Rienqu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'était certain cet fois Que rien d'amoureux viendrait On se trompe quelque fois Une larme a tout changer Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que nous deux C'est moi le plus malheureux
Le deal Ă ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal MĂFAITS ACCOMPLISâą Corbeille &&. ANCIENS RP AuteurMessageNiwa KelInvitĂ©Sujet * ...des mots... * [PV] Dim 15 Oct 2006 - 1946 Nuit sombreâŠesprits perdusâŠles questions se posent, lâinquiĂ©tude est Ă son comble. Au sol une terre gelĂ©e malgrĂ© la saison. Au ciel des nuages perdus les uns dans les autres dans ce noir dâencre impĂ©nĂ©trableâŠLa Lune quasi inexistante embrasse les tĂ©nĂšbresâŠLes tombes prĂ©sentes sont toujours aussi facile Ă voir, mais les inscriptions elles, sont illisibles suite Ă ce paysage. Tout semble calme, comme souvent. Mais reste cette terre gelĂ©eâŠpourquoi est-elle ainsi ? Une seule explication possible, la prĂ©sence dâune personneâŠMais qui est-elle ?âŠComme pourrait le remarquer un passant, il se trouve quâelle est assise dans ce cimetiĂšre, en face dâune de ces tombes. Mais il ne pourrait rien voir de plusâŠet câest pour cela que nous allons nous en avançonsâŠencoreâŠoui, encore un peuâŠvoilĂ , nous y sommes. Une taille et une carrure plutĂŽt imposante composent son extĂ©rieur ; un vĂȘtement et un chapeau noirs cachent celui-ci ; dâimmenses chaĂźnes traĂźnent derriĂšre luiâŠCâest un personnage bien Ă©trange qui se trouve lĂ âŠSes doigts caressent presque avec tendresse la paroi tombale. Mais dĂ©licatement il les retira et se leva. Il passa sa main droite dans sa veste, puis il la retira. Une baguette de taille moyenne venait dâĂȘtre priseâŠEt il reculaâŠEt soudain, un Ă©clair rouge fusa droit devant lui et vint sâĂ©craser contre la tombe. Cette derniĂšre explosa, en laissant derriĂšre elle un cratĂšre profond de quatre mĂštres carrĂ©sâŠEt sans mĂȘme adresser un simple regard Ă son rĂ©sultat, il se avança Ă travers le cimetiĂšre. Il semblait voler au-dessus du solâŠPeut-ĂȘtre Ă©tait-ce vrai ? Qui saitâŠIl ne faisait pas attention aux alentours, et pourtant, ses sens surveillaient le moindre geste possible, le moindre son audible. Puis il sâarrĂȘta sur sa routeâŠregarda une tombe prĂ©cise, et lui rĂ©serva le mĂȘme sort que la prĂ©cĂ©denteâŠMais que faisait-il vraiment ? Avait-il un but prĂ©cis ou Ă©tait-ce de lâamusement ?âŠimpossible de connaĂźtre les rĂ©ponsesâŠMais il le faisaitâŠEt le temps passa doucementâŠEn attendant, il sâĂ©tait assis au centre du cimetiĂšre, ou plus prĂ©cisĂ©ment, au centre du premier cratĂšre quâil avait faitâŠIl sâavĂšre que câĂ©tait son beau-pĂšre qui reposait en paixâŠsans plus attendre, il Ă©tait venu le rejoindre, pour le dĂ©truire Ă tout jamaisâŠIl avait maintenant lâesprit leva la tĂȘteâŠon pouvait voir une paire de lunettes noires, qui cachaient le peu de son visage visible. CâĂ©tait une personne bien mystĂ©rieuse quâon avait lĂ . Mais on pouvait sentir une lĂ©gĂšre froideur autour de lui, et la gentillesse devait ĂȘtre assez rare Ă premiĂšre vueâŠEtait-ce faux ? Bonne questionâŠessayez de lui parler pour voirâŠnon ? Vous avez peur ? Et bien vous rĂ©agissez comme de nombreuses personnes alors. Son aura est lĂ©gĂšrement diffĂ©rente des autres sorciers, vous lâavez bel et bien comprisâŠCependant, ce nâĂ©tait pas vraiment dans le bien. On pouvait sentir sa lĂ©gĂšre tendance Ă aimer le sang, comment ? Peut-ĂȘtre parce quâil y avait une Ă©norme flaque dans ce cratĂšre, et quâil Ă©tait allongĂ© dedans. Câest ainsi que vous vous demandez dâoĂč vient ce sangâŠLaissez moi vous temps en temps, il se peut que les corps morts aient toujours du sang en eux. Certes sĂ©chĂ©, mais bien prĂ©sent. Normalement, câest lorsquâils viennent de mourir dâici peu. CâĂ©tait le cas du beau-pĂšre de cette personne. Il avait Ă©tĂ© tuĂ© il y a de ça deux jours. Mais jamais le tueur nâa Ă©tĂ© retrouvĂ©. Dâailleurs, aucune trace possibleâŠA priori, celui qui avait fait ça connaissait parfaitement les Arts de meurtres. En tout cas, reste quâil Ă©tait mort recemmentâŠVous savez alors ce premier deuxiĂšme point est que cette personne prĂ©sente au cimetiĂšre, venait de faire exploser le corps dâune maniĂšre disonsâŠtrĂšs violente, ce qui a permis au sang de lĂ©gĂšrement se rĂ© humidifier, et doncâŠenfin, je vous laisse Ă©tant expliquĂ©, nous allons pouvoir retourner Ă la contemplation du⊠hĂ©ros ».Celui-ci, toujours allongĂ© dans le liquide rougeĂątre, regardait les Ă©toiles inexistantesâŠIl semblait perdu dans ses pensĂ©esâŠSes chaĂźnes Ă©taient enroulĂ©es autour de lui, sans pour autant lâĂ©touffer. Position bien Ă©trange pour de simples mĂ©tauxâŠSa baguette Ă©tait entre ses dents, comme une paille avec un cow-boyâŠSes lunettes noires reflĂ©taient lĂ©gĂšrement les nuages. Impossible de voir Ă travers et de dĂ©couvrir ses yeux. Peut-ĂȘtre est-ce mieux comme ça. Parfois, on ne prĂ©fĂšre ne pas connaĂźtre les sentiments de la personne quâon a en face de soi, de peur dâĂȘtre déçu ou effrayĂ©âŠEt cela peut ĂȘtre le cas de ce moment mĂȘme vu la mystique du personnageâŠSoudain, il tourna lĂ©gĂšrement sa tĂȘte vers la gauche. Il semblait avoir vu ou entendu quelque chose. Alors, il se leva, se retira du cratĂšre, et se nettoya dâun simple coup de baguette. Il se pouvait que ce soit une bĂȘte attirĂ©e par lâodeur du sang, odeur facilement repĂ©rable pour toutes crĂ©atures sâen abreuvant comme repasâŠIl pointa la baguette vers la source du bruit. Les feuilles bougeaient lĂ©gĂšrementâŠEt tout dâun coup, une ombre sauta avec force et rapiditĂ© en sa direction. Quelques fractions de secondes plus tard, cette ombre gisait Ă terre, inerte. Elle respirait encore. CâĂ©tait un loupâŠEtrange pour ce genre dâendroitâŠMais chose bizarre, lâhomme ne lâavait pas tuĂ©âŠAvait-il de la pitiĂ© en lui ?âŠPuis un autre bruit vint couper cette reflexionâŠIl se tourna vers la sourceâŠEtait-ce un autre loup ? Ou bien une personne sâaventurant dans le cimetiĂšre ?âŠDerniĂšre Ă©dition par le Jeu 26 Oct 2006 - 958, Ă©ditĂ© 1 fois Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Ven 20 Oct 2006 - 2001 { Tes RPâs me manquaient beaucoup, tu Ă©cris tellement biennn. . Mon Nico wub. Et avec Niwa en plus, vive DN Angel. }Nuit noire. Silence Ă©ternel. Le cimetiĂšre Ă©tait calme, sans personne malveillante. Mais la voilĂ . Une ombre ? Un animal ? Une chose ? QuâĂ©tait ce cet ĂȘtre vivant ? Une demoiselle assez jeune au regard rouge se dressa pour regarder au loin. Elle semblait effrayante, aveuglante. Elle guettait. Quoi ? Nous nâen savons rien. Cette nuit lĂ , elle Ă©tait seule. Encore. Mais câĂ©tait le DĂ©mon. DĂ©pourvus de sa cape habituelle, il Ă©tait vĂȘtu de vĂȘtements moldus, dĂ©chirĂ©s Ă plusieurs endroits. Qui pouvait bien se douter de ce quâil venait de se produire. La jeune femme avait comme un sourire inquiĂ©tant. De ses bras dĂ©nudĂ©s on pouvait voir couler du sang, du sang auquel elle ne prenait pas garde. Qui avait Ă©tait sa victime ce soir lĂ ? SĂ»rement un inconnu qui lâavait croisĂ© lors de sa colĂšre. Dire que dans plusieurs heures, lorsquâelle reprendra ses esprits, dans cette tenue, elle sera affolĂ©e, elle se souviendra de tout, mais elle nâaura pas choisit. Etait ce le bon dieu qui lâavait punie en lui donnant cette maladie » que lâon appelĂ© SchizophrĂ©nie ? A voir. Mais lĂ nâĂ©tait pas la question. Elle avança vers les tombes lugubres du cimetiĂšre, Ă©coutant le cri des animaux. Lorsquâelle sentit une prĂ©sence. Qui Ă©tait ce ? Loup. CâĂ©tait la nouvelle mĂšre, Tifa, elle avait eut des louveteaux la semaine prĂ©cĂ©dente. Riku sâapprocha dâelle, avec un petit sourire bienveillant. Sâil y avait bien un animal quâelle aimait, câĂ©tait les Loup, normal, elle en Ă©tait elle-mĂȘme un. Soupir. Elle sâarrĂȘta, se mit Ă genoux et porta une caresse au pelage gris clair de lâanimal. On put voir aprĂšs son corps de mĂ©tamorphoser, câĂ©tait lui. Crodacier. Ses yeux Ă©taient encore rouges, mĂȘme Ă travers lâanimal. Son pelage noir, noir Ă©meraude Ă©tincelle dans cette nuit sombre. Silence. Elle sâapprocha de Tifa aprĂšs que celle-ci soit partie en galopant laissant ses vĂȘtements derriĂšre une pierre tombale. Crodacier qui nâavait rien Ă faire, suivit la Louve. Celle-ci ne cessant pas le pas, lâAnimagus dut la suivre, jusquâĂ ne plus entendre le bruit de ses pattes. JusquâĂ quâun homme se dresse devant elle. La louve tourna violemment la tĂȘte pour apercevoir Tifa qui Ă©tait Ă©talĂ©e au sol. On put lire au regard de Crodacier toute sa haine, ses sourcils se plissaient, ses crocs sortaient de sa gueule. Silence. Elle se mĂ©tamorphosa, une nouvelle fois. Un put voir un corps de jeune femme se dresser Ă la place du loup. Totalement nu. Normal. Riku avait laissĂ© ses habits au loin ainsi que sa baguette lorsquâelle eut pris lâapparence de son Animagus. Silence. Elle ne moquait pas mal que son corps soit exposĂ©, elle nâavait aucune pudeur. Et la haine la rongeait. Silence. La voilĂ qui parle, ses yeux encore plus intensifiĂ©s de â Comment as-tu osĂ© humain ?! Comment ? MisĂ©rable crĂ©ature. »Dit-elle dâune voix menaçante et pleine de fougue. Elle nâen pleurait pas, elle voyait bien que la louve avait Ă©tĂ© Ă©pargnĂ©e mais le geste en lui-mĂȘme Ă©tait grave, vraiment. Tifa se releva tant bien que mal et partie se rĂ©fugier. Silence. Qui pouvait bien ĂȘtre ce jeune homme, ce jeune homme qui semblait si mystĂ©rieux, et pourtant ⊠Riku Ă©prouvait quelque chose. Quoi ? Il avait lâair froid. Bizarre. Elle nâavait pas peur, mais, elle hĂ©sitait, elle ne savait que penser. Elle nâavait pas ce pouvoir de lire dans le cĆur des gens, de connaĂźtre leur vraie personnalitĂ©. Dommage. Puis soudain. Surprise. La jeune femme redevint elle-mĂȘme. Ses yeux rouges disparurent pour laisser place au vert foncĂ© habituel. A la seconde qui suivit elle ne comprit pas vraiment, mais par la suite, elle commença Ă paniquer. Surtout lorsquâelle vit son Ă©tat. Elle haĂŻssait le DĂ©mon ! Encore et toujours cette double personnalitĂ© involontaire. SaletĂ© ! La voilĂ qui part en courant pour cacher son corps. La voilĂ bien normale, pas vraiment la Chef des Mangemorts, et cela, lâĂ©tranger devait sĂ»rement le â Mais câest pas vrais ! »Silence. Quelques minutes plus tard la voilĂ qui reviens, habillĂ©e de ses vĂȘtements, du moins ce quâil en restait, elle ne prĂ©fĂ©rait pas se remĂ©morer encore ce quâil sâĂ©tait produit. Juste Ă cause de cette histoire avec Kaori il eut fallut quâelle redevienne le DĂ©mon. Silence. Elle revint en face du jeune homme, presque rouge. Elle semblait gĂȘnĂ©e, et puis, elle se dĂ©voilĂ©e en gros, personne ne devait savoir son problĂšme de SchizophrĂ©nie. Sinon, elle se ferait sĂ»rement tuer, mĂȘme si ce nâest pas vraiment simple. Elle est forte, mais Ă le cĆur dâune Serdaigle et non dâune Serpentard. Elle ne peut tuer en Ă©tant seulement Riku », il faut quâelle soit Le DĂ©mon », le Chef des â NavrĂ©e⊠Ne prenez guĂšre attention Ă ce quâil vient de se produire. »Et puis quoi encore ? Elle Ă©tait vraiment naĂŻve dâaffirmer cela aussi naturellement. En cet instant, la jeune sorciĂšre pensait quâil ne lâavait peut ĂȘtre pas reconnue, grĂące Ă la pĂ©nombre des lieux, câĂ©tait possible, mais avec de bons yeux ⊠Qui sait ? Et puis, Ă part Yuki, personne nâest au courant pour le DĂ©mon. Il y avait son pĂšre aussi mais il est mort. Dâailleurs, sa tombe est tout prĂšs dâici, juste lĂ , derriĂšre Hikaru Harada ». Silence, il devait sĂ»rement ĂȘtre satisfait, de lĂ haut dans les Ă©toiles, ou plutĂŽt en bas, dans les entrailles de lâ si les mots Ă©taient Ă©ternels ?