices ou actrices, mĂ©diatrices d’idĂ©es et de comportements, certaines d’entre elles furent des Ă©ducatrices de la sociĂ©tĂ©, d’autres des pionniĂšres de l’indĂ©pendance fĂ©minine. Toutes ont tĂ©moignĂ© d’une grande libertĂ© d’esprit et d’allures et d’un attachement sans faille Ă  ce qui leur semblait essentiel. Ce faisant, elles ont fĂ©condĂ© leur temps. À les voir vivre, on mesure l’écart qu’il peut y avoir entre les normes rigides d’une sociĂ©tĂ© d’ordres », comme l’était le XVIIe siĂšcle, et la rĂ©alitĂ© humaine quotidienne qui permettait de s’en Ă©chapper en souplesse, au prix d’un peu de constance et de volontĂ©. Car il y a un paradoxe dans le destin des grandes figures fĂ©minines de l’époque. À considĂ©rer leur statut juridique, elles sont fort peu libres, passant de la tutelle de leur pĂšre Ă  celle de leur mari, voire des autoritĂ©s de leur couvent. Comme au siĂšcle prĂ©cĂ©dent, elles sont exclues des charges publiques, et la puissance de leur Ă©poux, Ă  la fois de droit divin par le sacrement de mariage et de droit naturel selon les rĂšgles de l’État, fonde les dĂ©cisions de leur vie quotidienne. Seules les veuves jouissent d’une autonomie juridique, ne dĂ©pendant plus que d’elles-mĂȘmes et pouvant gĂ©rer leurs biens comme bon leur semble. Encore faut-il qu’elles rĂ©ussissent Ă  Ă©chapper aux pressions des parents pour un remariage une Madeleine de La Peltrie, pionniĂšre des missionnaires de la Nouvelle-France, ne put partir pour le QuĂ©bec, en 1639, qu’au prix d’un stratagĂšme rocambolesque pour Ă©chapper Ă  sa famille. En revanche Mme de SĂ©vignĂ©, veuve Ă  25 ans, sut imposer au conseil de famille sa volontĂ© de ne pas se remarier, mais d’élever ses deux enfants et de gĂ©rer ses biens comme elle l’entendait. Notons que ce sont d’abord des veuves, issues de la haute magistrature et de la noblesse, qui constituent Ă  partir de 1634 la puissante confrĂ©rie des Dames de la charitĂ© de l’HĂŽtel-Dieu de Paris, gĂ©rant en toute autonomie les finances et l’administration des Ɠuvres de saint Vincent de Paul, depuis les secours sur le front des guerres jusqu’aux missions lointaines, en passant par lƓuvre des Enfants trouvĂ©s. Mais il n’y a pas parmi ces femmes que des veuves, ce qui nous conduit Ă  prĂ©ciser que d’autres Ă©lĂ©ments entrent en ligne de compte pour une juste apprĂ©ciation du statut de la femme au XVIIe siĂšcle. Distinguons-en deux. D’abord, la prééminence des hiĂ©rarchies sociales. PubliĂ© ou mis Ă  jour le 2022-08-23 173344

en ligne des contenus originaux qui mettent l’accent sur le factuel. Avec une mĂ©thode de travail efficiente qui respecte l’éthique et la dĂ©
Retour au menu 30 ans seulement L'annĂ©e 2009 fĂȘte le trentenaire des premiĂšres femmes Gardiens de la Paix. En effet le corps des GradĂ©s et Gardiens de la Paix est restĂ© trĂšs longtemps rĂ©servĂ© aux hommes. 30 annĂ©es ce sont Ă©coulĂ©es depuis et nous voyons partir peu Ă  peu en retraite nos pionniĂšres qui pensent sĂ»rement " 30 ans dĂ©jĂ ! ". Quinze d'entre elles sont encore en activitĂ©. Tenue de cĂ©rĂ©monie de femme Gardien de la Paix 1979-1984 1966 reproduction Lp© La Police, un mĂ©tier d'homme Le 5 mars 1979, cinquante et une femmes intĂšgrent le Centre RĂ©gional d'Instruction de la Police Nationale aujourd'hui Ă©cole de Police de Reims, pour accĂšder Ă  "un mĂ©tier d'homme" comme le soulignait l'affiche de recrutement de l'Ă©poque. Cette annĂ©e lĂ  elles reprĂ©sentent 3,3% des Ă©lĂšves Gardiens de la Paix en France contre 25% aujourd'hui dans les Ă©coles de Police. 1980 reproduction Lp© 1970 reproduction Lp© CĂ©lestin Hennion PrĂ©fet de Police en 1914 et crĂ©ateur des fameuses Brigades du Tigre. Photo Agence Rol. Avant la femme " flic " En 1914, le PrĂ©fet de Police CĂ©lestin Hennion dĂ©cide de la crĂ©ation de douze femmes dactylographes puis en 1935 deux assistantes de police en uniformes sont nommĂ©es Ă  la Direction GĂ©nĂ©rale de la Police Municipale. Directeur et sa secrĂ©taire-dactylo. Paris. 