Laréponse est : son rien ! Toutes les possibilités humaines sont, en réalité, des impossibilités. Toute tentative de se projeter et de s'élever est un saut qui part de rien et se termine par rien. Il ne reste qu’à se résigner et à faire de nécessité vertu, en aimant son propre destin. Une moderne version donc du stoïcien « amor Fati » ! Saint Augustin avait aussi Tout ce que nous aimons en vue de nous en nourrir, nous l’aimons en vue de la détruire et de nous refaire. Serait-ce ainsi qu’il faut aimer les hommes, comme s’ils étaient à détruire ? – Il y a un autre amour, amour de bienveillance, qui nous porte enfin à obliger ceux que nous aimons. – Mais s’il n’y a rien en quoi nous puissions les obliger ? – À elle seule la bienveillance contente qui aime. Nous ne devons point, en effet, souhaiter qu’il y ait des malheureux pour nous permettre d’accomplir des œuvres de miséricordes. Tu nous donnes du pain à qui a faim mais mieux vaudrait que nul n’ait faim, et que tu ne donnes à personne. Tu habilles qui est nu si seulement tous étaient vêtus, et qu’il n’y eût point telle nécessité ! Tu ensevelis qui est mort vienne enfin la vie où personne ne meure ! Tu mets d’accord les parties en litige qu’enfin soit la paix éternelle, la paix de Jérusalem où nul n’est en désaccord ! Tous ces services, en effet, répondent à des nécessités. Supprime les malheureux c’en sera fait des œuvres de miséricorde. – C’en sera fait des œuvres de miséricorde le feu de l’amour s’éteindra-t-il donc ? – Plus authentique est l’amour que tu portes à un heureux que tu ne peux en rien obliger ; plus pur sera cet amour, et bien plus franc. Car si tu obliges un malheureux, peut-être désires-tu t’élever en face de lui, et veux-tu qu’il soit au-dessous de toi, lui qui t’a provoqué à bien faire. Lui s’est trouvé dans le besoin ; toi tu lui as fait part de tes ressources. Parce que toi tu l’as obligé, tu parais en quelque sorte plus grand que lui, l’obligé. Souhaite qu’il soit ton égal ensemble soyez soumis à Celui qui ne peut être l’obligé de personne.
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C’est durant le dernier temps du séjour d’Augustin aux environs de Thagaste que nous devons placer l’époque de la mort de son fils Adéodat. Ce jeune homme qu’Augustin appelle "l’enfant de son péché", et dans lequel qu’il ne voulait reconnaître rien de lui que son "péché", étonnait par sa vive intelligence. [] Adéodat avait vécu comme vivent les anges ; il Lamort n’est pas la fin, je suis seulement passé dans la pièce d’à côté. Je suis moi. Vous êtes vous. Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours. Donnez-moi le nom que vous m’avez ÔDieu ! rien n’est au-dessus de toi, rien n’est hors de toi, rien n’est sans toi, Ô Dieu! tout t’est assujetti, tout est en toi, tout est avec toi, tu as fait l’homme à ton image et à ta ressemblance, ce que connaît celui qui se connaît. Exauces, exauces, exauces-moi, ô mon Dieu, ô mon Seigneur, mon roi, mon père, mon Créateur,
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Levendredi 25 janvier 2008, Nicolas du lycée Les Pannevelles de Provins était retrouvé décédé sur les voies ferrées à proximité de la gare de Provins. Ce blog est destiné à toutes celles et à tous ceux qui voudraient s'exprimer sur le copain qu'ils ont connu, aimé ou pas.
LaCité de Dieu (version intégrale) Par Saint Augustin. 1 580 pages. 36 heures. Suite au Sac de Rome en 410, Saint Augustin questionne le devenir des hommes en société dans une réflexion philosophique qui oppose deux cités : l'une terrestre et l'autre céleste. Composée de 22 livres, cette oeuvre magistrale pose les fondements de la pzg7OVD. 286 59 379 184 160 183 152 347 98

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