{ T_T Snif, ça fais longtemps que jâai pas Ă©cris, câest nul, mais jâaime bien le scĂ©nario =D, jâespĂšre que toi aussi, sinon je change =] Mais ça devrait ĂȘtre comique, enfin, me tarde de voir la rĂ©action de ton perso XD }_________________uc_ Niwa KelInvitĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] Dim 22 Oct 2006 - 012 Bruissements lĂ©gersâŠpas feutrĂ©sâŠdiscrĂ©tion plus quâimperceptible. CâĂ©tait la description la plus exacte de celle de lâhomme prĂ©sent. Il guettaitâŠencore et encore. Mais il ne dĂ» pas attendre longtemps. AprĂšs sâĂȘtre doucement glissĂ© sur son cĂŽtĂ© droit, il garda fermement sa baguette, sans la moindre vibration dâune quelconque apprĂ©hension. Puis soudain, un corps se retira de lâombreâŠOn pouvait reconnaĂźtre la silhouette dâune femmeâŠElle semblait plutĂŽt belleâŠMais lâinconnu ne pu sâempĂȘcher de remarquer quâelle Ă©taitâŠnue. Il ne sâapprocha pas, gardant une distance quâil considĂ©rait comme distance de sĂ©curitĂ© ». DâaprĂšs sa maniĂšre dâĂȘtre et sa façon dont elle lui parla ensuite, elle ne parut pas de bonne humeur, bien au contraire. Il reconnut une voix menaçante, remplie de haineâŠCependant, cela ne le fit pas bouger dâun pouceâŠmĂȘme, il ne cilla mĂȘme pas derriĂšre ses sombres lunettes noires. Les paroles prononcĂ©es par la jeune femme Ă©taient pourtant provocatrices, mais nonâŠIl resta lĂ , sans rien dire. Et puis, rĂ©action Ă©trange, il baissa sa garde, et regarda la personne avec plus dâattention. Non je vous rassure, ceci nâest en aucun cas une forme de perversitĂ©âŠcelle oĂč un homme profite de la situation pour disons⊠se rincer lâĆil ». Il admirait les yeux rouges de la personne qui Ă©tait en face. Bien que rien nâĂ©tait lisible sur lui, il Ă©prouvait une lĂ©gĂšre Ă©motion Ă les regarder, comme sâil Ă©tait chez lui. Mais malheureusement, il ne pu pas les contempler pendant plus longtemps, car la jeune femme disparut soudainement, aprĂšs que ses yeux eurent brusquement changĂ©âŠpour devenir dâun vert foncĂ©. On pouvait croire Ă une sorte deâŠmĂ©tamorphose. Il se demanda intĂ©rieurement ce qui pouvait se passerâŠIl analysa rapidement les faitsâŠet se garda bien de toutes rĂ©ponses il se tourna en direction dâune tombe proche. Au ciel, les nuages se resserraient de plus en plusâŠUne pluie Ă©tait Ă prĂ©voir. Il sâen soucia guĂšreâŠIl jouait avec ses chaĂźnes, avec lâaide de sa baguette. Mais soudain, un nouveau bruit. Il souleva son arme Ă lâendroit oĂč son esprit lui disait quâun ĂȘtre sây trouvait. CâĂ©tait ses longues et Ă©paisses chaĂźnes quâil faisait lĂ©viterâŠMais elles semblaient faire bien plus que lĂ©viter, comme si elles Ă©taientâŠvivantesâŠPuis, confirmation des pensĂ©es de lâhommeâŠquelquâun Ă©tait bel et bien lĂ . Cependant, il retira promptement lâoffensive mĂ©tallique, les dĂ©posant au sol. Pourquoi cela ? Peut-ĂȘtre parce que la femme Ă©tait de retourâŠavec ses yeux de couleur verte. Elle avait ajoutĂ© un peu dâhabits sur elle. Il remarqua rapidement quâelle Ă©tait dĂ©sarmĂ©eâŠou presque. Sa beautĂ© Ă©tait elle-mĂȘme une arme. Mais Ă priori, le prĂ©sent nâĂ©tait pas du genre Ă se laisser amadouer par la beautĂ© de la femmeâŠla pire faiblesse dâune grande majoritĂ© des personnes de sexe masculin. Il se contenta de sâapprocher doucement dâelleâŠalors que celle-ci lui demandait de ne faire comme si de rien Ă©taitâŠcomme sâil nâavait rien vu. Sur ce, alors que la femme Ă©tait prĂšs de lui, il dĂ©posa son index gauche sur les douces lĂšvres de la charmante crĂ©ature. Son autre main faisait quelques gestes Ă la baguetteâŠEt soudain, elle fĂ»t habillĂ©e dâun corset et dâune jupe provocanteâŠIl recula dâun pas. Puis, il fit un autre geste. Elle Ă©tait maintenant vĂȘtue dâune robe de mariĂ©e. Et il renouvela plusieurs fois la chose, restant parfaitement neutreâŠMais il sâarrĂȘta alors quâil lui avait remis le peu de vĂȘtements quâelle avait au dĂ©part. Il souriait faiblementâŠ~Niwa On pourrait jouer à ça toute la soirĂ©eâŠnon ?CâĂ©tait une voix profonde et calme qui avait prononcĂ© ces parolesâŠEt ce nâĂ©tait pas un sourire ordinaireâŠmais alors, que traduisait-il ?âŠMais tout Ă coup, les traits de son visage se resserrĂšrent et un Ă©clair rouge sâĂ©chappa de sa baguette, alors quâaucune formulation nâavait Ă©tĂ© produiteâŠLâĂ©clair frĂŽla le visage de la personne et vint sâĂ©craser contre une tombeâŠCette derniĂšre explosa sans cĂ©rĂ©monie. En ce qui concernait lâhomme, il sâĂ©tait de nouveau adossĂ© contre la paroi. Il fixait la jeune femme, la baguette baissĂ©e vers le sol. Il semblait pensifâŠEn tout cas, câĂ©tait ce quâil laissait paraĂźtreâŠ~Niwa Le chat et la sourisâŠDes mots traduisant parfaitement lâĂ©tat des chosesâŠCependant, la souris nâavait aucun lieu oĂč se cacher, oĂč quoi que ce soit pour se protĂ©ger, bien au contraire. Elle sâĂ©tait mise seule dans une situation plus que dangereuse, entre les mains dâun ĂȘtre que lâon pourrait considĂ©rĂ© de⊠dĂ©rangĂ© ». Mais lâĂ©tait-il vraiment ? Il semblait connaĂźtre des chosesâŠde nombreuses choses. Mais dâautres personnes diraient tout simplement quâil en faisait trop avec son accoutrement intimidantâŠDes lunettes noires en pleine nuitâŠquelle idĂ©e ! De plus, il ne devait pas voir grand choseâŠPourtant, quelle prĂ©cision tout Ă lâheureâŠQue des Ă©loges vous me diriezâŠEt vous auriez sĂ»rement raison. Mais pour le moment, câest une simple et rĂ©aliste description de la scĂšneâŠDerniĂšre Ă©dition par le Jeu 26 Oct 2006 - 1001, Ă©ditĂ© 1 fois Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Dim 22 Oct 2006 - 2231 { Vivement Mercredi. }La jeune femme restait silencieuse, sans pensĂ©es fixes. Elle faisait juste acte de prĂ©sence. Elle Ă©tait tout de mĂȘme un peu gĂȘnĂ©e, ce nâĂ©tait pas dans son habitude dâexposer son corps Ă tous les regards masculins. Soupirs. Alors que lâinconnus venait juste de remarquĂ© une nouvelle fois sa prĂ©sence, Riku pensa quâelle nâaurait pas du revenir, elle nâaurait rien a tirer profit de cette rencontre. Quoi que, elle ne sâavait pas vraiment Ă quoi sâattendre. Alors que les chouettes et les hiboux poussaient leurs cris comme chaque nuit, Niwa sâavançait vers la sorciĂšre. Elle ne bougea pas, se laissa faire, elle Ă©tait comme intimidĂ©e. Ce qui nâest pas habituel pour elle. Soupir. Le toucher. Un des cinq sens. Elle le sentit, ce doigt, sur ces lĂšvres rosĂątre, gelĂ©es par le froid dâautomne. Violette, telle Ă©tait leur couleur. Silence. Elle regarda fixement ses yeux, mais ceux-ci Ă©taient voilĂ©s. Une paire de lunette, quâelle idĂ©e dâen porter en pleine nuit. Le jeune homme devait sĂ»rement avoir ses raisons personnelles, ou pas. Mais ce nâĂ©tait pas bien important. Lorsque soudain, alors quâelle se tenait droite, elle sentit comme un coup de froid, puis quelque chose qui lui compressait la poitrine. Elle comprit ceci quâen changeant son regard de direction. Un habit provocant. Un corset et une jupe plissĂ©e. Quelque chose que la demoiselle nâaurait jamais eut idĂ©e de mettre. Mais alors quâelle sâapprĂȘtait Ă se lâenlever, elle ressentit une nouvelle fois la mĂȘme Ă©motion. Elle Ă©tait â cette fois ci â habillĂ©e dâune superbe robe de mariĂ©e. Blanche. Comme toutes les princesses en rĂȘve. Mais ce nâĂ©tait pas vraiment le cas de lâAncienne Serdaigle, pas du tout. Alors quâelle fronçait les sourcils, lâinconnu renouvela une nouvelle fois lâexpĂ©rience, et encore, jusquâĂ quâelle rĂ©cupĂšre ses habits naturels. Durant la procĂ©dure elle resta muette, plutĂŽt inerte et parfois Ă©tonnĂ©e, ça pouvait se voir comme un jeu, comme une histoire, comme quelque chose de divertissement. Riku se laissait faire. Chose â pour lâinstant â vraiment inhabituelle. Silence. Un son, une â On pourrait jouer à ça toute la soirĂ©eâŠnon ? »Surprise. Riku ne rĂ©pondait pas, elle le regardait tout simplement, mais il nâavait pas spĂ©cialement tort, mais le ton quâil prenait nâĂ©tait pas vraiment rassurant, bien au contraire. Et puis il tenait sa baguette comme sâil allait jeter un sort, la sorciĂšre nây prĂȘtait pas une forte attention, ce qui Ă©tait mauvais pour elle, bien trop mauvais. Alors quâelle respirait calmement, regardant le jeune homme dâune vingtaine dâannĂ©e, elle la vit. Cette Ă©tincelle, si rouge, si aveuglante, si soudaine. Surprise ! Elle resta muette, mais tenta dâĂ©viter le sortilĂšge, mais celui-ci frĂŽla sa joue, et la tombe qui se trouvait derriĂšre elle explosa en morceau. Mais la voilĂ , elle Ă©tait de retour. Vraiment. Ils Ă©taient comme tout Ă lâheure, on lâavait attaquĂ©, elle se sentait offensĂ©. Encore. Comment pouvait-on oser ? Ses yeux, ils Ă©taient rouges, du sang, de la haine, le combat. Le DĂ©mon » Ă©tait de retour. Enfin. Une sorte dâonde psychique Ă©manĂ© de ce corps fĂ©minin, rien quâĂ voir son visage, on y dĂ©cernĂ© de la colĂšre, le calme, elle ne connaissait pas vraiment dans ce genre de situation. Surtout lorsquâelle sait que lâadversaire est fort, trĂšs fort. Elle ricane, la Chef des Mangemorts ricane. Elle semblait heureuse par moments. Elle est bien spĂ©ciale. Câest elle. â Le chat et la souris⊠»Silence. Jeu auquel jouait anciennement la Directrice des Serdaigles lorsquâelle se trouvait Ă lâOrphelinat, mais cela date de longtemps, et elle comprenait fortement la tournure de la situation, et ce que voulait dire le jeune homme par ce jeu. Sourire. Sâil provoque le Diable, il sera servit. Mais est-il conscient que ceci le mĂšnera a sa perte ? Sauf si lâAnge dĂ©munis rĂ©apparaĂźt avant la fin de la nuit. â Serais-ce une provocation en duel ? »Dit-elle simplement, avec une voix narcissique. Une voix qui lui donne lâair dâĂȘtre sure dâelle, pourtant, elle sait trĂšs bien que ça ne devrait pas ĂȘtre Niwa KelInvitĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] Mer 25 Oct 2006 - 2145 SilenceâŠPensĂ©es interrompues. Lâhomme, qui nous est toujours inconnu, venait de remarquer le changement radical de la jeune femme lors de son attaque » surprise. Mais il ne bougeait toujours pasâŠMĂȘme, il souriait. Pourquoi ? Que cachait-il ?âŠdes questions, toujours des questions. Cependant, les rĂ©ponses ne viennent jamais de lui-mĂȘme. Peut-ĂȘtre quâil expliquera les choses au fur et Ă mesure, qui sait ? Mais laissons de cĂŽtĂ© cette rĂ©flexionâŠCar Ă lâinstant mĂȘme oĂč je vous parle de cela, lâhomme avait disparu. Et soudain, les chaĂźnes sâanimĂšrent dâelles-mĂȘmes et vinrent sâenrouler autour de la tombe oĂč elles Ă©taient posĂ©es pour ensuite la dĂ©truire dâune puissante Ă©treinte. Que se passait-il ? OĂč Ă©tait-il ?Mais soudain, une voix sâĂ©leva de nul partâŠElle Ă©tait chaudeâŠdâailleurs, Riku devait sentir un souffle contre sa nuque. Pourquoi ? Peut-ĂȘtre parce quâil se trouvait lĂ au moment oĂč il prononça ses paroles ~Niwa Non, je ne pense pasâŠOublie la force, songe Ă embrasser lâĂ©corceâŠDisparitionâŠSuspension continue des chaĂźnesâŠPuis un bruit aqueux. Retour de la personneâŠde nouveau assise au milieu du bain de sang. Il le touillait du bout de sa baguetteâŠIl semblait passionnĂ© par la chose. Mais soudain, le sang se mit Ă lĂ©viter de la mĂȘme façon que les longues et Ă©paisses chaĂźnes mĂ©talliques. Dâailleurs, ces derniĂšres Ă©taient maintenant emmĂȘlĂ©es au liquide rougeĂątre. Il regardait la demoiselle alors que de sa main droite, il jouait de sa baguetteâŠPuis il se leva. Il Ă©tait, Ă grand Ă©tonnement, dĂ©pourvu de toutes traces rouges sur ses vĂȘtements, comme sâils Ă©taient restĂ©s bien au sec. Il avait dĂ» les faire sĂ©cher dâune simple informulation je penseâŠIl Ă©tait sĂ©rieux, et ses gestes se faisaient avec rapiditĂ© et souplesse Ă la fois. Il dĂ©posa le mĂ©tal aux pieds de la jeune femme, et forma une sorte de Sceau Ă ses pieds Ă lâaide du sang et de lâobjet dĂ©posĂ©. Il formait une croixâŠune croix sataniste ! Savait-il des choses qui Ă©taient inconnues Ă Riku ? EnfinâŠconnaissait-il plus de choses quâil ne laissait paraĂźtre ? Ou Ă©tait-ce un simple hasard quâil fasse cela ?