1927.© Jacques Boyer / Roger-Viollet Aubergine tenue Ă©tĂ© 1970 En 1953 les femmes peuvent accĂšder au concours d'Officier de Police Adjoint. Et en 1964 des auxiliaires fĂ©minines sont recrutĂ©es pour le contrĂŽle des stationnements payants et Ă  la surveillance des sorties d'Ă©coles. DĂšs 1968 on assigne les femmes Ă  la protection des mineurs et en 1971 elles accĂšdent Ă  tous les postes de policiers en civil. En 1975 quatre postes sont ouverts dans le corps des commissaires de Police. Mais le Corps des GradĂ©s et Gardiens de la Paix rĂ©siste et c'est finalement en 1979 que le concours s'ouvre aux femmes. "Aubergine". Paris, avril 1976 © Roger-Viollet. Agent de Surveillance de la Police Nationale 1964. Elles seront intĂ©grĂ©es comme Gardiens de la Paix en 1986. Les Aubergines deviennent en 1977 des Pervenches Agent de la PrĂ©fecture de Police Le concours d'entrĂ©e En 1979 le corps des Gardiens de la Paix est ouvert aux femmes et mille candidates se prĂ©sentent au concours. Les 51 premiĂšres seront Ă©lues pour pourvoir au 51 postes ouverts aux femmes. Le concours s'est dĂ©roulĂ© Ă  Paris, Dijon, Lyon, Lille, Marseille, Bordeaux, Rennes, Toulouse, Metz et Tours. Elles devaient ĂȘtre ĂągĂ©es de 21 ans au moins et 26 ans au plus ; mesurer au minimum 1,58 mĂštre. Des Ă©preuves d'Ă©ducation physique, une dictĂ©e cinq fautes Ă©liminatoires, une rĂ©daction et des Ă©preuves d'arithmĂ©tique les dĂ©partageaient ; le tout au niveau du certificat d'Ă©tude. Le traitement des GPx est Ă  cette Ă©poque de 3200 francs 489€, elles effecturont un stage de cinq mois d'Ă©cole et seront affectĂ©es dans une compagnie urbaine en province et Ă  Paris ; voir Ă  la Police de l'air et des FrontiĂšres. Uniforme des premiĂšres femmes Gardiens de la Paix 1979-1984 photo DB©/APP Faites tourner le mannequin avec la souris pour voir la tenue. Au moment du concours leur uniforme n'est pas encore vraiment prĂ©vu, il sera bleu marine comme les hommes mais sera adaptĂ© Ă  leur morpologie fĂ©minine. Au final, ce sera cette tenue ci-dessus Ă  droite qui sera confectionnĂ©e. Une pensĂ©e pour Catherine Choukroun, premiĂšre femme Policier assassinĂ©e en service Ă  l'Ăąge de 27 ans, alors qu'elle assurait un contrĂŽle radar de nuit sur le PĂ©riphĂ©rique Parisien le 20 fĂ©vrier 1991. Retour au menu
LAFEDERATION SUD COMMERCES ET SERVICES. oct. 2021 - aujourd’hui9 mois. Renouvellement des ComitĂ©s sociaux et Économiques des entreprises, nĂ©gocier et suivre les protocoles Ă©lectoraux, participer aux activitĂ©s juridiques et de formation de la FĂ©dĂ©ration, reprĂ©sentation au Conseil de Prud'hommes, Cour d'appel, et tribunal judiciaire.
Cycle Marseille au cinĂ©ma Ă  La Baleine CinĂ©maMarseille 13000Du 17/08/2022 au 30/08/2022Cycle Marseille au cinĂ©ma Ville portuaire bouillonnante, mystĂ©rieuse, solaire et rebelle, Marseille est une ville romanesque qui fascine les cinĂ©astes du monde entier, dans le regard desquels, plus qu'un dĂ©cor elle devient un personnage Ă  part entiĂšre. » CinĂ© Tempo SĂ©lection choisie pour accompagner votre Ă©tĂ© marseillais ! Du 17 aoĂ»t au 6 septembre 2022 Programmation du 17 au 30 aoĂ»t 2022 CORNICHE KENNEDY de Dominique Cabrera France – 2017 – 1h34 Avec Lola Creton, AĂŻssa MaĂŻga, Moussa Maaskri Corniche Kennedy. Dans le bleu de la MĂ©diterranĂ©e, au pied des luxueuses villas, les minots de Marseille dĂ©fient les lois de la gravitĂ©. Marco, Mehdi, Franck, MĂ©lissa, Hamza, Mamaa, Julie filles et garçons plongent, s'envolent, prennent des risques pour vivre plus fort. Suzanne les dĂ©vore des yeux depuis sa villa chic. Leurs corps libres, leurs excĂšs. Elle veut en ĂȘtre. Elle va en ĂȘtre. AdaptĂ© d’un roman de Maylis de Kerangal, un film puissant, subtil et sensuel sur cet instant de tous les possibles l’adolescence. » Les Fiches du cinĂ©ma SĂ©ances Ven 19 aoĂ»t Ă  18h30 ; Mar 22 aoĂ»t Ă  18h30 Film prĂ©sentĂ© en version originale sous titrĂ©e anglais - In[...]
