UNPETIT MOT SUR LE PROGRAMME Je vous y accueille pour un séjour Fabrication de fromage en famille ! Au programme : 2 jours avec participation, le reste en autonomie - JOUR 1 – RENCONTRE AVEC LES ANIMAUX DE LA FERME ET VISITE DE LA FROMAGERIE On commence cette immersion autour d’un café vers 10h. Nous vous montrerons la ferme, notre salle
Par Gérard GuidierPublié le 04/06/2022 à 15h32 Un marché de producteurs à la ferme, comme point de départ avec, entre autres, les savoureux fromages de chèvre élaborés par la maîtresse des lieux, et à suivre une journée de fête à vivre en famille sur le site avec de multiples activités. C’est...Un marché de producteurs à la ferme, comme point de départ avec, entre autres, les savoureux fromages de chèvre élaborés par la maîtresse des lieux, et à suivre une journée de fête à vivre en famille sur le site avec de multiples activités. C’est ce que propose Ophélie Michelet, le 12 juin prochain. Cette éleveuse caprine pas comme les autres a voulu, pour réussir dans son métier, mettre toutes les chances de son côté avec une formation haut de gamme diplôme d’ingénieur agricole et des animaux de qualité, soit des chèvres de race poitevine. “Elles donnent moins de lait que d’autres mais c’est un lait riche en matière protéique et en matière grasse, idéal pour la fabrication des fromages”, pose en préalable la jeune éleveuse qui s’est installée il y a deux ans au hameau du Roc à Anville, dans la commune nouvelle de Val-d’Auge. Là, elle a décidé de privilégier la vente en circuits courts avec comme base, deux rendez-vous hebdomadaires à la ferme mardi et samedi et une présence quasi quotidienne sur les marchés des alentours. “Moi mon credo, c’est la proximité. je crois beaucoup au contact avec les gens et j’aime bien échanger avec eux sur mon métier et plein d’autres choses”, indique Ophélie Michelet. Le lien, primordialD’où l’idée d organiser des marchés à la ferme assortis d’activités hors agriculture. Le premier marché dans sa ferme avait avant Noël dernier réuni des producteurs locaux, des artisans et des commerçants du secteur. Cette fois, elle a voulu que son marché soit une fête avec des activités nombreuses et variées pour les grands et les petits. Le lien social dans une commune, c’est primordial pour le bien-être de tous », plaide Ophélie qui a concocté un programme éclectique où des ateliers de yoga voisineront avec des ateliers d’art floral et des ateliers artistiques pour enfants assortis de l’intervention d’un conteur pour un public familial. Et au mitan de la journée, la maîtresse des lieux réunira tout ce petit monde autour d’un repas de producteurs, locaux évidemment.
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vente directe de produits fermiers , agriculteurs , fabrication de fromages , produits laitiers, avicoles fabrication, gros Afficher le n° 02 99 34 03 99 La Sablonnière 35480 Guipry Messac Fermé Horaires d'ouverture Lundi Fermé Mardi Fermé Mercredi 1600-1900 Jeudi Fermé Vendredi 1600-1900 Samedi Fermé Dimanche Fermé Produits Produit local Lait cru Beurre Beurre salé Oeuf bio Yaourt Yaourt fermier Actualités Ferme De La Sablonnière Il y a un moi comment vous dire, la saison de la moisson bat à font .bravo la Ferme de la Sablonnière 😄, la relève est assurée Publié le 12/07/2022 Ferme De La Sablonnière Il y a un moi Merci beaucoup pour votre avis ! Publié le 06/07/2022 Ferme De La Sablonnière Il y a un moi Merci beaucoup pour votre avis ! Publié le 06/07/2022 Voir toutes les publications Voir moins de publications Avis Ce professionnel n'a pas encore d'avis, soyez le 1er à partager votre expérience avec la communauté. Tous nos avis sont modérés. En savoir plus sur le service de dépôt d'avis. Catalogue 0 produits Voir tous les produitsVous serez redirigé vers C’est mon entreprise ! J’indique toutes les informations utiles à mes clients. Je connais ce professionnel ! Je partage mes informations pour enrichir sa présentation. En détails Services et Prestations Composition de plateaux fromages Atelier de transformation Ferme laitière Boutique à la ferme Fabrication de beurre Fabricant de yaourt