âŠLa rĂ©ponse ? Dans ces parolesâŠ~Niwa Content de te connaĂźtreâŠdepuis le temps que je rĂȘvais de te voirâŠRikuâŠSur ce, le sang se sĂ©cha sur le sol, tandis que les serpents mĂ©talliques retournaient Ă son propriĂ©taire. Il les fit se calmerâŠtout comme il lâĂ©tait en ce comment savait-il qui elle Ă©tait ? Etait-ce parce quâelle Ă©tait recherchĂ©e un peu partout ? Ou Ă©tait-ce par un autre moyenâŠmagique ? Il semblerait que ce soit cette derniĂšre optionâŠCar cet homme nâĂ©tait personne dâautre que Niwa Kelhena, comme il lâexpliqua si bien dans cette phraseâŠ~Niwa PrĂ©sentation obligeâŠNiwa Kelhena pour te servirâŠCependant, contrairement Ă ce quâon pourrait penser, jamais il nâavait dans lâidĂ©e de la servir au bon sens du terme. CâĂ©tait lĂ une simple forme de politesseâŠIl ne servait personne, Ă part soi-mĂȘme. Etait-ce de lâĂ©goĂŻsme ? NonâŠjuste que dans la vie il a appris Ă ne compter sur personne Ă part lui. Enfin bref. Retournons au fait quâil sache la maniĂšre avec laquelle il a su qui il avait en face de luiâŠIl sâavĂšre que Niwa, Auror spĂ©cialisĂ© dans la garde personnelle du Ministre de la Magie, avait quelques pouvoirs rares et utilesâŠIls sont au nombre de deux. Ce sont la LĂ©gilimencie et lâOcclumencie. AprĂšs avoir remarquĂ© une certaine habiletĂ© dans ces deux domaines, une personne enseignant dans lâĂ©cole supĂ©rieure quâil a frĂ©quentĂ© sâen est occupĂ© personnellementâŠEt le voilĂ maintenant expert dans chacune de ces matiĂšres. CâĂ©tait un vĂ©ritable plus », aussi bien dans les duels que dans la vie de tous les joursâŠCâest pour cela quâil savait lĂ©gĂšrement les pensĂ©es de lâautreâŠbien sĂ»r, Ă une faible limite sâil nâutilise pas la force. Mais il avait plus malin que çaâŠcar Riku nâest pas nâimporte qui, et son esprit est tout sauf faible. Lorsque la croix au sol sâĂ©tait formĂ©e, il a profitĂ© de cette diversion pour lancer un sort de lĂ©gilimencie sur la jeune femme. Faible soit-il, mais suffisant pour la connaĂźtre lĂ©gĂšrementâŠCertes câĂ©tait quelque peu impoli, mais comme dit le proverbe, vaut mieux prĂ©venir que guĂ©rirâŠPuis, il baissa sa garde, et se mit de nouveau Ă sourireâŠses lĂšvres formant un croissant mystĂ©rieux⊠Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Jeu 26 Oct 2006 - 1847 { Magnifique RP, par contre le mien est bof }Silence. PensĂ©e obscure. Le DĂ©mon ne pouvait sâen empĂȘcher. Ses yeux rouges quâon pouvait confondre avec du sang en Ă©taient la preuve. Dans ces cas lĂ elle nâavait aucune pitiĂ©, aucune. Il lui Ă©tait donc facile dâĂŽter la vie, Ă nâimporte qui. MĂȘme si câĂ©tait une personne de sa famille, sauf si la vrais Riku » reprenait surface, ce qui est un cas rare dans ce genre de circonstance. Soupirs. Alors que la jeune femme qui Ă©tait dressĂ©e devant le jeune Ă©tait Ă©prise dâune haine absolue, elle vit apparaĂźtre des chaĂźnes prĂšs dâelle et la tombe qui se trouvait derriĂšre elle fut totalement dĂ©truite, en morceau minuscule. Sourire. CâĂ©tait un spectacle magique. MĂȘme pas un peu de respect pour le mort. Surprise. Tant mieux. Le DĂ©mon commençait Ă bien apprĂ©cier son adversaire » car câest ainsi quâelle le considĂ©rĂ©e, jusquâĂ ce quâil rĂ©ponde Ă sa question. â Serais-ce une provocation en duel ? »Niwa â Non, je ne pense pasâŠOublie la force, songe Ă embrasser lâĂ©corce⊠»Silence. CâĂ©tait de belles paroles, rĂ©flĂ©chis peut ĂȘtre, mais avec une notation magnifique. Mais ce nâĂ©tait guĂšre les pensĂ©es de Riku, bien quâelle aimait bien entendre ces mots. Soupirs. Elle ne rĂ©pondit rien Ă cette phrase dont elle ne trouver aucune rĂ©ponse convaincante, restant donc neutre, elle regardait ce qui se produisait sous ses yeux. Le spectacle continuait. Magnifique. Du sang ? Non elle ne rĂȘvait pas. CâĂ©tait prodigieux. Sourire. Elle regardait ce manieur compĂ©tant attendant la fin de son tour ». Puis lorsquâelle posa ses yeux au sol elle lâaperçut. Un sceau ». Non, une croix, une croix sataniste apparemment. LâincomprĂ©hension rĂ©sidĂ©e apparemment dans le cerveau du DĂ©mon. Elle restait incompĂ©tente vis-Ă -vis de sa rĂ©flexion sur ce sujet. Soupirs. Elle le regarda une nouvelle fois, attendant des explications mais ce fut tout autre. Une voix, la â Content de te connaĂźtreâŠdepuis le temps que je rĂȘvais de te voirâŠRiku⊠»Hana-Bi â Comment connais-tu mon nom ?Comment pouvait-il connaĂźtre son nom ? De plus, comment se permettait-il de lui parler si familiĂšrement ? Etait ce une de ses anciennes rencontre ? Poudlard peut ĂȘtre ? Elle nâen avait aucune idĂ©e, et puis Ă lâĂ©poque, elle nâĂ©tait point sortit du corps de Riku, le DĂ©mon attendait son heure. Lâheure de la nouvelle rencontre. Hikaru ». Soupirs. Durant ces pensĂ©es, le sang prĂ©sent Ă ses pieds commençait Ă sĂ©cher, pour ne faire plus quâun avec la terre fertile. Silence. En y rĂ©flĂ©chissant bien, il y avait peut ĂȘtre un moyen, un seul, qui pouvait lui faire connaĂźtre quelques rĂ©fĂ©rence sur la jeune sorciĂšre. Hana-Bi â LĂ©gilimens ? »Silence. Si cela Ă©tait bien le cas cela Ă©tait quelque peu dangereux, bien que Riku ait quelques capacitĂ©s en ce qui concerne lâOcclumancie, celles-ci nâĂ©taient pas Ă©normes. Elle avait eut quelques cours avec diverses personnes, mais ce nâĂ©tait pas devenue une as de cette capacitĂ©, prĂ©fĂ©rant dâautant plus Crodacier » dont elle a dut bosser Ă©normĂ©ment pour obtenir cette apparence. Soupirs. Regards intenses, que savait-il exactement ? La jeune femme hĂ©sitait, le tuer, sâen servir, lui faire cracher le morceau ? Toute ces Ă©ventualitĂ©s ne seront pas une tache facile a faire, donc patience, elle attend. Une â PrĂ©sentation obligeâŠNiwa Kelhena pour te servir⊠»Cette information nâavançait guĂšre la jeune femme, mais elle fit avec. Silence. Elle le regarda Pour te servir » , elle eut comme un air de dĂ©goĂ»t Ă cette phrase. Comme sâil Ă©tait sĂ©rieux, du moins son visage restait inerte. Et puis, Riku ne compte que sur elle-mĂȘme, ses Mangemorts sont lĂ seulement pour faire les petites missions inutiles quâelle ne veut pas accomplir par flemme. Soupirs. Elle regarda une nouvelle fois son interlocuteur de ses yeux rouge sang, et pris la â Et que me veux tu pour avoir tant attendus ma rencontre ? »Silence, elle restait froide et distante. Mais sa colĂšre sâĂ©tait dissipĂ©e pour laisser place Ă lâ Niwa KelInvitĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] Mar 31 Oct 2006 - 1739 Patience. Attention continue des moindres gestes et paroles de sa part. Niwa, toujours aux aguets, observaient la plus infime partie des choses, contrairement Ă ce quâil laissait paraĂźtre. Rester inerte Ă©tait sa principale Ă©motion. Cependant, son cĆur lui chuchotait Ă lâoreille de ses sensâŠencore et encoreâŠEt ici, que lui chuchotait-il ? Fallait-il quâil la tue ? NonâŠses pensĂ©es Ă©taient tout autres. Celles-ci Ă©taient simples et claires. Mais ne pensez pas que je vais vous les dire ainsiâŠLe moment viendra, comme dans tout dans la vie, chaque chose en son face de lui, une personne intelligente, rusĂ©e et maligne. Mais dâun lunatique absoluâŠEn ce moment, câĂ©tait le DĂ©mon qui le regardait droit dans les yeux, comme vous lâavez compris. Ce rougeâŠsi prĂ©sent dans les yeux de RikuâŠplaisant Ă ceux de lâhomme. Ce dernier, restait silencieuxâŠElle, elle se demandait comment il pouvait la connaĂźtre. Vous, bien sĂ»r, vous savez trĂšs bien la raison, contrairement Ă cette charmante demoiselle, Chef des Mangemorts, vous voyez ? Ceux qui lui obĂ©issent au doigt et Ă lâĆil, dans lâespoir dâune quelconque reconnaissance souvent inexistante. Dâailleurs, elle lui parlait sur un ton qui Ă©tait habituel aux yeux de Niwa. Elle Ă©tait froide, mais pas si distante que ça. Il sentait lâintĂ©ressement quâelle Ă©prouvait dans ses il se rapprocha une nouvelle fois dâelle. Puis, il sâarrĂȘte alors quâil Ă©tait Ă seulement vingt centimĂštres de son visage. Il passa son doigt dans les cheveux de la jeune femme, avec tendresse et dĂ©licatesseâŠEt, il leva sa main comme sâil allait la gifler. Mais il ne fit quâapparaĂźtre une rose rouge, quâil dĂ©posa dans les mains de Riku. Il approcha son visage encore un peu plusâŠQue voulait-il faire ? Quâavait-il en tĂȘte ? Il se rapprochaâŠencoreâŠencore un peu, plus que 5 centimĂštresâŠnon, il sâinterrompit. Il baissa la tĂȘte, prenant un air gĂ©nĂ©. Et il la releva quelque peuâŠIl poussa un faible soupir, etâŠse mit Ă sourire ! Quelle Ă©trangetĂ© dans ce personnage ! Et, il rigola avec discrĂ©tion⊠~Niwa Hum hum humâŠpourquoi tant rĂ©flĂ©chir? Sais-tu quâĂ force cela fait souffrir ? LĂ©gilimens ? Peut-ĂȘtre cela et encore lâest-ce ?âŠIl sâinterrompit iciâŠpourquoi parlait-il en rime ? Etait-ce une vieille malĂ©diction quâavait certaines personnes ? Ou Ă©tait-ce tout autreâŠAu lieu de vous laissez mijoter dans cette mĂ©ditation, je vous rĂ©ponds. Il sâavĂšre que Niwa nâest en aucun cas maudit. Juste quâil aime la poĂ©sie et la mystiqueâŠRien de plus, rien de soudain, un bruit par derriĂšre. RapiditĂ© et prĂ©cision sont les qualitĂ©s les plus adĂ©quates Ă lâĂ©clair jaune qui avait dĂ©jĂ atteint la source de ce bruitâŠCâĂ©tait un simple hibou. CâĂ©taitâŠcar lĂ câĂ©tait devenu un insecte noir et rĂ©pugnant un cafard. La mĂ©tamorphose empĂȘche souvent la MortâŠcomme on le lui avait appris auparavant. Dâailleurs, autre choseâŠNiwa avait transplanĂ©. Il se trouvait assis, en train de jouer de la flĂ»teâŠLes notes Ă©taient mĂ©lancoliques et doucesâŠCertaines personnes, sensibles, pourraient verser une larmeâŠQuelle beau portrait ce soir-lĂ âŠdu sang sĂ©chĂ©, formant la croix SatanisteâŠune personne qui nâest autre que la Chef des MangemortsâŠune louve blessĂ©e maintenant partieâŠet un hibou transformĂ© en cafard. Et lui ? Que faisait-il dans la vie ?âŠLa symphonie continuaitâŠEt, elle atteint petit Ă petit sa fin. Une note en si bĂ©mol lâachevaâŠPendant 5 secondes elle rĂ©sonnaâŠtympans vibrant sous cette mĂ©lodie. Il retira ses lĂšvres du bec de la flĂ»teâŠ~Niwa Te connaĂźtreâŠpour que de mon esprit tu ne puisses jamais disparaĂźtreâŠPuis il commença une nouvelle mĂ©lodie, attendant une rĂ©action de la jeune demoiselle. Sâil fallait discuter, il discuterait. Sâil fallait se battre, il se battrait. Et sâil fallait la tuer, il la tueraitâŠTelles Ă©taient ses visions. Primitives, certes. Mais il est ainsi. Il ne se fiait quâĂ son instinct, quâĂ sa maniĂšre de penser. Pourquoi se tromper soi-mĂȘme alors que nous avons des issus devant nous ? CâĂ©tait ce quâil se disait, entre autres bien des choses. DerriĂšre ses lunettes noires, il observait la silhouette de la femme. Belle et gracieuse Ă©taient les mots que son cĆur venaient de choisir. Puis ses yeuxâŠAussi terribles que magiques, porte de son Ăąme rĂ©vĂ©lant chaque infime parcelle de sa personne. Pas besoin dâaller plus loin se dit-il. Il ne voulait pas pĂ©nĂ©trer dans un jardin quâil respectait, et quâil prĂ©fĂ©rait connaĂźtre diffĂ©remmentâŠMais comment alors ?âŠLes notes volaient au rythme des gouttes dâeau qui tombaient du cielâŠle vent les emportantâŠpour une meilleure mystique, comme il aimait si bien⊠Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Mar 14 Nov 2006 - 2131 { DĂ©solĂ© du retard =] . Et au fait, jâai des potes qui sont tombĂ©es sur tes photos et qui fantasme sur toi, jâsuis jalouse T_T . x] *sors* =P }Silence. Le DĂ©mon resta inerte. Il attendait juste une rĂ©ponse pour Ă©claircir son esprit de fou, de tueur. Mais sans vraiment savoir pourquoi, il Ă©tait comme envoĂ»tĂ©, quelque chose de vraiment particulier lâempĂȘchait dâĂȘtre violent. Mais quoi ? Tout nâest que mystĂšre, alors que Riku lutait en elle-mĂȘme pour reprendre sa place, tout ceci Ă©tait fait en vain. Vraiment pitoyable. Qui pourrait croire que la Chef des Mangemorts Ă©tait une personne si faible en rĂ©alitĂ©. Quâelle Ă©tait totalement possĂ©dĂ©e dâune personnalitĂ© autre, mais qui faisait tout de mĂȘme partie dâelle. Peut ĂȘtre quâun jour, elle pourra sâen dĂ©barrasser, mais faudra-t-il dâabord quâelle comprenne⊠Ce qui Ă©tait loin dâĂȘtre le cas pour lâinstant. Soupirs. Mais qui sait. Peut ĂȘtre dans plusieurs annĂ©es, sa maturitĂ© aura Ă©voluĂ©e, tout comme ses deux personnalitĂ©s. Silence. Retournons a la rĂ©alitĂ©. Celle-ci si tendue⊠Le froid rĂ©gnait, mais Riku ne laissait transparaĂźtre aucun frisson alors quâelle Ă©tait que trĂšs peu couverte. Elle regrettait presque les vĂȘtements quâelle portait il y a quelques minutes. MĂȘme ci ceux-ci nâĂ©taient quâamusement pour son interlocuteur. Alors que le jeune Niwa Ă©tait assez Ă©loignĂ©e dâelle, il commença a sâapprocher, petit Ă petit, en silence. Riku ne bougea pas, elle resta froide. Ses lĂšvres lâattiraient Ă©trangement, mais elle ne fit rien. Rien de plus que de regarder la scĂšne. Son visage si ⊠SĂ©duisant. { x] }. Si si. CâĂ©tait comme si Riku reprenait le dessus dans ces prises de faiblesses du DĂ©mon. Mais rien nâĂ©tait fait. Alors que Niwa se trouvait quâĂ cinq petits centimĂštre, et quâelle pouvait jusquâĂ entendre le moindre bruit de respiration quâil produisait, il se retira, laissant devant elle une rose rouge, comme ses yeux. Sourire. Il lâa mis dans les mains de Riku qui ne put sâempĂȘcher dâaccĂšpter le prĂ©sent. Sourire. Pourquoi tant se poser de questions ?Niwa â Hum hum hum⊠Pourquoi tant rĂ©flĂ©chir? Sais-tu quâĂ force cela fait souffrir ? LĂ©gilimens ? Peut-ĂȘtre cela et encore lâest-ce ?