\n moussa versailles et sa premiĂšre femme
MoussaAbadi [note 1], nĂ© le 17 septembre 1907 Ă  Damas et mort le 15 septembre 1997 Ă  Paris, est un homme de théùtre et de radio juif et français, nĂ© en Syrie ottomane.Il est surtout connu pour son action durant l'occupation allemande pour avoir créé, avec son Ă©pouse Odette Rosenstock, le RĂ©seau Marcel.GrĂące Ă  ce rĂ©seau, 527 enfants juifs ont pu ĂȘtre cachĂ©s et À VERSAILLES, C. PÉGARD DÉCAPITE L’IGNOBLE DE VASCONCELOS-TAMPAX, DIVISE LA RÉPUBLIQUE ET FAIT TRIOMPHER LA RÉVOLUTION DES BEAUX-ARTS ! Tel est pris qui croyait prendre », Le rat et l’huitre La Fontaine Je suis dans le lieu emblĂ©matique du pouvoir » C . PĂ©gard Versailles, Clef de l’Art et de la Politique — DUCHAMP CONGÉDIÉ PAR C. PÉGARD ! — APRÈS QUATRE ANS DE RÉSISTANCE CULTURELLE, — LA CDV A GAGNÉ LA BATAILLE DÉCISIVE DE L’INTELLIGENCE ! Victoire historique J. VASCONCELOS chassĂ©e du paradis de Versailles, c’est la mise Ă  nu de Marcel DUCHAMP descendant l’escalier de la gloire ! Plus dure sera la chute. _____________ C’est l’effet TAMPAX ! Coup de théùtre au chĂąteau de MoliĂšre cet Ă©tĂ©. C. PĂ©gard s’était pourtant vantĂ©e d’y exposer la premiĂšre femme d’art new-yorkais, J. Vasconcelos. Mais, entre les deux femmes, le dialogue culturel » a vite tournĂ© au crĂȘpage de chignon autour de l’ignoble Tampax-Lustre, le » “chef d’Ɠuvre” de Vasconcelos qui vient d’ĂȘtre interdit de Galerie de Versailles, dans une tragi-comĂ©die discrĂ©ditant les deux femmes et l’État au dessous de la ceinture du ridicule artistique, pour le plus grand triomphe de la RĂ©volution des Beaux-Arts contre Duchamp ! CHRONIQUE D’UNE RÉVOLUTION ANNONCÉE COMMENT LA DERNIÈRE EXPOSITION D’ART NEW-YORKAIS À VERSAILLES A TOURNÉ AU DÉSASTRE Le 8 dĂ©cembre 2011, nous avions prĂ©venu C. PĂ©gard qu’elle Ă©tait Ă  la croisĂ©e des chemins », qu’elle devait donner un coup d’arrĂȘt Ă  la politique suicidaire de salissure de notre patrimoine », hypocritement menĂ© sous couvert de dialogue » ou de mariage » entre art classique et art contemporain ». À l’annonce de l’exposition Vasconcelos propulsĂ©e sur le marchĂ©, Ă  Venise, par son Tampax-Lustre nommĂ© La Noiva », La FiancĂ©e » en portugais
, nous en avions dĂ©noncĂ© l’ignoble symbole » promis Ă  jouer le rĂŽle du bouquet de fleurs vĂ©nĂ©neuses de Koons dans la chambre de la Reine. Nous l’avions mise en garde Madame PĂ©gard sait-elle que ces Tampax lui colleront Ă  la peau, comme les “sex toys” de Koons ont collĂ© Ă  la peau d’Aillagon, provoquant sa chute ? ». Nous l’avions dĂ©clarĂ©e persona non grata Ă  l’AssemblĂ©e GĂ©nĂ©rale des Amis de Versailles du 11 juin 2012. Elle n’y est pas venue. La reine » PĂ©gard dĂ©trĂŽnĂ©e, aux Amis de Versailles, c’était enfin la RĂ©volution ! COMMENT L’EMBLÉMATIQUE TAMPAX-LUSTRE A FAIT LA RÉVOLUTION EN TROIS ACTES ! ACTE 1, PÉGARD DÉCAPITE VASCONCELOS La FiancĂ©e-Tampax ? C’est sans doute ma crĂ©ation la plus importante et emblĂ©matique, dit Vasconcelos, c’est elle qui m’a fait connaĂźtre sur la scĂšne internationale de l’art contemporain, avec une premiĂšre prĂ©sentation lors de la Biennale de Venise, en 20051 ». EmblĂ©matique de quoi ? Elle ne le dira pas, laissant la presse chanter l’hymne n°1 Ă  l’artiste crĂ©atif, c’est-Ă -dire dĂ©calĂ© » — La nature du processus crĂ©atif de Joana Vasconcelos repose sur la dĂ©contextualisation d’objets et rĂ©alitĂ©s du quotidien l’artiste s’amuse des dĂ©calages, des alliances entre l’industriel et l’artisanal, entre le luxe et l’ordinaire [1] ». C’est un dĂ©tournement inattendu du dĂ©corum de prestige des salons du 18Ăšme siĂšcle1 ». HĂ©las, la vĂ©ritĂ© est tout autre. Loin d’ĂȘtre une crĂ©ation » son trophĂ©e de Venise n’est qu’un stĂ©rĂ©otype Ă©culĂ© de Duchamp, une application quasi-mĂ©canique de son procĂ©dĂ© ready-made » dĂ©calĂ© » d’accouplement contre-nature des contradictoires artistiques, un mariage-viol » de l’ignoble Tampax et du noble Lustre en un seul objet publicitaire le “Tampax-Lustre”. Produit dĂ©rivĂ© du 1er mariage dĂ©calĂ© » de roue-tabouret » de Duchamp, de 1913, il est le split rocker » new-yorkais emblĂ©matique type de l’ignoble-noble ! Mais celle qui s’amusait tant des dĂ©calages d’autrui, de son regard critique », sera Ă  son tour recalĂ©e ! Elle ne passera pas les grilles du chĂąteau Alors que l’Ɠuvre Ă©tait inscrite dans le premier projet d’exposition, gĂ©mira alors Vasconcelos, elle en a Ă©tĂ© retirĂ©e au dernier moment, sans qu’il me soit donnĂ© d’explication1 ». Soudain prise de panique, interdite d’Amis de Versailles, la reine » PĂ©gard a donc dĂ©cidĂ© in extremis de dĂ©capiter l’ignoble tĂȘte de proue de l’exposition Vasconcelos et par lĂ  mĂȘme le critĂšre DUCHAMP ayant prĂ©sidĂ© Ă  l’ invitation-provocation » de Vasconcelos Ă  Versailles par Aillagon. CensurĂ©e Ă  Versailles Vasconcelos Ă©tale son lustre Ă  Paris Cette dĂ©capitation de Vasconcelos-Duchamp, avec le prodigieux symbole de son tronc sans tĂȘte Ă  Versailles, de sa tĂȘte coupĂ©e Ă  Paris, est une premiĂšre mondiale ! C’est le podium des Grands Appartement Royaux Ă  la gloire de Duchamp devenu l’échafaud de son infamie. C’est la condamnation Ă  mort de son principe mĂ©canique de sacralisation de l’ignoble par le noble, de cannibalisation affairiste de Versailles. C’est, en toute logique, le critĂšre mĂȘme d’élection des expositions new-yorkaises Ă  Versailles, destructrices des Codes de Civilisation, invoquĂ© pour les y porter au pinacle, enfin dĂ©capitĂ©, ridiculisĂ© et rĂ©duit Ă  nĂ©ant, par PĂ©gard ! ACTE 2, VASCONCELOS ATTAQUE PÉGARD et DIVISE LA RÉPUBLIQUE Soudain piquĂ©e au vif l’ingrate Vasconcelos qui se prend pour une grande artiste, invitĂ©e Ă  Versailles pour ses seuls mĂ©rites, se retourne contre sa bienfaitrice et la met publiquement en accusation Il a Ă©tĂ© censurĂ© [2] » dit elle de son Split Rocker de l’ignoble. AussitĂŽt, le rĂ©seau new-yorkais fait recaser La FiancĂ©e » rĂ©pudiĂ©e de Versailles chez le fin connaisseur qu’est le Maire de Paris, B. DelanoĂ«, dans son Ă©tablissement culturel 104 du 19Ăšme. Mais c’est pour la perte de l’honneur de la FiancĂ© ! Car la crĂ©ation la plus importante et emblĂ©matique », de Vasconcelos, divorcĂ©e de son Ă©crin subversif » de Versailles y passera totalement inaperçue, piteusement traitĂ©e par la presse de dĂ©convenues de la mariĂ©e1 » y prĂȘtant au mieux Ă  “sourire”. Ce qui est le pire pour une provocation un flop ! Cette division de la RĂ©publique, c’est la condamnation de l’État d’auto-contradiction du RĂ©gime ; de sa politique culturelle suicidaire, du rĂ©gime d’arbitraire fĂ©odal de la RĂ©publique vivant aux crochets de notre patrimoine royal. C’est le principe dĂ©mocratique bafouĂ©, c’est l’annonce de la chute prochaine du RĂ©gime d’oppression culturelle Tout RĂ©gime vit de son principe et meurt de sa contradiction ! » NapolĂ©on. Joana Vasconcelos au chĂąteau de Versailles ACTE 3, PÉGARD VISE VASCONCELOS, TUE DUCHAMP ET ATTISE LA RÉVOLUTION C’est le choc en retour ! Roue-Tabouret de Duchamp SommĂ©e publiquement de se laver du crime inexpiable de Censure de l’Art », PĂ©gard, prise au piĂšge de ses contradictions, est alors contrainte d’appeler Ă  son secours Dame Logique pour faire un rappel faussement naĂŻf Ă  la RĂšgle de l’Évidence Le chĂąteau n’est pas une galerie, les Ɠuvres prĂ©sentĂ©es doivent entrer en rĂ©sonance avec ce lieu1 sic » ! Mais, elle non plus, n’a pas mesurĂ© les consĂ©quences de cet AVEU forcĂ©, bien tardif et auto-contradictoire. Car ici ĂȘtre en rĂ©sonance avec ce lieu » signifie ĂȘtre en harmonie de style, d’époque et de lieu c’est la rĂšgle d’or de rĂ©ameublement de Versailles ! Selon cette rĂšgle, seules les Ɠuvres » d’époque peuvent ĂȘtre » en rĂ©sonance-harmonie avec les Grands Appartement Royaux ! Ce seul critĂšre exclut dĂ©finitivement toutes les expositions d’art contemporain, a fortiori l’art new-yorkais et en l’espĂšce toute la production de Vasconcelos et pas seulement la scandaleuse FiancĂ©e ». N’est-il pas