⊠»Silence. Il nâavait pas tort dans ses propos, et sans doutes Ă©tait-ce pour cela que la Chef des Mangemorts ne rĂ©pondit rien. Elle savait garder le silence dans de telles circonstances, elle se laissait plutĂŽt guidĂ©e par son instinct. Elle semblait pourtant si naturelle Ă prĂ©sent.. Mais ses yeux Ă©taient toujours imprĂ©gnĂ©s de rouge, jusquâĂ ses pupilles, ce qui prouvait que câĂ©tait toujours le DĂ©mon. Puis le personnage se trouvant sous ses yeux disparut en un instant pour se rĂ©fugier plus loin. Transplanage. Un air de musique. MĂ©lodieux, mĂ©lancolique, si triste. Le DĂ©mon transplana Ă son tour et rejoingnis son partenaire. Un flĂ»te Ă la main, elle Ă©couta quelques secondes, et une larme coula de son Ćil. Son Ćil qui Ă©tait redevenus vert, comme a son initial. Riku semblait contracter ses muscles, comme pour prouver une forme de rĂ©ticences, elle avait gagnĂ©e le combat. Surprise. Le DĂ©mon Ă©tait repartis, encore. Jamais elle ne sâĂ©tait transformĂ©e autant en une seule journĂ©e. MĂȘme pas lorsquâil Ă©tait lĂ , lui. Hikaru. Mais elle Ă©tait tout de mĂȘme heureuse de retrouver son corps. Rien quâĂ elle. Mais que pouvait-elle dire au joueur de flĂ»te ? Une larme silencieuse coula aussi de lâautre Ćil, mais resta discrĂšte. Bien trop sensible. Comme chaque Serdaigle. Elle nâĂ©tait pas plus forte que les autres, mĂȘme trĂšs faible comparĂ©e a certains, son cĆur et son expĂ©rience au combat ne sâunissait pas, bien au contraire. Silence. Elle cacha ses yeux, pour avoir a Ă©vitĂ© une quelconque question inutile. Elle nâosa mĂȘme pas exprimer le fait quâelle soit redevenue elle-mĂȘme, alors quâil y a quelques secondes elle Ă©tait heureuse. Se sentirait-elle intimidĂ©e ? â Te connaĂźtreâŠpour que de mon esprit tu ne puisses jamais disparaĂźtre⊠»Quelles paroles poĂ©tiques. Mais en saisissait-il lâimportance ? Vouloir connaĂźtre Riku Ă©tait une bien grande chose, trop complexe. Que peu de personnes avaient rĂ©ussis Ă cerner ce personnage, et celles-ci la connaissait depuis son enfance. Comment un parfait inconnu pouvait-il affirmer ça ? Et pourquoi avait-il lâair si sur de lui ? Riku ne comprenait pas un traite mot, ou plutĂŽt, elle nây trouvait aucune signification particuliĂšre. Mais elle y rĂ©pondit, aprĂšs avoir passer le reste de manche de veste quâil lui restait sur ses joue. Et dans une voix plutĂŽt naturelle, elle rĂ©pondit Hana-Bi â Penses-tu vraiment y arriver ? Peu y sont parvennus. Et encore moins en sont ressortis vivant. »Elle nâĂ©tait plus froide dans ses propos, plutĂŽt prĂ©venante, elle donnait un conseil. Conseil qui allait ĂȘtre pris en compte ? Qui sait ?_________________uc_ Contenu sponsorisĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] * ...des mots... * [PV] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Quelques Mots» TROIS MOTS DE TROP pv Will» Laissons les mots courirent sur nos parchemins..Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMĂFAITS ACCOMPLISâą Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
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Matristesse est telle que mes larmes couvrent le sol Je ne peux plus faire face je me suis dĂ©sistĂ©e Je deviens folle, plus rien nâest drĂŽle Si tout se brise Ă mes cĂŽtĂ©s Câest que je cherche un sourire de ta part quelque part Une larme, un regard, un baiser Une phrase, un espoir, pour me sentir aimĂ©e Je ne suis plus rien sans toi
alpha M artiste Mike Brant titre Rien qu'une larme Les paroles de la chanson Rien qu'une larme »Mike Brant Rien quâune larme dans tes yeux,Câest toujours ta seule rĂ©ponse,Quand je te dis quâil vaudrait mieux,Ne plus se revoir nous deuxJâĂ©tais certain cette foisQue tu me retiendraitOn se trompe quelques foisUne larme a tout changĂ©Rien quâune larme dans tes yeux,Et soudain je rĂ©aliseJe rĂ©alise que de nous deuxCâest moi le plus malheureuxPar ma faute trop de foisMon amour tu as pleurĂ©Jâai voulu partir cent foisEt cent fois je suis quâune larme dans tes yeux,Je comprends combien je tâaimeJe tâaime et je veux te le direJe veux te revoir sourireRien quâune larme dans tes yeux,Câest toujours ta seule rĂ©ponse,Rien quâune larme dans tes yeux,Je veux te revoir sourireRien quâune larme dans tes yeux,Je comprends combien je tâaime
Titre: Rien qu'une larme Paroles : Michel Jourdan Musique : Brand Moshe ----- C F Rien qu'une larme dans tes yeux G C C'est toujours ta seule réponse C F Quand je te dis qu'il vaudrait mieux G C Ne plus se revoir nous deux E Am J'étais certain cette fois E C Que tu me retiendrais E Am On se trompe quelques fois F G Une larme a tout changé Rien qu'une
Paroles de la chanson Rien Qu'une Larme par InterprĂšte Inconnu Je pourrais faire semblant, mais le cĆur nây est plus. Mentir encore longtemps mĂȘme si tout est foutu. Le temps a fait sa route, puisque lâamour nâest plus. Il nous reste les doutes, lâavenir suspendu. Je pourrais faire semblant, semblant dây croire encore. De croire Ă ces amants que la passion dĂ©vore. A tes bras me serrant avant que je mâendorme. Mais tes yeux sont fuyants, ne me regardant plus. Rien quâune larme, Un peu de tristesse dans mes yeux, Qui te dĂ©sarme. Le cri de mon cĆur en silence. Rien quâune larme, Comme une blessure qui nous Ă©loigne, puisque tu pars. Jâai peur de lâĂ©vidence. Tu me laisseras. Jâen ai fait des efforts, Trop longtemps attendu. Notre amour est bien mort, mais tu ne lâas pas vu. Si tel est notre sort, je nâaimerai plus jamais plus. Je nâai aucun remords, si tu mâaimes plus. Rien quâune larme, Un peu de tristesse dans mes yeux, Qui te dĂ©sarme. Le cri de mon cĆur en silence. Rien quâune larme, Comme une blessure qui nous Ă©loigne, puisque tu pars. Jâai peur de lâĂ©vidence. Tu me laisseras.
Querien ne me retiendrait. Rien qu'une larme dans tes yeux, C'est toujours ta seule réponse, Quand je te dis qu'il vaudrait mieux, Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que tu me retiendrait On se trompe quelques fois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux, Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Les plus
Rien quâune larme dans tes yeuxCâest toujours ta seule rĂ©ponseQuand je te dis quâil vaudrait mieuxNe plus se revoir nous deux JâĂ©tais certain cette foisQue rien ne me retiendraitOn se trompe quelquefoisUne larme a tout changĂ© Rien quâune larme dans tes yeuxEt soudain je rĂ©aliseJe rĂ©alise que de nous deuxCâest moi le plus malheureux Par ma faute, trop de fois,Mon amour tu as pleurĂ©Jâai voulu partir cent foisEt cent fois je suis restĂ© Rien quâune larme dans tes yeuxJe comprends combien je tâaimeJe tâaime et je veux te le direJe veux te revoir sourire ⊠Rien quâune larme dans tes yeuxCâest toujours ta seule rĂ©ponse Rien quâune larme dans tes yeuxJe veux te revoir sourire Rien quâune larme dans tes yeuxJe comprends combien je tâaime
Querien ne me retiendrait On se trompe quelquefois Une larme a tout changĂ©. Rien quâune larme dans tes yeux Et soudain je rĂ©alise Je rĂ©alise que de nous deux Câest moi le plus malheureux. Par ma faute, trop de fois, Mon amour tu as pleurĂ© Jâai voulu partir cent fois Et cent fois je suis restĂ©. Rien quâune larme dans tes yeux
Paroles de Rien qu'une larmeInterprétées par Mike BrantRien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'était certain cet fois Que rien d'amoureux viendrait On se trompe quelque fois Une larme a tout changer Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute trop de fois Mon amour tu as pleuré J'ai voulu partir cent fois Et cent fois je suis resté Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime Je t'aime et je veux te le dire Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Rien qu'une larme dans tes yeux Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime Rien qu'une larme dans tes yeux.
Toujours aller de lâavant Câest Ă la fois une philosophie et une raison dâĂȘtre. Je ne saurais vous dire pourquoi, ni comment tout ça est arrivĂ© : mais câest
Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal ⏠MĂFAITS ACCOMPLISâą Corbeille &&. ANCIENS RP 3 participantsAuteurMessageAlice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 111 Toujours aller de lâavant⊠Câest Ă la fois une philosophie et une raison dâĂȘtre. Je ne saurais vous dire pourquoi, ni comment tout ça est arrivĂ© mais câest arrivĂ©. Quand jây repense, jâen aie des frissons. Il fallait que je fasse le point, que jâaille de lâavant, que jâimagine ma vie autrement quâĂ travers ses yeux. Je ne saurais dire pourquoi, mais câest ainsi⊠Ma vie ne se rĂ©sume quâà ça, quâĂ ce son qui rĂ©sonne entre six cordes, quâĂ des paroles susurrer par le passé⊠Par des photos, des images qui bougent, qui me sourient, qui me dĂ©prime⊠»La plume sâĂ©tait arrĂȘtĂ©e. Le bruit du frottement sur le bout de parchemin sâĂ©tait stoppĂ© net, faisait place Ă la froideur de la nuit, Ă ce silence quâAlice redoutait tant. La pluie se baladait le long de la fenĂȘtre, les quelques bougies allumĂ©es sâĂ©taient presque Ă©teintes, et le crĂ©pitement du feu ne faisait plus grande impression. La jeune demoiselle contemplait la salle commune de ses grands yeux gris, cherchant un dĂ©tail qui pourrait lâĂ©tonner ; mais elle la connaissait par cĆur. Ses moindres coins et recoins, tout ça Ă©tait devenu banal. Pucky avait trouvĂ© le sommeil aux pieds de la jeune Alice, lâair de rien, il sâĂ©tait endormit paisiblement, Ă©mettant des ronronnements quâon aurait pu entendre Ă des kilomĂštres de lĂ . La Lune Ă©tait Ă©carlate, telle une peinture encore fraĂźche quâon nâosait pas toucher, de peur de tout gĂącherâŠCe tableau Ă©phĂ©mĂšre qui est la vie, ce tableau quâon envisage, quâon dĂ©visage et puis quâon jette, parce quâil est dĂ©modé⊠Câest ça, le bonheur quelque chose quâon jette, parce quâil est dĂ©passĂ©. Alice poussa un long soupir. Elle Ă©tait donc la seule Ă cette heure ci ? Pourtant, habituellement, les Ă©lĂšves restaient Ă©veillĂ©s jusquâĂ tard le soir⊠Oui, elle ne comprenait plus rien, Ă croire quâelle Ă©tait faites pour tout tenir en Ă©chec. Elle rapprocha soudain sa plume vers son petit bout de parchemin, le trempant dans lâencrier sombre qui Ă©tait dĂ©licatement posĂ© sur la table basse. Dâun geste brusque, elle nota un motâŠun seul. Hate » BAM ! Son cĆur venait de dĂ©crocher, laissant les larmes couler le long de ses joues blanchĂątres. La jeune demoiselle, Ă lâapparence dâune poupĂ©e en porcelaine, rapprocha dĂ©licatement ses mains de son doux visage. Elle entendait milles et une voix qui trottinaient dans sa tĂȘteâŠDes reproches, que ça, partout, et elles ne cessaient dâaccroĂźtre. La jeune Alice serra les poings, sâempĂȘchant de crier, mais la tentation Ă©tait trĂšs forte, trop forte mĂȘme⊠Mais elle ne devait rien dire, faire semblant, comme tous les jours de lâannĂ©e. Etait-ce si difficile ? Non, bien sĂ»r que non ! Elle Ă©tait habituĂ©e Ă ne rien dire, Ă garder tout ça en secret. Son cĆur Ă©tait fermĂ© Ă doubles tours, oui, câĂ©tait connutâŠAlors pourquoi craquĂ© lĂ , maintenant ? Pourquoi tant de solitude ? Et pourquoi pleurait-elle ? Elle-mĂȘme ne savait pas pourquoiâŠsans doute le stress. Et quel stress. Ses mains sâĂ©taient mises Ă trembler dâavantage, mais ça ne lâempĂȘcha pas de reprendre son parchemin Ă prĂ©sent plein de tĂąches dâencres. Sa plume en main, elle continua, ses larmes perlant toujours autant le long de son visage⊠Le fort dâun ĂȘtre, câest de savoir souffrirâŠsans ça, il est vouĂ© Ă lâĂ©chec complet. Je ne suis sĂ»rement pas assez forte, mais quand le jour viendra, je dirais toutâŠmais pour le moment, le jour nâest pas encore venu. »Ses yeux dâun gris Ă©blouissant se remplissaient dâeau. De lâeau quâon aurait voulut prendre dâun geste, pour quâelle cesse de pleurer sur lâĂ©tat du monde, pour quâelle cesse enfin de souffrir en silence. Mais rien nây faisait, pourtant on la voyait sourire en mĂȘme temps. CâĂ©tait de lâironie⊠Stop. Le silence revint alors, plus rien nâaurait pu retenir son attention Ă part le crĂ©pitement du feu. Plus rien, mĂȘme pas ces voix qui va et venaientâŠmĂȘme pas ce bruit Ă©trange qui venait de sâinterposer entre le ronronnement de Pucky et le scintillement des bougies. En fait, quand on Ă©coutait de plus prĂšs, câĂ©tait des bruits de pas. Alice retint alors son souffle, essayant tant bien que mal dâarrĂȘter ses larmesâŠelle se mit Ă empoigner le bout de parchemin, puis le froissa dans tous les sens. Sâen Ă©tait assez ! Dâun geste quasi-immĂ©diat, elle balança la boule » Ă lâautre bout de la piĂšceâŠSon coeur battait la chamade, ses yeux Ă©taient fermer, ne voulant pas voir la rĂ©alitĂ© en face tout le monde change. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 159 Natalia restait allongĂ©e sur son lit, incapable de sâendormir, les jambes et les bras croisĂ©s, elle restaient lĂ inerte, a rĂ©flĂ©chir, ou plutĂŽt a rĂȘver, comme a son habitude. Elle ferma ses yeux quelques instants, faisant disparaĂźtre ses iris bleu, puis les rouvrit calmement, dĂ©cidĂ©ment, elle ne dormirais pas cette nuit. Depuis quelques temps la bleue et argent, Ă©tait prise dâinsomnie inexplicable. Elle nâen parlait bien Ă©videment a personne, car elle nâĂ©tait pas du genre a ce confier. HabillĂ©e dâun short et dâun dĂ©bardeur, par-dessus lesquels, elle enfila une chemise trop grande pour elle, Natalia fit glisser ses pieds sur le cĂŽtĂ©. Au contact de sa peau sur le parquet froid, un frisson lui parcoura le corps tout entier. DĂ©cidĂ©ment, elle nâaimait vraiment pas lâhiver, câĂ©tait bien trop froid, pour la jeune Ă©tudiante de Poudlard qui au contraire, aime les beaux jours. Silence. Elle se leva en silence, se dirigeant a pas feutrĂ©s vers la salle de bain. Le dortoir plongĂ© dans lâobscuritĂ©, elle entendait la respiration lente des autres filles avec qui elle le partageait. Lorsquâelle arriva Ă lâendroit voulu, elle sortit sa baguette et murmura un vague Lumos » a peine audible. Quoi quâil en soit, il apparu au bout de sa baguette, une petite lumiĂšre verte, qui lâĂ©claira assez, pour que Natalia puisse sâemparer du premier Ă©lastique quâelle trouva, pour ainsi, sâattacher les cheveux en une queue de cheval haute, faite a la va vite. Une mĂšche retombant devant ses yeux, elle la cala derriĂšre son oreille droite, puis se dirigeant a prĂ©sent vers les escaliers, elle mettait sa baguette en direction du sol, pour Ă©viter de marcher sur quelque chose qui ferait du bruit, ou bien qui pourrait la faire tomber. Prenant ensuite la direction de lâescalier en colimaçon, elle entendit toute fois du bruit en bas, et sâarrĂȘta Ă quelques marches de la fin de celui-ci. DâoĂč elle Ă©tait, elle ne voyait pas encore qui câĂ©tait, et si elle tombait sur la prĂ©fĂšte, elle sentait a trois kilomĂštres a la ronde, la leçon de morale a laquelle elle aurait le droit. Silence. Seulement un grattement de plume. Zut. Si cette personne Ă©tait toute seule, elle nâallait pas parler, Ă moins quâelle soit folle. Elle sâĂ©tira alors du mieux quâelle pu pour sortir sa tĂȘte et regarder qui sâĂ©tait. Manquant de tomber, elle provoqua un bruit dâenfer. Une grimace sur son visage, elle releva son regard vers les escaliers, peut ĂȘtre que certains descendrait voir ce quâil se passait. Puis, elle sâintĂ©ressa enfin Ă la personne qui Ă©tait prĂ©sente dans la salle A la vue de son amie, Natalia ne pu alors rĂ©primer un immense sourire. Alice. Alice. Ce seul mot, procurait une euphorie en Natalia. Elle. Seulement elle. CâĂ©tait une longue histoire, une longue amitiĂ©, qui remontait a prĂ©sent Ă de nombreuses annĂ©es. Effaçant son sourire doucement, elle sâapprocha de son amie, la serrant dans ses bras quelques secondes, elle alla sâasseoir dans le fauteuil le plus prĂšs de la cheminĂ©e. Etant une grosse frileuse, elle sortit sa baguette, et le fit battre du tonnerre Ă lâaide dâun sortilĂšge basique. Se recroquevillant sur le fauteuil, elle entoura ses jambes avec ses bras, puis reposa son regard bleu flamboyant sur son amie, elle se demandait bien ce quâelle faisait a une heure pareille a Ă©crire dans la salle commune, alors quâelle aurait pu se faire prendre a tout moment. Mais elle reconnaissait lĂ , le tempĂ©rament dâAlice, si semblable au sien. Toujours prendre des risques, sinon ce nâest pas drĂŽle. Silence. Elle la regarda encore quelque seconde avant de prendre la parole. Alice » Elle marqua une pause. Tu peux me dire ce que tu fabriques ? »Un sourire amusĂ© sur les lĂšvres, la jeune femme connaissait dĂ©jĂ la rĂ©ponse, elle Ă©crivait ses pensĂ©es, comme toujours. Eternelle rĂȘveuse. Silence. Et si on sâenfuyait toutes les deux dans un autre monde, notre monde, et imagine quâil serait comme on le voudrait. Oui. CâĂ©tait gĂ©nĂ©ralement les sujets de conversations des deux Serdaigle. Silence. Elle reporta une derniĂšre fois son regard sur son amie, avant de prendre sa baguette de lâagiter faiblement, et des rubans sortirent alors de celle-ci pour former un seul et unique mot. Dream. » Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 321 Brrrr. On sâles gĂšle. Allez, jâme casse. »Nuit. Parc. Atreus. LĂ encore, ces trois mots rĂ©sumaient bien la situation. LâIrlandais nâavait pu sâempĂȘcher de faire une petite escapade nocturne. Il y Ă©tait accoutumĂ© mais, comme on dit souvent, On ne change pas les vieilles habitudes ». Ses fonctions de prĂ©fet ? Boaf. Pas une raison pour respecter Ă la lettre le rĂšglement. Si ? Tant silhouette du jeune homme, non reconnaissable dans lâobscuritĂ©, bougea. Elle se mit en marche vers le chĂąteau, prenant garde au sol traĂźtre du parc. Pour un observateur attentif et proche, on pouvait apercevoir un objet dĂ©passant de la ceinture du Serdaigle. Une lame. EnsanglantĂ©. Pas besoin de vous rappeler ce quâil fait avec. De toute façon, on le devine facilement. Le jeune homme continua son chemin, Ă©clairant son passage du mince faisceau que lui procurait sa baguette. CâĂ©tait une nuit claire et fraĂźche de Septembre. Le silence de la nuit Ă©tait agrĂ©able. Reposant. MĂȘme le vent se faisait discret. Seul le lĂ©ger bruit Ă©touffĂ© des pas de lâĂ©tudiant se faisait entendre. Mais, fatiguĂ© de cet absence de bruit, un hibou lança un hululement sonore qui fit sursauter la silhouette. Tssss. SaletĂ© de volatiles nocturnes. LâĂ©lĂšve reprit sa route.+ + + + + + + +Se faisant discret quand il le voulait grĂące Ă son don, Atreus ne tarda pas Ă arriver sans encombre devant lâescalier qui menait Ă sa salle commune. Donnant sans hĂ©sitation la rĂ©ponse Ă la question habituel du Gardien, un Aigle en bronze, le jeune homme sâengouffra avec joie dans la salle, emmitouflĂ© dans une veste grise. Le feu crĂ©pitait avec tant ardeur quâil sâen Ă©tonna premiĂšrement. Câest alors quâil aperçu les deux silhouettes assises auprĂšs du foyer. Elles sâĂ©taient retournaient Ă son entrĂ©e et lâobservaient Ă prĂ©sent. LâIrlandais nây prit pas garde dans lâinstant et entreprit de se rapprocher de lâĂątre, car il grelottait de froid. Ne pouvant que sâapprocher des deux silhouettes, ils se tourna vers elle. CâĂ©taient deux jeunes femmes. Parmi-elles, se trouvait Junie. De mĂȘme annĂ©e que lui, Atreus sâĂ©tait liĂ© dâamitiĂ© avec cette jeune femme dĂšs le dĂ©but de sa scolaritĂ©. MalgrĂ© leurs caractĂšres diffĂšrent remarquez, Atreus est diffĂ©rent de la majoritĂ© des Serdys, ils sâapprĂ©cient mutuellement. Lâautre jeune femme nâĂ©tait quâautre que Alice, grande amie de Junie et en SixiĂšme AnnĂ©e. Atreus lâa connaissait bien aussi mais nourrissait moins de liens avec elle. En tout cas, en apercevant leurs visage, le jeune homme eut un sourire. Atreus Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Atreus se laissa tomber sur le divan faisant face Ă la cheminĂ©e mais proche des deux filles et se mit en devoir de rĂ©chauffer ses membres engourdis par le froid. Il tourna la tĂȘte et observa les deux jeunes le bruit du bois qui craquait se faisait entendre. Les ombres des trois Serdaigles valsaient sur les murs. Atreus. Alice. Junie. Trois Ă©tudiants. Une nuit. VoilĂ le tableau. DerniĂšre Ă©dition par le Mar 6 Nov 2007 - 1411, Ă©ditĂ© 2 fois Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 1305 Ce sentiment avait disparus en quelques secondes. La peur dâĂȘtre prise sur le fait, dâĂȘtre dĂ©couverte⊠Junie avait fait son apparition, toujours aussi radieuse. CâĂ©tait automatique chez Alice quand elle voyait son amie sourire bĂȘtement. Elle dĂ©testait ça, mais ne pouvait sâen empĂȘcher. Ah, si vous saviez⊠Si vous saviez comme Junie Ă©tait importante pour la jeune Alice. CâĂ©tait une amie remarquable, et toutes deux Ă©taient trĂšs semblables. La jeune Brown se dĂ©gagea la gorge, touchant dĂ©licatement ses yeux ; mais ça ne servait Ă rien de le cacher, Natalia saurait quâelle avait versĂ© quelques larmes⊠CâĂ©tait ça, leur amitiĂ©. ConnaĂźtre lâautre sur le bout des doigts, savoir ce quâelle ressent sans mĂȘme lui accorder un regard ; ça câĂ©tait la vraie amitiĂ©, celle quâon voit dans les contes de fĂ©es, celle dont on rĂȘve toute sa vie, celle quâon a peur dâimaginer⊠Alice avait eut de la chance ; elle lâavait trouvĂ©. Ca ne collait pas trop dans son caractĂšre de sâattacher Ă quelquâun, mais dans le cas lĂ , elle nâavait pas vraiment eut de mal. La jeune Alice avait rencontrĂ© Junie quelques annĂ©es auparavant, et depuis, elles ne se quittaient plus⊠Dans un toussotement lĂ©ger, la Serdaigle Ă©couta la voix de son amie. Ce quâAlice fabrique ? HumâŠJunie le savait au fond, car câĂ©tait devenu une coutume » pour la jeune Brown ; Ă©crire. OhâŠEh bien, jâĂ©crivais. »Elle eut une pensĂ©e pour la boule de parchemin qui avait voltigĂ© Ă lâautre bout de la salle commune. Puis elle Ă©metta un bref soupir, le regard gĂȘnĂ©. Câest vrai, et si Junie lui demandait ce quâelle avait Ă©crit, quâaurait-elle Ă rĂ©pondre Ă part je sais plus » ? Rien, strictement rien⊠Mais cette idĂ©e ne fit que lui traverser lâesprit, trop occupĂ©e Ă regarder lâĂ©lĂšve qui venait dâentrer dans la salle commune. Alice ne sâoccupa pas trop de lui, pensant que câĂ©tait encore un de ces Ă©lĂšves de TroisiĂšme annĂ©e qui cherchait absolument Ă se faire remarquer â dâailleurs, vu le bruit, ce nâĂ©tait pas Ă©tonnant. Mais elle ne tarda pas Ă comprendre quâil ne sâagissait dâen aucun cas dâun troisiĂšme annĂ©e, mais plutĂŽt de Atreus Calgar, le PrĂ©fet. Bon, Alice ne le connaissait pas Ă©normĂ©ment, mais dâaprĂšs Natalia, il en valait la peine⊠La jeune Serdaigle lui accorda un sourire ravissant, jusquâĂ ce quâil prenne la parole⊠A priori, Junie et lui Ă©tait frigorifiĂ© ; Ă les voir, Alice ressentit un frisson. Maintenant, ils Ă©taient trois. Ca va, ça va⊠» mais elle ne pouvait sâempĂȘcher dâavoir un sourire hypocrite en disant ça, puis elle continua sur sa lancĂ©e âŠet toi ? »Pas trĂšs crĂ©dible, sĂ»rement. Mais les mots quâavaient dessiner Junie avec sa baguette venaient de lui rendre lâespoir. DREAM. Elle avait raison, la vie câest avant tout vivre ses rĂȘves⊠Fallait-il pour autant en oublier le principal ? Rester sur Terre, rester sur Terre » la jeune Serdaigle se lâĂ©tait dit des milliers de fois. Pourtant, rien ne faisait, elle restait dans sa bulle, nâosant plus regarder la rĂ©alitĂ© en face. Elle fut Ă©coeurĂ©e rien quâĂ la pensĂ©e dâĂȘtre apprĂ©ciĂ©e ». Non, câĂ©tait impossible⊠Son regard se posa Ă©troitement sur Atreus. Quand elle sâen rendit compte, elle nâosa plus bouger un cil, se contentant dâĂ©couter la mĂ©lodie que produisait le crĂ©pitement du feu⊠Puis Junie. Elle Ă©tait toujours lĂ , toujours avec cet air rĂȘveur. Alice se sentit pousser des ailes, et comme avait fait son amie un peu plus tĂŽt, elle prit sa baguette et dessina quelque chose dans lâatmosphĂšre. En forme de vapeur, quelques lettres manuscrites firent leurs apparitions. Friends ». Puis sa pensĂ©e revint pour la boule de parchemin, perdue sans raison dans un coin de la salle commune. Mais il lui Ă©tait impossible de dire la vĂ©ritĂ©, sa vĂ©rité⊠Pas pour lâinstant, en tout cas. Imagines toi dans un monde oĂč il nây a que nous, oĂč tu as des ailes et oĂč les seuls sentiments qui y rĂšgnent sont lâamour et la joie. Imagines ce monde, et appelles moi quand tu lâas trouvé⊠Appelles moi quand tu auras pris conscience que ce monde, câest le Paradis. » James Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2206 PRĂCISION - Normalement vous l'appelez Ian vu qu'il n'aime pas se faire appeler James. Et dĂ©solĂ©, j'ai fait un truc pourri -___- DerniĂšre annĂ©e. Nouvelle annĂ©e. CâĂ©tait carrĂ©ment une partie de son adolescence qui allait bientĂŽt se terminer. De toute maniĂšre, depuis maintenant presque un an, il Ă©tait majeur dans le monde magique. James avait 17 et dans deux mois, il allait en avoir 18. Oh non, il nâavait pas redoublĂ©. Il avait simplement perdu une annĂ©e pour cause quâil Ă©tait nĂ© en novembre. Mais ça, ce nâĂ©tait ni de la faute de ses parents, ni de la sienne. De personne en fait. Et puis. On ne va pas Ă©crire tout un texte sur sa naissance, ce nâest pas important. Ian Ă©tait dans son dortoir. Sa baguette Ă©mettait une petite source de lumiĂšre, baguette qui Ă©tait posĂ©e contre la petite table au cĂŽtĂ© du lit. Elle Ă©tait suffisamment forte pour permettre au jeune homme de lire, assez faible pour ne pas rĂ©veiller le reste des septiĂšmes annĂ©es. Mais il en manquait un. Encore. Atreus Calgar. Depuis le nombre dâannĂ©es quâils se connaissaient, Ian commençait Ă trĂšs bien le connaĂźtre. Ils Ă©taient quand mĂȘme assez proches. Le prĂ©fet Ă©tait probablement parti se promener quelque part dans lâĂ©cole. Plusieurs fois, il Ă©tait venu, mais pas cette fois. Un petit bouquin avait attirĂ© son attention. Durant lâaprĂšs-midi, il Ă©tait passĂ© faire un tour Ă la bibliothĂšque, comme Ă son habitude, mais il Ă©tait tombĂ© sur un petit ouvrage bien particulier. Il nâavait pas de titre. La couverture Ă©tait rouge foncĂ©, et on pouvait y voir une sorte de dessin abstrait sur la couverture. Mais quoi ? CâĂ©tait impossible Ă dĂ©chirer, et Ian ne lâavait pas lĂąchĂ© depuis. MĂȘme le texte semblait assez complexe. Il nâĂ©tait rendu quâĂ la cinquiĂšme page et encore il Ă©tait mĂȘme pas certain dâavoir tout saisit. CâĂ©tait un univers spĂ©cial quâil devait absolument