hautement contradictoire d’inviter les Ɠuvres » d’une artiste et de refuser son chef d’Ɠuvre » emblĂ©matique de Duchamp ? Dire que le Tampax-Lustre n’est pas prĂ©sentable, n’est ce pas dire que toute l’exposition qui rend visible » le principe infĂąme » de Duchamp, littĂ©ralement vil et bas, est in-prĂ©sentable » Ă  Versailles ! Cette RĂ©volution des Beaux-Arts, c’est l’école new-yorkaise doublement dĂ©trĂŽnĂ©e de son piĂ©destal par le Ridicule, Ă  Versailles et Ă  Paris, frappĂ©e au cƓur mĂȘme du principe crĂ©atif » de son procĂ©dĂ© de mariage forcĂ© des contradictoires » du noble et de l’ignoble, du faux et du vrai, du beau et du laid, etc. Tel est pris qui croyait prendre ! » S’amuser de voir ainsi Vasconcelos Ă  son tour dĂ©calĂ©e-recalĂ©e de Versailles, ridiculisĂ©e dans le principe mĂȘme de son ready-made » Ă  Paris, c’est la mise Ă  mort du Tyran Duchamp, chassĂ© du Temple, du Saint des Saints de Versailles, par la RĂ©volution des Beaux-Arts comme un voleur ! COMMENT C. PÉGARD A DONNÉ UN COUP D’ARRET HISTORIQUE À L’ART CONTEMPORAIN » DU NON-SENS Tout a commencĂ© en 1913 Ă  New-York, par l’exposition de l’Armory Show, et par la crĂ©ation du premier Tout fait » Ready made » de Duchamp sa Roue de bicyclette », en fait l’accouplement contre nature d’une Roue-Tabouret, littĂ©ralement le viol-mariage d’un tabouret empalĂ© par la fourche d’une roue. — Jusque lĂ , depuis les Grecs, l’Art, miroir de la Civilisation EuropĂ©enne, Ă©tait basĂ© sur le principe d’harmonie, de non contradiction de l’union le mariage fĂ©cond d’ ensemble d’élĂ©ments sons, couleurs, traits, images, styles, Ɠuvres d’Arts et Lettres, idĂ©es, vision du monde, assemblĂ©s selon “ les rĂšgles de l’Art ” en un tout cohĂ©rent et “ perçus simultanĂ©ment d’une maniĂšre agrĂ©able ” Ă  l’oreille, Ă  l’Ɠil, aux sens, au goĂ»t, Ă  l’intelligence, en un mot Ă  l’esprit mis en accord avec le Cosmos ». — À partir de 1913, l’anti-Art new-yorkais, miroir de la Barbarie prĂ©datrice de New-York, sera basĂ© sur le principe de disharmonie, de contradiction, de non-sens de l’union – dĂ©fi au bon sens [populaire] et Ă  la raison [scientifique] » faux-mariage stĂ©rile d’élĂ©ments accouplĂ©s de force en toute violation des rĂšgles de l’Art en un ensemble disparate, perçu comme un choc d’une maniĂšre dĂ©sagrĂ©able, plongeant l’esprit dans l’absurde du confusionnisme des champs sĂ©mantiques caractĂ©ristique de la folie et le monde dans le chaos. Ceci par la diffusion en chaĂźne du Principe de Contradiction dans l’Art, dans tous les champs du savoir jusqu’à celui de la dĂ©rĂ©glementation » financiĂšre dĂ©calĂ©e » d’aujourd’hui. C’est Ă  ce processus de destruction des tiroirs du cerveau » Manifeste Dada, de viol de l’Esprit par le non-sens qu’à son insu, PĂ©gard a donnĂ© un coup d’arrĂȘt historique Ă  Versailles dans le cadre de la RĂ©volution des Beaux-Arts, en cours d’écriture, dont la CDV est le fer de lance logique ! Rejoignant ainsi le PrĂ©sident Roosevelt qui disait en 1913 Ce n’est pas de l’Art ! », mais l’art du non-sens, prĂ©dateur et destructeur des authentiques valeurs de crĂ©ation de l’Europe ! COMMENT LA RÉPUDIATION DE LA FIANCÉE » PRÉFIGURE LE REJET DU PRÉTENDU MARIAGE-HOMSEXUEL » Photo de Marcel Duchamp, dĂ©guisĂ© en Rrose SĂ©lavy. Art moderne » et homosexualitĂ© font bon mĂ©nage ! Avec son pseudonyme fĂ©minin Rrose SĂ©lavy », Marcel Duchamp changeait volontiers d’identitĂ© sexuelle Voir ci-contre, Ă  l’Exposition Internationale du SurrĂ©alisme, Ă  Paris en 1938, le mannequin fĂ©minin Ă  moitiĂ© habillĂ© en habit Duchamp. En 1949 Ă  San Francisco, au Western Round Table on Modern Art, il confia Ă  Lloyd Wright que le public homosexuel est le plus rĂ©ceptif Ă  l’art moderne. Son disciple Andy Warhol est la figure emblĂ©matique internationale homosexuelle du Pop Art. Et la synergie entre art, marketing, mode et homosexualitĂ© imposera de proche en proche ses codes homosexuels Ă  toute la population, comme en tĂ©moigne aujourd’hui l’aberrant projet d’un prĂ©tendu mariage homosexuel ». La grille de lecture artistique du Split-Rocker Duchamp s’applique Ă  merveille au pseudo Mariage-homosexuel » associant deux Ă©lĂ©ments inconciliables puisqu’un mariage est fertile par destination alors que deux homosexuels » sont infertiles par dĂ©finition. En ce sens le mariage-homosexuel » est un Split-Rocker auto-contradictoire ! Toute idĂ©e de mariage homosexuel, Ă  l’image de la Roue-Tabouret ou du Tampax-Lustre, relĂšve de l’art du non-sens, c’est-Ă -dire d’un dĂ©fi au bon sens populaire et Ă  la raison scientifique, tous aussi stĂ©riles les uns que les autres. Qu’un couple homosexuel veuille se travestir en mariĂ©s », c’est comme la FiancĂ©e Tampax-Lustre cherchant l’estampille de Versailles pour exister ! Quel aveu d’impuissance Ă  vivre par soi mĂȘme ! Le Mythe Duchamp, du progrĂšs de l’art du non-sens sur l’Art de l’harmonie vient, cet Ă©tĂ©, de se briser sur le roc de la rĂ©alitĂ© et de l’intuition de deux femmes. Ce coup de tonnerre historique est le signe annonciateur de l’échec prochain du projet de mariage-homosexuel » aussi immariable avec notre Art, notre savoir vivre et notre Civilisation cf. Le grand rabbin de France s’oppose au mariage homo », Le Figaro, 18 octobre 2012, que le Tampax-Lustre de Vasconcelos avec la chambre de Marie-Antoinette. Avec la rĂšgle d’or invoquĂ©e par C. PĂ©gard, c’est le retour de Dame Logique ! LA COORDINATION DÉFENSE DE VERSAILLES CONSTATE QU’en jetant l’anathĂšme sur l’ignoble Tampax-Lustre de Vasconcelos et en dĂ©capitant Duchamp, C. PĂ©gard a portĂ© un coup d’arrĂȘt historique fatal aux prĂ©tentions hĂ©gĂ©monique de New-York sur Versailles, lui donnant ce que ni le Conseil d’État, ni le PrĂ©sident de la RĂ©publique ne lui avaient accordĂ© ; DÉCLARE QUE, dans la guerre Ă  l’Intelligence Ă  l’Art et Ă  la Civilisation, dĂ©clarĂ©e Ă  Versailles en 2008, elle a ainsi gagnĂ©, par la RĂ©volution des Beaux-Arts en cours, la Bataille dĂ©cisive de l’Intelligence ! Balayant l’Art du non-sens, la Logique de la non-contradiction est de retour ! ANONCE QUE l’Art Ă©tant le miroir anticipateur de la chaĂźne d’inversion des valeurs de SociĂ©tĂ© – Harmonie, CohĂ©rence, BeautĂ© -, la dĂ©faite de l’art du Contradictoire, cet Ă©tĂ© Ă  Versailles, annonce le futur naufrage du projet de prĂ©tendu Mariage homosexuel » non-sens, contraire avec la Logique et la Civilisation ! Arnaud Upinsky, PrĂ©sident de l’UNIEF/Coordination DĂ©fense de Versailles TĂ©lĂ©charger en PDF Pour aller plus loin Rrose SĂ©lavy est un personnage fictif créé par le peintre français Marcel Duchamp en 1920. Son nom apparaĂźt pour la premiĂšre fois1 sur une Ɠuvre d’art, Frensh Window, modĂšle rĂ©duit de fenĂȘtre Ă  la française fresh widow = veuve fraĂźche en anglais. Le nom de Rrose, qui ne prend alors qu’un seul r, est inscrit en signature sur la tablette. Elle figure ensuite dans une sĂ©rie de photographies rĂ©alisĂ©es par Man Ray, oĂč Duchamp pose travesti en femme, maquillĂ© et chapeautĂ©. Le nom choisi Ă©voque la phrase Éros, c’est la vie ». Duchamp affirme Ă©galement qu’il choisit le nom SĂ©lavy » pour sa sonoritĂ© juive in Duchamp du signe. Le double r initial Ă©voque, lui, le double L » initial de certains noms gallois, comme Lloyd ». Duchamp signe Ă©galement du nom de Rrose SĂ©lavy une sĂ©rie d’étranges calembours, par exemple Conseil d’hygiĂšne intime il faut mettre la moelle de l’épĂ©e dans le poil de l’aimĂ©e. » * * * Le titre de l’article VICTOIRE HISTORIQUE J. VASCONCELOS chassĂ©e du paradis de Versailles, c’est la mise Ă  nu de Marcel DUCHAMP descendant l’escalier de la gloire ! », fait rĂ©fĂ©rence Ă  la toile de Duchamp Nu descendant un escalier Nu descendant un escalier » est un tableau de Marcel Duchamp peint en 1912. Il fit scandale lors de son exposition Ă  l’Armory Show de New York en 1913, mais consacra la gloire de Marcel Duchamp et marqua le dĂ©but de l’art moderne aux États-Unis. Marcel Duchamp et son nu descendant un escalier n°2 » En 