dĂ©couvrir. Il Ă©tait tellement absorbĂ© quâil nâavait mĂȘme pas vu un autre Ă©tudiant se levĂ© et venir Ă cĂŽtĂ© de son lit. Ian. » Ian ? » dit-il un peu plus fort. Hum ? » se contenta de dire Ian sans mĂȘme lever un regard. Quâest-ce que tu fais ? »Le jeune homme sâarracha difficilement de son livre et posa son regard foncĂ© sur son ''ami''. Car oui, ils se connaissaient quand mĂȘme. Je lis. Ăa ne se voit pas ? » Tu peux pas aller lire ailleurs ? La lumiĂšre de ta baguette mâarrive directement dans les yeux. »James arqua un sourcil. Ecnore. Sâil voulait dormir, il nâavait quâĂ fermer les yeux ou se tourner de lâautre cĂŽtĂ©. Le jeune homme haussa les Ă©paules, et referma doucement le livre, avant de sortir de son lit. En fait, les couvertures nâavaient pas Ă©tĂ© dĂ©fais. Il Ă©tait simplement assis, dos contre son oreiller, qui Ă©tait contre le mur. Il portait une paire de pantalon bien normal noir, avec un t-shirt blanc. Ă la tombĂ©e de la nuit, il avait enfilĂ© une veste bleu foncĂ© et avait mis le capuchon sur sa tĂȘte. Allez savoir pourquoi. Tout portait Ă croire quâil ne sâĂ©tait pas encore changĂ© pour dormir. Bref. Il attrapa sa baguette quâil Ă©teignit de façon informulĂ©e et sortit silencieusement du dortoir. Il descendit Ă son tour les escaliers en colimaçon, et sâarrĂȘta dĂšs quâil eut enlevĂ© le pied de la derniĂšre il eut une impression de dĂ©jĂ vu. Trois personnes. Atreus. Junie. Alice. Ce nâĂ©tait pas la premiĂšre fois quâils se retrouvaient tous les quatre dans la salle commune. Tenant sa baguette et son livre avec la mĂȘme main, il eut un petit sourire en coin et sâapprocha dâun des fauteuils et sâinstalla aux cĂŽtĂ©s dâAtreus. Bonsoir Ă tous. »Toujours le capuchon sur sa tĂȘte, il porta son regard sur son ami, toujours ce petit sourire flotta sur ses lĂšvres. Xavier mâa gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Ce type n'Ă©tait pas tellement apprĂ©ciĂ© d'ailleurs avec tous ses petits caprices. Ce Xavier je-ne-sais-trop-quoi. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2231 Natalia resta silencieuse un instant. Elle savait qu'avant son entrĂ©e Alice avait versĂ©e quelques larmes, mais elle ne lui fit aucune remarque la dessus, elle savait ce qu'Ă©tait la pudeur, et elle mĂȘme detestait qu'on la force a parler, lorsqu'elle ne le faisait pas d'elle mĂȘme. Laissant alors son regard vagabonder sur les flammes dansantes, elle laissa alors le temps qui lui fallait, a Alice, pour s'essuyer les yeux correctement, et ainsi effacer toutes traces de chagrin de son visage. Lorsqu'elle reposa ses yeux bleu sur son ami, elle afficha un sourire, mais celle ci n'eu pas le temps de lancer un nouveau sujet de conversation, que quelque chose provoquait un bruit d'enfer. Instinctivement, Natalia porta son regard vers le dortoir, mais aprĂšs quelque seconde a scruter cet endroit endormit, elle compris, qu'elle s'Ă©tait trompĂ©e et que le bruit ne provenait pas de lĂ . Silence. Il se rapprochait, soudain, elle vu personne d'autre qu'Atreus, arrivĂ©e dans la salle commune, un air joyeux sur le visage. Encore partie en vadrouille, et il avait oser ne pas en parler a Natalia. En mĂȘme temps, il faut dire que lorsqu'on lance la bleue et argent, on n'arrive plus a l'arrĂȘter pas mĂȘme Atreus, James, Alice, ou bien encore Leslie sa soeur jumelle. Non. Personne. Elle le vit alors se rapprochĂ© des deux amies, a son expression cela ne l'Ă©tonnait guĂšre de trouver Alice et Natalia dans la salle commune a cette heure ci, mais en mĂȘme temps au bout de sept ans, il devait s'y ĂȘtre habituer. Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Ca va, ça va⊠et toi ? »Natalia ne rĂ©pondit pas tout de suite, elle aimait se faire attendre. Elle vit alors le prĂ©fet de sa maison s'installer dans un fauteui proche du sien, et se rĂ©chauffer grĂące au feu qu'elle avait allumĂ©e quelques minutes a peine auparavant. Puis elle reporta son attention sur Alice. Alors que le mot que Natalia avait tracer, s'ffacer doucement, Alice, elle, en inscrivit un nouveau. c'Ă©tait comme un jeu pour les deux amies, et en mĂȘme temps une façon de s'entrainer pour les sortilĂšges. Elles Ă©taient ce que l'on pouvait qualifer de rĂ©eles sorciĂšres, ne faisant pratiquement rien sans leurs baguette, mĂȘme lacer leurs chaussures. Silence. Se massant doucement le front, elle prit enfin la parole, cassant le silence, bercer par le crĂ©pitement des flammes. Je pĂšte la forme. »L'arrogance de Natalia Ă©tait quelque chose de phĂ©nomĂ©nal, les rĂ©pliques de la bleue et argent cultes. On ne pouvait y Ă©chapper, elle avait toujours le dernier, et surtout, elle avait toujours quelque chose a rĂ©pliquer. Ce qui ne se fit pas attendre. Au regard interrogateur d'Atreus, elle fournit alors trĂšs vite une explication a son sarcasme. J'aime tellement ne pas ĂȘtre conviĂ©es aux virĂ©es nocturnes. Non. SincĂšrement ca m'va droit au coeur. »Fixant Atreus d'un air de dĂ©fi, elle n'eu pas le temps d'entammer une guerre que quelqu'un d'autre faisait son entrĂ©e. Silence. Tournant la tĂȘte, cette fois ci, cela provenait bien des dortoirs. Elle fit alors une lĂ©gĂšre grimace jusqu'a ce qu'elle s'appercoive, que ce n'Ă©tait que James. C'Ă©tait quelqu'un avec qui elle s'Ă©tait rapprochĂ©e dĂšs le dĂ©but de sa scolaritĂ©, et avec qui elle Ă©tait a prĂ©sent Ă©troitement liĂ©es. D'ailleurs, il n'est pas rare qu'elle s'amuse a la titiller en l'appelant James, oĂč alors son jeu favoris est de se faire passer pour Leslie, et que Leslie se fasse passer pour elle. La seule personne qui ai jamais su la reconnaitre, c'est Alice. Mais en mĂȘme Alice, c'est Alice, et elle connait tellement bien Natalia, qu'on comprend qu'elle ne la confonde pas aussi facilement, mĂȘme avec sa soeur jumelle. Silence. Bonsoir Ă tous. » Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. »Ne me demandez pas ce qu'a Natalia ce soir, elle est dĂ©chainĂ©e. La provocation et l'arrogance sont de mise. Mais en mĂȘme temps, cela fait bientĂŽt sept ans qu'Atreus comme James, supporte le caractĂšre arrogant de la jeune bleue et argent, alors une nuit de plus qu'est ce que c'est ? Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 113 Alice - Ca va, ça va⊠et toi ? »Atreus - On fait avec⊠» Atreus fit un lĂ©ger sourire Ă Alice tout en apprĂ©ciant avec douceur la bonne chaleur du feu. Le meilleur moyen pour se rĂ©chauffer tiens. AprĂšs un instant de rĂ©flexion avec sa conscience il rectifia sa pensĂ©e. Non. Le meilleur moyen Ă©tait un bon verre dâalcool. Mais faute dâen avoir dans lâimmĂ©diat, câĂ©tait lâidĂ©al pour lâinstant. Le Serdy fixa alors Junie. Hmmm⊠Quâavait-elle encore ? Elle ne lui avait rien dit jusquâĂ prĂ©sent. Elle faisait la gueule ? Ca serait pas la premiĂšre fois. On va dire quâAtreus Ă©tait accoutumĂ© de ses petites renfrogneriez. Il lui arrivait souvent de dĂ©conner sur ça avec Ian. Tiens. En pensant Ă lui, il Ă©tait sĂ»rement en train de bouquiner encore. Le jeune homme eut encore un pâtit sourire. Une manie de Ian ? On pourrait dire ça. Mais ça empĂȘchait pas Atreus de lâadorer comme un frĂšre. Tout comme il adorait Junie et son caractĂšre. Et Alice avec sa gentillesse et sa mĂ©lancolie. Junie - Je pĂšte la forme. » Atreus eut un lĂ©ger sursaut et observa Junie. AĂŻe. Jâvous avez dit quâil y avait quelque chose qui clochait. AprĂšs sept ans passĂ© en sa compagnie, jâla connaĂźt comme ma sĆur la Junie. LâIrlandais haussa les sourcils et lui lança un regard interrogateur. Il voyait pas du tout ce quâil avait fait qui pouvait dĂ©plaire la jeune femme. Junie - J'aime tellement ne pas ĂȘtre conviĂ©es aux virĂ©es nocturnes. Non. SincĂšrement ca m'va droit au coeur. » Et merde. VoilĂ quâça recommence. Comment il avait pu ne pas penser à ça ? Atreus leva les yeux aux ciel tout en se retenant de ne pas rire. Combien de fois nâavait-il pas eu Ă essuyer les rĂ©primandes de la jeune femme pour une vadrouille nocturne solitaire ? Hum. Jâose mĂȘme plus les compter. Sans rien dire, il retroussa les manches de son pull. Ses bras nus apparurent oĂč se dĂ©marquaient de longues estafilades encore humides de sang. Il les prĂ©senta devant la bleu et argent. Lui rendant son regard de dĂ©fi, Atreus reprit la parole, un peu sĂšchement mais toujours dâun ton cynique. Atreus - Tâveux vraiment mâaccompagner pour mâvoir faire ça ? Jâcroyais que ça te plaisait pas. » Mais avant quâaucun des trois Ă©tudiants ne puissent parler, un bruit se fit entendre. Atreus se tourna complĂštement pour faire face Ă lâescalier des dortoirs, prĂȘt Ă remballer aussi sec tout Ă©lĂšve qui se serait pointĂ©. Quelques bruits de pas. Et Ian apparut. LâIrlandais esquissa un sourire en voyant son pote se ramener, un Ă©ternel bouquin Ă la main. Il changera jamais. Ian - Bonsoir Ă tous. »Junie - Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Atreus ne put sâempĂȘcher dâĂ©clater de rire. Les taquineries de Junie. Lâirritation quâĂ©prouvait Ian Ă lâĂ©vocation de son autre prĂ©nom, James. Fallait dire ce quâil fallait. Ils lui avaient quand mĂȘme manquer pendant les vacances. Tous. James sâinstalla aux cĂŽtĂ© de lâIrlandais. Ce dernier se retourna et, ne pouvant sâempĂȘcher de repasser une couche aprĂšs la remarque de la jeune blonde, embrancha sur un ton totalement moqueur. Atreus - Hey. Comment quây vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? » Les lĂšvres retroussĂ©es en un sourire complĂštement stupide mais Ă©nervant, Atreus observa la rĂ©action de son ami. Elle allait pas tarder. Et câĂ©tait toujours un grand moment de plaisir. Juste avant que Ian ne rĂ©alise les moqueries, il avait eu le temps de dire discrĂštement Ă Atreus Ian - Xavier mâa gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Tssss. Ce Xavier. Un jour, il allait le cogner celui-lĂ . Toujours Ă rĂąler, se plaindre, gĂ©mir pour des broutilles. Atreus leva les yeux au ciel avant de lui rĂ©pondre, dâune voix exaspĂ©rĂ©e et lĂ©gĂšrement dur Atreus - P'tin. Jâte jure, sâil nous refait lâmĂȘme coup que lâannĂ©e derniĂšre, jâvais pas pouvoir me retenir⊠» Le jeune prĂ©fet lui lança un regard Ă©loquent et complice avant de se laisser aller contre le divan, levant la tĂȘte vers le plafond. Putain. Il se sentait quand mĂȘme bien lĂ . En osmose avec lui-mĂȘme, entourait de ses amis, sous une agrĂ©able chaleur. Tout ce quâil fallait. Il sentit soudain un objet lui rentrait dans les cĂŽtes. Il baissa les yeux et lança nĂ©gligemment sa lame sur la table posĂ© Ă quelques pas de lui. Le jeune homme se renversa une fois de plus sur le dossier moelleux. Passeraient-ils encore une nuit blanche Ă bavarder tout les quatre ? Possible⊠Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 1900 HRP - DĂ©solĂ©e du truc merdique...Alice esquissa un sourire complice, regardant de droite Ă gauche, comme ci elle cherchait quelquâun. CâĂ©tait habituel, et sâen en devenait maladif cette sensationâŠcelle dâĂȘtre de trop, de ne jamais rien dire, ce silence renfermant la plus grande souffrance. Elle regardait ses amis, ne pouvant dire quelque chose ; elle Ă©tait comme paralysĂ©e. A force, elle ne regardait mĂȘme plus autour dâelle, sachant par cĆur ce qui allait se produire car câĂ©tait sans cesse le mĂȘme scĂ©nario. Elle restait lĂ , figĂ©e, incapable de penser autrement. Alice en devenait pathĂ©tique⊠TrĂšs vite, elle posa la main sur son chat, le caressant avec douceur, mais ne pouvant retirer ses yeux des flammes. Les deux autres parlaient, elle les entendait mais nâĂ©coutait rien. Les seuls mots qui en sortirent Ă©taient virĂ©e nocturneâŠsans moi⊠». Junie aimait ça, et Alice aussi, mais câĂ©tait diffĂ©rent. Junie prenait ça comme un dĂ©fi, ou du moins câest ce quâavait toujours penser Alice, alors que la jeune Brown en faisait juste pourâŠrespirer. Oui, la jeune Alice Ă©tait trĂšs loin dâĂȘtre la fille que lâon croit, oui, trĂšs loin. Ses ongles ornĂ©s de vernis rouge laquĂ© se glissaient dans le pelage de Pucky, faisant des va-et-vient incessants. Elle restait silencieuse, encore et encore, se sentant toujours mal, avec cette boule dans la gorge. Elle Ă©tait incapable de faire le moindre geste, ses yeux dâun gris Ă©tincelant formant une barriĂšre entre son esprit etâŠle reste. Sâen Ă©tait trop, et mĂȘme lâarrivĂ©e de Ian ne changea rien Ă la donne. Elle lui avait fait un sourire, mais rien de plus. Les trois autres sâĂ©taient remis Ă parler, dâaprĂšs les moindres parcelles de phrases quâelle captait, ils titillaient Ian en lâappelant JamesâŠil dĂ©testait ça. Ses mains tremblaient peu Ă peu, et dans sa mystĂ©rieuse quĂȘte de solitude, elle avait trouvĂ© les rĂ©pondes ; elle nâĂ©tait quâune