1913, Marcel Duchamp prĂ©sente Ă  l’Armory Show de New York une Ɠuvre intitulĂ©e Nu descendant un escalier n°2» dont la vision provoquera un tiraillement entre hilaritĂ©, scandale et admiration. L’artiste ne le sait alors pas encore, mais cette Ɠuvre deviendra une charniĂšre de l’art moderne, jouant alors un rĂŽle dans la montĂ©e en puissance de celui qui finira, pour beaucoup, comme l’artiste le plus important du XXĂšme siĂšcle »  Cette Ɠuvre n’aura pas Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e pour la premiĂšre fois en 1913. En effet, l’Ɠuvre, peinte en janvier 1912 est la seconde version une premiĂšre version non dĂ©finitive, car pas assez dynamique et trop descriptive, fĂ»t peinte en 1911. DĂšs FĂ©vrier 1912 il envoie cette version aux IndĂ©pendants de Paris ». Ses amis ne l’aimĂšrent pas et lui demandĂšrent d’en changer au moins le titre. Marcel Duchamp fĂźt autrement Il retira l’Ɠuvre pour aller l’exposer en Octobre de la mĂȘme annĂ©e au Salon de la Section d’Or. Ce n’est que l’annĂ©e d’aprĂšs que l’Ɠuvre sera enfin prĂ©sentĂ©e Ă  l’Armory Show. Nu descendant un escalier, premiĂšre version * * * L’Armory Show est une exposition internationale d’art moderne, qui s’est tenue Ă  New York du 17 fĂ©vrier au 15 mars 1913. Elle fait date dans l’histoire amĂ©ricaine car elle est la premiĂšre exposition de ce genre. L’exposition prĂ©sentait au public 1250 peintures, sculptures et travaux d’art d’environ 300 artistes avant-gardistes EuropĂ©ens et AmĂ©ricains. Des travaux impressionnistes, fauvistes et cubistes y Ă©taient Ă©galement exposĂ©s. La presse et les revues artistiques l’accusĂšrent d’insanitĂ©, d’immoralitĂ©, d’anarchie aussi bien que de parodie, caricature, et tourna l’exposition en dĂ©rision. Le prĂ©sident Theodore Roosevelt lui-mĂȘme dĂ©clara Ă  propos de l’Armory Show Ce n’est pas de l’art ! » Parmi les Ɠuvres jugĂ©es trop pessimistes, celle de Marcel Duchamp, Nu descendant un escalier Nude Descending a Staircase, peinte l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente, composĂ©e d’images en superposition, dans un style comparable au style cinĂ©matographique. Nu descendant un escalier, seconde version Marcel Duchamp et son nu descendant un escalier n°2 »
\n \n \n\nmoussa versailles et sa premiĂšre femme

3emeCongres de l'Union Nationale des Associations des Femmes Musulmanes du Mali préside par le P.M.Renouvellement du bureau et plan d'action pour les

PubliĂ© le 04/02/2015 Ă  1859, Mis Ă  jour le 04/02/2015 Ă  2227 Capture d'Ă©cran d'une camĂ©ra de surveillance publiĂ©e par le bureau du premier ministre turc le 4 fĂ©vrier 2014. VIDÉO - Connu pour plusieurs petits dĂ©lits, l'homme faisait l'objet d'une surveillance renforcĂ©e aprĂšs une tentative de dĂ©part en Turquie prĂ©cĂ©dĂ©e par plusieurs signes de Coulibaly n'a pas de lien avec le tueur de l'Hyper Cacher, AmĂ©dy Coulibaly, selon les premiers Ă©lĂ©ments de l'enquĂȘte. Il est entendu depuis mardi par les enquĂȘteurs aprĂšs l'agression au couteau de trois militaires qui montaient la garde devant un centre communautaire juif Ă  Nice. Sa garde Ă  vue a Ă©tĂ© prolongĂ©e de 24 heures mercredi. Lors de celle-ci, il a Ă©voquĂ© sa haine de la France, de la police, des militaires et des juifs, selon une source proche de l'enquĂȘte. S'exprimant trĂšs sporadiquement aprĂšs avoir longtemps gardĂ© le silence, il a aussi dĂ©clarĂ© qu'Ă  ses yeux, les musulmans Ă©taient persĂ©cutĂ©s dans le monde. Le jeune homme doit ĂȘtre transfĂ©rĂ© jeudi aprĂšs-midi» Ă  Paris pour y poursuivre sa garde Ă  vue. Voici les premiers Ă©lĂ©ments connus sur cet homme de 30 ans.● Une enfance au Val-FourrĂ©Moussa Coulibaly est nĂ© en 1984 Ă  Mantes-la-Jolie, oĂč il grandit dans la citĂ© du Val-FourrĂ©. Il est issu d'une famille polygame, selon Le Parisien. Peu d'Ă©lĂ©ments filtrent sur son profil, en dehors de son passĂ© de petit dĂ©linquant. Tout juste sait-on qu'en 2012, il ouvre un magasin de matĂ©riel et piĂšces automobiles dans son quartier, dont il est le seul gĂ©rant. InterrogĂ© par Le Parisien, un proche le dĂ©crit comme un gars cool, qui a toujours menĂ© une vie tranquille, mais qui possĂšde un esprit influençable».● Des condamnations de droits communL'homme Ă©tait connu des services de police pour des petits dĂ©lits de droit commun. Vol, outrage et rĂ©bellion, usage de drogues... Il est condamnĂ© Ă  au moins six reprises entre 2006 et 2009 Ă  des amendes et de la prison avec sursis une premiĂšre fois Ă  Versailles, puis cinq fois Ă  Mulhouse.● Des signes rĂ©cents de radicalisationEn dĂ©cembre dernier, son comportement attire l'attention. Dans la salle de sport qu'il frĂ©quente Ă  Mantes-la-Jolie, il commence Ă  faire du prosĂ©lytisme religieux, notamment auprĂšs des femmes, note le personnel de l'Ă©tablissement. Il est s'en prend Ă©galement Ă  un homme qui prend sa douche nu. A cette pĂ©riode, Moussa Coulibaly frĂ©quente la mosquĂ©e de Trappes, situĂ©e Ă  une petite heure de route de Mantes-la-Jolie.● Une tentative de dĂ©part en TurquieAprĂšs l'Ă©pisode de la salle de sport qui a Ă©tĂ© signalĂ© aux services de renseignement locaux, Moussa Coulibaly rĂ©apparaĂźt en Corse. Un employĂ© d'agence de voyage a donnĂ© l'alerte aprĂšs que l'homme lui a demandĂ© un aller simple pour Ankara. Le salariĂ© lui conseille de prendre l'aller-retour Ă  Istanbul pour des raisons Ă©conomiques. Moussa Coulibaly accepte, Ă  la condition que le vol fasse absolument escale Ă  Nice et Ă  Rome avant de rejoindre la Turquie. La DGSI Direction gĂ©nĂ©rale de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure est mise au courant. Elle craint un dĂ©part en Syrie. Faute de pouvoir l'empĂȘcher de partir, elle demande Ă  Ankara de le refouler Ă  l'entrĂ©e du territoire turc. Il est interceptĂ© Ă  l'aĂ©roport Ataturk d'Istanbul le 29 janvier, renvoyĂ© en Italie et finalement interpellĂ© Ă  Nice par la DGSI. Les enquĂȘteurs procĂšdent Ă  une audition administrative. Il demande Ă  retourner en Corse pour y rejoindre sa petite amie, dont il est incapable de citer le nom ou l'adresse. Mais faute d'Ă©lĂ©ments probants, il est relĂąchĂ©.● L'errance Ă  NiceLes jours qui suivent, l'homme reste Ă  Nice oĂč il n'a ni racine, ni contact», prĂ©cise le ministre de l'IntĂ©rieur Bernard Cazeneuve. Il est vu en compagnie de marginaux et boit beaucoup, selon les Ă©lĂ©ments de Nice Matin. Il sĂ©journe Ă  l'hĂŽtel Azurea dans le quartier de la gare. Dans sa chambre, les enquĂȘteurs retrouveront un texte Ă©crit de sa main sur la religion, ainsi que de la monnaie turque, selon une source proche de l'enquĂȘte. Le 3 fĂ©vrier, il est contrĂŽlĂ© sans titre de transport dans le tramway. Il est accompagnĂ© d'un homme de 43 ans, dont la garde Ă  vue a Ă©tĂ© levĂ©e mercredi dans la soirĂ©e. Au dĂ©part rĂ©ticent, Moussa Coulibaly accepte de payer l'amende avec un billet de 50 euros quand les agents le menacent d'appeler la police. Il a rĂ©glĂ©, car, si la police venait, elle aurait dĂ©couvert les couteaux. Pour moi, il avait prĂ©mĂ©ditĂ© son coup», estime le contrĂŽleur interrogĂ© par le quotidien rĂ©gional.● L'attaque des trois militairesAprĂšs l'incident, Moussa Coulibaly se dirige vers trois militaires qui montent la garde devant un immeuble qui abrite un centre communautaire juif. Il laisse tomber un sachet lorsqu'il passe Ă  leur niveau. Alors que l'un d'entre eux s'apprĂȘte Ă  lui porter assistance, l'homme sort un long couteau et le frappe au visage. Un second militaire est blessĂ© Ă  la main alors qu'il tente de le repousser. Puis il est facilement maĂźtrisé» par le troisiĂšme soldat, selon des sources militaires qui ont visionnĂ© les images d'une camĂ©ra de surveillance. L'enquĂȘte, menĂ©e par la section antiterroriste du parquet de Paris et la police judiciaire de Nice, devra notamment dĂ©terminer si Moussa Coulibaly savait que les militaires surveillaient le Consistoire israĂ©lite de Nice, Radio Shalom et une association israĂ©lite.
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