moins que rien. Ses amis continuant de parler, Alice se leva, lâair de rien, se dirigeant vers lâautre cĂŽtĂ© de la salle commune. Sa petite taille faisant quâelle pouvait passĂ© nâimporte oĂč, elle se faufila derriĂšre un meuble gigantesque, disparaissant de leur vue. Quelques minutes aprĂšs, elle en ressortit, cet air toujours aussi Alicien », une boule de parchemin dans les mains. La jeune Serdaigle le dĂ©froissa, espĂ©rant quâils ne lâavaient pas remarquĂ©âŠde toute façon câĂ©tait sĂ»rement le cas. Câest vrai, elle Ă©tait trĂšs discrĂšte, mĂȘme si des fois elle avait lâenvie dâhurler JE SUIS LA ! » elle ne faisait rien. Repensant tout Ă coup aux mots quâelle avait employĂ©s dans son parchemin, elle se rapprocha du canapĂ© oĂč Ă©tait Junie, sâasseyant Ă cĂŽtĂ© dâelle. Dâune traite, elle reprit sa plume, la trempant dĂ©licatement dans lâencre, puis elle se remit Ă Ă©crire des mots comme la fin », les autres », diffĂ©rents » ou nulle ». CâĂ©tait un cercle vicieux, un peu comme dans celui oĂč Ă©tait tombĂ© Atreus et sa lame. Alice nâavait rien dit, ne voulant pas lui faire de leçon de moral, et encore moins lui dire quâelle ne supportait plus de le voir ainsi. A quoi bon fondre en larmes devant eux ? Alice regarde toi, tu es tellement faibleâŠStop. Elle continua Ă Ă©crire, ses iris gris se posant quelques fois sur le visage de ses amis. Dâun coup, sans savoir pourquoi, elle sortit machinalement⊠Atreus, la prochaine fois que tu fais une virĂ©e nocturne, dis le moiâŠenfin bon, si tu veux bien de moi, bien sĂ»r »Miracle, elle avait su dĂ©crochĂ© une phrase, et sans se forcer. La jeune Alice nâosa mĂȘme plus relever la tĂȘte, faisant toujours semblant dâĂ©crire. Dâailleurs, ce quâelle avait Ă©crit nâavait aucun sens⊠Des phrases incomprĂ©hensibles, remplissant le parchemin dâune encre noire tellement sombre quâon aurait penser Ă du sang. Le crĂ©pitement des flammes faisait quâelle nâentendait plus le ronronnement de Puckâ, ce qui ne la rassura pas. Elle aimait le sentir Ă ses cĂŽtĂ©s, elle se sentait en sĂ©curitĂ©, prĂȘte Ă braver milles et une Ă©tapes, milles et un dangers⊠Mais finit, son silence Ă©tant rompu, elle jeta sa plume au niveau de lâencrier, se fourrant dans le canapĂ© moelleux. Son regard, en prioritĂ©, se dirigea vers la direction de Junie. Elle lui adressa un sourire, incapable de lui dire ne serait-ce quâune petite phrase. Mais le silence nâest-il pas le plus criant des mots ? Il sait dire tout Ă la fois, sans quâon prenne la peine dâouvrir la bouche, sans quâon prenne la peine de tout gĂącher⊠Boom-Boom. Son cĆur battait la chamade, comme dâhabitude. Alice Ă©tait trop nerveuse, trop mĂ©lancolique et bien trop gentille et seule » comme dirait si bien lâhomme de PrĂ©-au-Lard⊠Levant les yeux au ciel pour empĂȘcher ne serait-ce quâune larme de couler, elle soupira doucement, ne voulant pas dĂ©ranger leur fabuleuse conversation. Xavier, Xavier, Xavier⊠Alice avait eut lâoccasion de lui parler une seule fois, et il avait fait tout pour quâelle comprenne quâelle ne valait rien, quâelle Ă©tait bĂȘte, moche, sans cĆur etâŠpassons les dĂ©tails. Xavier Ă©tait un garçon narcissique, et Alice se demandait comment faisait Ian et AtreusâŠIls Ă©taient courageux. Je compatis »Elle avait lancĂ© cette phrase avec un fond moqueur, mais sans le faire voir rĂ©ellement. Ses yeux gris brillants comme un miroir, elle fit volte face et regarda en direction de Ian, lui adressant un sourire des plus chaleureux. Ouais, on lâaimait bien pour ces sourires, Alice. Mais pour rien dâautreâŠcâĂ©tait de sa faute. James Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 2206 - Ăa, c'est un truc merdique T__T Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Hey. Comment quây vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? »Oh. Il avait bien essayĂ© de ne pas y faire attention. Mais quand ils Ă©taient au moins deux, câĂ©tait un peu moins Ă©vident. Ăa faisait des annĂ©es, et des annĂ©es, plus prĂ©cisĂ©ment sept ans quâil leur disait de ne pas lâappeler James, et pourtant, le message ne semblait pas sâĂȘtre rendu aux oreilles de Junie et dâAtreus. Encore moins eux. Ils trouvaient mĂȘme ça drĂŽle. Regardez juste le sourire dâAtreus en ce moment mĂȘme. Sans rire. MĂȘme Xavier avait compris. Bon. Lui, fallait croire que Ian lâavait peut-ĂȘtre un peu forcé⊠Inutile de savoir comment. La seule qui prenait encore le soin de lâappeler Ian, Ă©tait Alice, et le jeune homme lui en Ă©tait trĂšs reconnaissant. Lâanglais serra lĂ©gĂšrement les dents sans que ça paraisse, une lĂ©gĂšre lueur dâagacement passa dans son regard foncĂ© et se contenta dâĂ©couter la rĂ©ponse du jeune irlandais, Ă propos de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom-car-ça-nous-fait-vomir. xD Mais juste avant, il remarqua quâAlice sâĂ©tait Ă©clipsĂ© le temps de quelques secondes, pour en ressortir avec un boule de papier, mais il nâen dit pas moins. P'tin. Jâte jure, sâil nous refait lâmĂȘme coup que lâannĂ©e derniĂšre, jâvais pas pouvoir me retenir⊠»à son tour, un petit sourire en coin apparu sur les lĂšvres du septiĂšme annĂ©e. Quand les deux jeunes hommes sây mettaient ensemble, rarement on revenait pour continuer Ă les agacer. Xavier a lui tout seul devait ĂȘtre le garçon le plus narcissique de Serdaigle. Il se prenait carrĂ©ment pour un prince. Il ne fallait pas que ça soit trop ci. Il ne fallait pas que sa nourriture soit trop froide. Il fallait toujours quâil y ait quelquâun Ă son service. Et surtout, il ne fallait pas dĂ©ranger MONSIEUR durant ses prĂ©cieuses heures de sommeil, oh ! Ian suivit du regard son pote qui lançait sa fameuse lame ensanglantĂ©e de son ami sur la table. Mille et une fois, il avait tentĂ© de lâaider, mais ça lâavait Ă©tĂ© sans succĂšs. Soupirant, il jeta un regard vers Junie et Alice, puis, se tourna vers Atreus, poursuivant sa lancĂ©e. Tu tâsouviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusĂ© de couper ses propres ingrĂ©dients parce que Monsieur ne voulait pas sâtĂącher les mains⊠» Le jeune homme passa une main dans ses cheveux, ce qui fit tomber le capuchon sur ses Ă©paules. Il se mit Ă faire tourner le petit livre entre ses mains, observant chacun de ses amis. Ils Ă©taient tous rĂ©unis autour du feu, chacun installĂ© sur un fauteuil. Atreus et Ian dâun cĂŽtĂ©. Junie et Alice de lâautre. NâĂ©taient-ils pas un beau petit groupe ? Deux gars, deux filles. Leur petit rassemblement noctune. Je compatis »Le bleu et argent tourna son regard foncĂ© vers la sixiĂšme annĂ©e. CâĂ©tait lui, quâelle regardait. Il lui rendit doucement son sourire, avant dâhausser les Ă©paules. Cette annĂ©e, ils ne se laisseraient pas faire. Mais pas du tout. Ăa, il aurait pu le jurer haut et fort. Xavier sâen donnait Ă cĆur joie de parler contre tout le monde. Alice ne leur avait rien dit, mais Ian savait pertinemment quâelle avait eu Ă faire avec lui. Combien de fois Xavier en avait-il parlĂ© durant les cours de Ian et cie ? Si ça nâaurait pas Ă©tĂ© dâun minimum de contrĂŽle, Ian lui aurait facilement parlĂ© Ă deux pouces du visage. Ce type allait dĂ©cidĂ©ment trop loin. Pourtant on se demandait bien ce quâil faisait chez les Serdaigle, Ian ne lui avait jamais trouvĂ© la moindre parcelle dâintelligence dans ce qui pouvait lui servir de cerveau. Silence. Changement de sujet. Mais il ne savait pas trop quoi dire. Il tourna son regard vers les flammes, Ă©coutant le silence. Il se pencha lĂ©gĂšrement pour lancer le petit livre rouge sur la petite table qui se trouvait au cĂŽtĂ© dâAtreus. Ătrangement, le bouquin ne fit pas de bruit et se contenta de glisser sur la table. Il arrĂȘta son chemin lorsquâil percuta la lame et sans plus. Ian se replaça contre le dossier. En ce moment mĂȘme, Atreus et lui, faisait un duo dâenfer. Les deux mecs Ă©craser dans leurs coussins⊠Il se contenta de lancer sa baguette dans les airs et de la rattraper. Lorsquâelle Ă©tait dans la hauteur, sa baguette faisait quelques cercles, et retombait dans la main du bleu et argent. CâĂ©tait une de ses nuits oĂč il pouvait parfois se passer de nombreux silences. Personne ne disait rien et dâun cĂŽtĂ©, câĂ©tait peut-ĂȘtre mieux ainsi. Qui allait ĂȘtre le prochain Ă briser ce moment silencieux ? Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Sam 10 Nov 2007 - 1813 Natalia vit Atreus soupirer, et lever les yeux au ciel. Elle le fixa alors de son regard bleu tel l'ocĂ©an, elle ne comprenait pas qu'il ne lui dise pas qu'il allait faire une vadrouille dans Poudlard la nuit. C'Ă©tait ce gĂ»t de l'adrĂ©naline, de la peur, de la fuite, qui plaisait tant a Natalia. Le fait de se rendre compte que l'on ai vivant. Silence. Elle ne dĂ©crocha pas un seul regard, jusqu'a ce que celui ci pose un couteau ensanglantĂ© sur la table qui se trouvait devant eux. Silence. Du sang. Son sang ? Elle eu la rĂ©ponse a sa question pas plus de quelques secondes plus tard, lorsque Atreus releva les manches de son pull, et qu'elle vit alors de longues et fines coupures sur ses avant bras. Il avait recommencer. Il lui avait pourtant promis. Silence. Elle lui adressa alors un regard noir, mais avant qu'elle ai pu riposter, Ian avait fait son entrĂ©e a son tour dans la salle commune. Puis tout s'enchaina trĂšs vite, instinctivement, elle reporta son regard sur Alice, lui adressant un regard doux, et un sourire chaleureux. Silence. Elle ne comprennait tout ce qui se passait, elle Ă©tait dans ses pensĂ©es, Natalia le voyait bien. Silence. Elle n'en dit pas un mot cependant jusqu'a ce que la conversation reprenne son fil. Elle vit que les deux jeunes se plaignaient de quelqu'un. P'tin. Jâte jure, sâil nous refait lâmĂȘme coup que lâannĂ©e derniĂšre, jâvais pas pouvoir me retenir⊠»Natalia fronça les sourcils, elle ne voyait pas encore de qui il parlait, mais rien que le fait qu'il parle de se battre, elle detestait ça. C'Ă©tait tellement puĂ©rile pour elle d'en venir au mains quand on avait la parole, mais soit, les garçons ne rĂ©flĂ©chissent pas comme les filles c'est bien connu. Elle ne rajouta rien, essayant de trouver de qui il parlait. Tu tâsouviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusĂ© de couper ses propres ingrĂ©dients parce que Monsieur ne voulait pas sâtĂącher les mains⊠» Toutes ces paroels commencaient a faire leurs petit bout de chemin dans le cerveau de Natalia. A prĂ©sent, elle voyait de qui il parlait. Xavier. Qui d'autre pouvait ĂȘtre aussi chiant ? Elle ne comptait mĂȘme plus le nombre de fois oĂč, il lui avait demander d'explorer son lit, alors qu'elle allait voir James et Atreus dans leur dortoir. A chaque fois ca terminait de la mĂȘme façon, celle ci soupirait lui explicait que mĂȘme si c'Ă©tait son seul choix, elle prĂ©fĂ©rait se faire lesbienne, puis celui ci devennait grossier, et soit Atreus soit James, finissait par lui cogner dessus. Je compatis »Natalia afficha alors un regard compatissant a Alice. Elle l'avait retrouver dans un de ses Ă©tats ce jour lĂ . Elle avait Ă©tĂ© tellement en colĂšre qu'il parle comme ca a sa meilleure amie, a son Alice, qu'elle Ă©tait montĂ©e directement dans le dortoir et lui avait collĂ©e sa main sur sa joue. C'Ă©tait la seule et unique fois dans sa vie que Natalia avait portĂ©e la main sur quelqu'un. Silence. Elle se leva alors pour se rapprocher du feu. Mettant ses mains a quelques centimĂštres des flammes, elle retourna sa tĂȘte vers ses trois amis avant de prendre a son tour la parole. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. »Elle soupira et montra un air exaspĂ©rĂ© sur son visage, avant d'exploser de rire. Silence. Une Natalia en colĂšre, ce n'est vraiment pas quelque chose de positif pour la personne qui est dans son champs de mir. Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 205 Atreus avait sentit la lĂ©gĂšre tension de Junie lorsquâil lui avait montrĂ© ses bras mutilĂ©s. Oui. Je sais. Ca ne lui plaisait pas. Ni dâailleur Ă Ian et Alice. Il le savait. Il avait entendu leurs paroles dâaide et leurs essais de le convaincre dâarrĂȘter. Et voilĂ comment il remerciait ses amis en continuant. Tâes vraiment quâun sale con Atreus. » Il lâentendait cette voix dans sa tĂȘte. Il lâentendait mais ne faisait rien. CâĂ©tait plus fort que lui. Câest tout. Une sorte dâaddiction Ă la scarification. Mais en voyant ses mais Ă ses cĂŽtĂ©s, Alice, Junie, Ia,, il sentit vraiment le pincement au cĆur qui apparut. Il baissa la tĂȘte doucement et son regard mĂ©lancolique se perdit dans lâocĂ©an des flammes. La voix dâAlice le sortit de sa torpeur - Atreus, la prochaine fois que tu fais une virĂ©e nocturne, dis le moiâŠenfin bon, si tu veux bien de moi, bien sĂ»r » LâIrlandais sourit doucement avant mĂȘme de tourner la tĂȘte vers elle. Il lui adressa un regard chargĂ© de tendresse, dâaffection avant de lui rĂ©pondre. Atreus - Pas dâproblĂšme Alice. Tâsais bien que je pourrai pas te dire non. » - Il dĂ©tourna le regard vers Junie, tout en gardant son lĂ©ger sourire - Tu pourras nous accompagner Junie. Toi aussi Ian. Nan vraiment jâvoulais ĂȘtre seul ce soir pour⊠Pour câque vous savez. Vous nâaurez pas apprĂ©cier ça de toute façon. » La voix du Serdaigle se tut. Silence. Il regarda ses coupure Ă la lueur du feu. Les plaies brillantes Ă©taient nettement visible. Soudain, tout lui parut stupides. CâĂ©tait vrai. Il fallait le dire. CâĂ©tait complĂštement con ce quâil faisait. Sa conscience tordu et maligne choisit bien-sĂ»r ce moment pour lui faire rappeler le bonheur que cela procurait. Oui. Ca aussi câĂ©tait vrai. Une fois de temps en temps. Seulement. CâĂ©tait ça quâil devrait faire. Câest ce quâil lĂącha sans prĂ©ambule. Atreus - Jâvais me calmer de ce cĂŽtĂ©-là ⊠Pour vous. » Atreus Ă©tait conscient quâil aurait du prendre cette dĂ©cision depuis des annĂ©es. La volontĂ©. CâĂ©tait ça quâil lâavait empĂȘchĂ©. La volontĂ© dâarrĂȘter ne lui Ă©tait jamais venu. Jamais. MĂȘme pas pour eux. Il secoua la tĂȘte doucement. Allez. On oublie ça. La soirĂ©e Ă©tait belle, agrĂ©able. Il nâavait aucune envie de plomber lâambiance avec ses petits problĂšmes merdiques, sans intĂ©rĂȘts. La discussion Ă©tait en câmoment sur Xavier. Ce connard. Ian Ă©voquait le cours de potion. Tsss. A ce souvenir, mĂȘme sa mĂ©lancolie passagĂšre disparu. Comment quâil le dĂ©testait câgars. Ce dernier sâen apercevait bien mais persistait Ă toujours faire son grand ». Combien de fois Ian et lui lâavait cognĂ© ? Il se tenait tranquille envers eux mais voilà ⊠A chaque fois il remettait ça sur nâimporte qui. MĂȘme Alice y avait eu droit. Ce jour-lĂ , le trio Ian-Junie-Atreus avait eu du mal Ă ne pas lâĂ©corcher vif. LâIrlandais sâaperçu quâil avait serrĂ© les poings, les jointures nettement visible et blanche. Il desserra ces derniers avant dâentendre Junie profĂ©rait sa colĂšre, elle-aussi contre Xavier. Junie - Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. » Le ton tellement exaspĂ©rĂ© de la jeune femme fit naĂźtre un sourire sur le visage dâAtreus. Junie et ses rĂ©actions crĂ». Il lâadorait. Fallait dire aussi que leur caractĂšre Ă©taient lĂ©gĂšrement semblables. Autant elle ne passait pas aux mains comme le faisait trop souvent lâirlandais, elle nâĂ©tait pas la derniĂšre Ă dire ce quâelle pensait. Bref. Le silence avait repris ses aises. Voulant changer de sujet, sachant pertinemment que si ça continuait comme ça il pourrait pas sâempĂȘcher dâaller frapper lâautre con de Xavier, Atreus avisa le bouquin quâavait jetĂ© Ian sur la table, prĂȘt de sa lame. Un regard interrogatif sur la couverture unie et nue, avec seulement une sorte de dessin Ă©trange. Avec un air intĂ©ressĂ©, il montra de la tĂȘte le livre Ă James. Atreus - Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? Bon. Ce nâĂ©tait peut-ĂȘtre pas le mieux Ă demander pour changer de sujet mais câest tout ce quâil avait trouvĂ©. De plus, le motif du bouquin lâattirait. Ătrangement⊠Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 1253 Comment expliquer ça ? Quâen si peu de temps, quâen quelques secondes, Alice sâĂ©tait mise Ă sourire. CâĂ©tait son premier vrai » sourire de la soirĂ©e, et elle sentait que ça nâallait pas ĂȘtre le dernier. Ian lui lança un sourire, quâelle lui rendit immĂ©diatement. Puis Atreus prit une bonne rĂ©solution, quâil nâavait pas prise avant se calmer. La jeune Serdaigle lui lança un sourire, elle savait quâil y arriverait, et de toute façon, elle serait lĂ pour lâĂ©paulerâŠtous serait lĂ pour lâaider. Et puis ils se remirent Ă parler de Xavier⊠Alice Ă©tant la plus petite des Quatre, il avait facile Ă lui pourrir lâexistence. Un jour, il avait mĂȘme rĂ©ussit Ă la bloquer dans un coin pour lui dire ses quatre vĂ©ritĂ©s, forçant un peu trop au goĂ»t dâAlice sur les mots tu viendras dans mon lit » et tâes vraiment nulle ». Mais la jeune SixiĂšme AnnĂ©e ne sâĂ©tait pas laissĂ©e faire, elle lui avait simplement foutus une gifle, histoire quâil se calme un peu. Depuis, elle avait plus le droit aux menaces et aux regards noirs, mais maintenant, elle Ă©tait habituĂ©. Il avait sĂ»rement raison elle Ă©tait bonne Ă rien, mais la seule chose qui Ă©tait sĂ»re, câest que quoi quâil dise, il avait toujours Junie, Atreus et Ian sur le dos â ce qui Ă©tait toujours marrant, dâailleurs. Soupirant rien quâen y repensant, la jeune Brown Ă©couta attentivement la phrase de sa meilleure amie. En quelques secondes, Alice sâĂ©tait mise Ă rire, un rire presque inaudible quâon remarquait grĂące Ă son sourire. Pour lâenfoncer encore plus, ça, Junie Ă©tait toujours lĂ ! Elle non plus ne pouvait pas le voir en peinture, pourtant, câĂ©tait loin dâĂȘtre rĂ©ciproque⊠Un jour je lâai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de lâannĂ©e !" Ce type est tellement bĂȘte quâil ne voit mĂȘme pas que personne ne lâaime, mĂȘme ses propres amis ne peuvent pas le voir⊠Et jâen sais quelque chose, jâai eut lâoccasion de parler avec Jesse, et il mâa dit quâĂ chaque fois que Xavier mâinsultait, il me dĂ©fendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie lâa trompĂ© avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me lâa dit, jâĂ©tais plié⊠Câest la preuve que, quand mĂȘme, on nâest pas les seuls Ă ne pas pouvoir le voir en peinture. Dâailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des fillesâŠRien quâen y pensant, ça me donne envie de vomir. »Les rumeurs et les comĂ©rages. Ca, sâĂ©tait le domaine dâAlice et Junie. Bon, sĂ»rement pas de Ian et dâAtreus, mais des fois il y en avait des trĂšs drĂŽle qui circulait. Tout en regardant Junie, la jeune bleu et argent frissonna. Il faisait chaud, oui, surtout grĂące au feu mais il y avait toujours un petit courant dâair glacial⊠Il Ă©tait tard, mais la fatigue ne se fit pas ressentir. Ses yeux gris Ă©taient encore grand ouverts, se posant sur tout et nâimporte quoi. Elle repensait Ă Atreus qui lui avait dit, quelques minutes plus tĂŽt, quâil ne pourrait pas lui dire non pour une virĂ©e nocturne. Elle sâimaginait dĂ©jĂ y aller avec eux depuis la rentrĂ©e, elle nâen avait fait que deux. Habituellement, câĂ©tait rare quand elle nâen faisait pas, mais lĂ , câĂ©tait carrĂ©ment le contraire. Mais stop, elle verrait ça demain en se levant. Il ne fallait pas gĂącher ce si bon moment. Le silence sâimposa durant quelques secondes, des secondes oĂč le cĆur de la jeune Alice battait la chamade. Ses mains tremblaient, puis sâarrĂȘtaient, puis elle recommençaientâŠcâĂ©tait un cercle vicieux, et elle ne savait pas quel Ă©tait la cause de ses tremblements soudains. Mais elle cessa dây penser quâen la voix dâAtreus retentit. Il cassa le silence avec douceur, surprenant la jeune Alice, qui ne sâen doutait pas. Le regard Ă prĂ©sent dirigĂ© vers Atreus, elle lâĂ©couta, comme les autres. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »La jeune Brown dirigea immĂ©diatement son regard vers le livre de Ian. Sa couverture Ă©tait Ă©trange, avec une inscription qui capturait votre regard en quelques instants. Sa couleur unie vous scotchĂ© sur votre canapĂ©, oui, câĂ©tait sĂ»r ce livre attirĂ© lâĆil. A sa vue, Alice se dit quâelle devrait passĂ© plus souvent de temps Ă la BibliothĂšque. Câest vrai ça, elle nây allait jamais Ă part quand elle devait y rejoindre quelquâun, mais Ă chaque fois quâelle y mettait les pieds, elle Ă©tait forcĂ©e. Sourire. Alice se tourna vers Junie, puis vers Puckâ qui ronronnait toujours autant sur ses genoux. A prĂ©sent, elle se voyait trĂšs mal dormir comme lui, surtout maintenant⊠James Re Everybody's Changing - Libre Sam 17 Nov 2007 - 2206 HRP _ DĂ©solĂ© du retard. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. »Le Serdaigle fixait Natalia de son regard foncĂ©, un lĂ©ger sourire sur les lĂšvres, suite au comportement de cette derniĂšre. Ce type avait vraiment le don de se mettre les pieds dans les plats, et malheureusement, il se heurtait souvent Ă des personnes plus fortes que lui. Pourtant le message ne semblait jamais se rendre au cerveau du fait quâil ne fallait pas se moquer de Atreus, James et Natalia en particulier. CâĂ©tait probablement ceux qui nâavaient aucunement peur des consĂ©quences qui pouvaient y avoir sâils osaient touchĂ©s Xavier. Il Ă©tait une sorte de dĂ©fouloir au final⊠Bref. Les deux bleues et argents, Natalia et Alice sâĂ©taient mis Ă rire, et Ian observa la sixiĂšme annĂ©e lorsquâelle prit la parole. Un jour je lâai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de lâannĂ©e !" Ce type est tellement bĂȘte quâil ne voit mĂȘme pas que personne ne lâaime, mĂȘme ses propres amis ne peuvent pas le voir⊠Et jâen sais quelque chose, jâai eut lâoccasion de parler avec Jesse, et il mâa dit quâĂ chaque fois que Xavier mâinsultait, il me dĂ©fendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie lâa trompĂ© avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me lâa dit, jâĂ©tais plié⊠Câest la preuve que, quand mĂȘme, on nâest pas les seuls Ă ne pas pouvoir le voir en peinture. Dâailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des fillesâŠRien quâen y pensant, ça me donne envie de vomir. »Si lâon sort du contexte de MĂ©faits Accomplis. Jâaurais pu vous dire que Xavier Ă©tait le portrait crachĂ© de Malefoy, mais Ă Serdaigle. Prenez ce comportement et transposĂ© le sur Xavier et ça reviendra au mĂȘme. Retournons au RP Ă prĂ©sent. Un nouveau sourire apparu sur les lĂšvres du septiĂšme annĂ©e, avant dâĂ©changer, Ă nouveau, un air complice avec son ami, Atreus. En effet, les potins nâĂ©taient pas spĂ©cialement le domaine des garçons, mais les rumeurs circulaient toujours aussi rapidement dans lâĂ©cole de sorcellerie. Ian nâĂ©tait pas le type qui allait en raconter, mais plutĂŽt Ă©couter. Par exemple, lorsquâil attendait quelquâun dans les couloirs et quâun groupe de personnes prĂšs de lui parlent de quelque chose qui pouvait sâavĂ©rer intĂ©ressant, il Ă©coutait. Sinon, sans plus. Savoir quâuntel ou untel Ă©tait sortit lui ou lâautre, au final, ça ne changeait strictement rien Ă sa vie. Mais savoir que Jesse dĂ©fendait Ă©galement Alice, eut une sorte dâeffet de soulagement pour le septiĂšme annĂ©e. Pour ce qui Ă©tait de Peter⊠Sans commentaire. James tourna, Ă son tour, le regard vers les flammes, se sentant bien. Parler entre eux, Ă©tait toujours bien agrĂ©able. Sortant un peu de lâhabituel Ă©touffant de tous les Ă©lĂšves en plein jour. La nuit Ă©tait une sorte de refuge pour plusieurs. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »Hum⊠Hein ? Quoi ? Ian se redressa lentement et posa, comme tous les autres apparemment, sur son propre bouquin. CâĂ©tait vrai quâil Ă©tait Ă©trange, et câĂ©tait bien ça qui obsĂ©dait le bleu et argent. Il y avait quelque chose de pas normal, mais il nâarrivait pas Ă trouver quoi. Et ça, ça lâĂ©nervait. Je ne sais pas trop⊠Câest assez complexe Ă vrai dire⊠» commença-t-il tout en se levant du fauteuil pour aller reprendre le posa sa main sur le livre et lâattira contre lui, un drĂŽle de phĂ©nomĂšne se produisit. La lame le suivait. Elle glissa sur la table, jusquâĂ temps quâelle tombe sur le sol, alors que Ian Ă©loignait le livre de la table, observant se qui se passait. Il lança un regard perplexe aux trois autres et tourna le livre sur lui-mĂȘme. Sur le cĂŽtĂ©, les pages avaient Ă©tĂ© tĂąchĂ©s lĂ©gĂšrement du sang de la lame, et du coup, on aurait dit que ça agissait comme une sorte dâaimant. Le jeune homme sâaccroupit et rapprocha / Ă©loigna le bouquin de la lame, qui elle, avançait toujours plus vers le livre, et vers Ian par le fait mĂȘme. Ok⊠Ăa, câest pas normal⊠»Petite expĂ©rience. Il fit glisser rapidement le livre contre le sol, qui partit quatre ou cinq mĂštres plus loin. La lame tourna sur elle-mĂȘme et, comme je lâai dit, comme un aimant, elle glissa Ă la vitesse de la lumiĂšre juste Ă cĂŽtĂ©, mais sans y toucher, manquant de couper Ian au passage. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Everybody's Changing - Libre Everybody's Changing - Libre Page 1 sur 1 Sujets similaires» [alone...~libre]» You'll Ask For Me - Libre.» We Had A Bad Day... [Libre]» A l'air libre» Promenade [Libre]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMĂFAITS ACCOMPLISâą Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
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rien qu une larme dans tes yeux paroles