Fabrication de fromage Fabrication de fromage blanc Fabrication de yaourt Transformation de lait Fabrication de fromage au lait cru Grossiste en produits laitiers Grossiste en fromage Informations pratiques Horaires d'ouverture Lundi Fermé Mardi Fermé Mercredi 1600-1900 Jeudi Fermé Vendredi 1600-1900 Samedi Fermé Dimanche Fermé Données financières et juridiques Etablissement SIRET 39896737200010 Code 0141Z Effectif de l'établissement 6 à 9 salariés Typologie de l'établissement Siège Entreprise SIREN 398967372 Forme juridique 6533 Date de création 01/11/1994 Effectif de l'entreprise 6 à 9 salariés Autres dénominations GAEC DE LA SABLONNIERE Nombre d'établissements 0
femmesà la ferme. Pour la première fois en 20 ans, le nombre d’agricultrices est en hausse au Canada, et c’est en partie grâce au Québec. Les productrices québécoises sont d’ailleurs les plus jeunes au pays. La Presse est allée à la rencontre de quelques-unes de ces femmes propriétaires de leur entreprise agricole. UN DOSSIER D
Dans la cour du corps de ferme, Nicolas s’avance, entouré de ses deux fils, et une caisse de bouteilles en verre dans les mains. Direction le minuscule point de vente à emporter de l’exploitation de Philippe Boissou, à Saint-Victurnien. Là, au coin de sa maison personnelle, dans 6 m², l’éleveur de 48 ans a lancé depuis octobre et le reconfinement, la vente directe à la ferme et propose ses produits transformés aux clients. Ce système était passé aux oubliettes, lance Philippe Boissou. Ma mère le faisait il y a trente ans et je n’ai qu’un seul regret, ne pas m’être lancé plus tôt. » Le rendement est-il au rendez-vous ? C’est au-delà de nos espérances, répond le producteur, on essaye de créer de la surprise toutes les semaines et de retrouver ce lien direct avec les clients. » Il y a tout ce qu'il faut, pas forcément plus cher qu'en supermarché et le côté pratique » Nicolas Un client habitué Sa compagne Gaëlle, elle, s’occupe de remplir les contenants des clients à la louche, devant eux, comme si les clients étaient un peu à la maison. On ne s’en sortira pas si on ne va pas dans cette voie, explique Robert, un habitué venu de Veyrac. Il faut les aider et défendre cette proximité. » .Avec plus de cent clients le vendredi après-midi [unique jour de vente directe, NDLR], la success-story est en marche. Pour le bonheur de Nicolas, habitant de la commune Depuis le confinement, on privilégie les circuits courts. Il y a tout ce qu’il faut, pas forcément plus cher qu’en supermarché, puis on habite à 500 mètres?; donc, c’est pratique ». Une agriculture bio et indépendante Repenti de l’agriculture conventionnelle, Philippe Boissou travaille aujourd’hui pour lui seul. Une liberté revendiquée et un plaisir retrouvé Je ne retrouvais plus de plaisir à travailler en coopérative, clame bien haut le producteur de lait. On est maître de notre destin, on connaît le produit, les clients, c’est une autre façon de faire de l’agriculture ». Recevez par mail notre newsletter éco et retrouvez l'actualité des acteurs économiques de votre région. Cinq ans après sa reconversion au bio, le producteur de lait a trouvé son rythme de croisière et avance étape par étape J’ai quarante vaches laitières et c’est le maximum pour bien travailler pour le moment ». Le fromage, le lait fermier, les crèmes glacées, le beurre et le produit phare, le riz au lait, tout est fait maison et attire les foules. On vient toutes les semaines de Limoges, approuvent Jean-Claude et sa femme. Ce lien social et ce contact avec le producteur, c’est des valeurs qui doivent revenir. On livre même nos voisins. » Une halle fermière en élaboration ? Après cinq mois d’aventure, Philippe Boissou et sa compagne ont d’autres projets Je souhaite mettre en place prochainement une halle fermière, anticipe le producteur bio. Je veux compléter la gamme, travailler avec d’autres producteurs locaux comme des maraîchers, des producteurs de viande bovine ». À peine le temps de recharger les provisions en lait dans son arrière-boutique que des nouveaux clients arrivent. Carton plein. Thibaut Dailler
Laferme d'élevage de Grand' Maison. Vente directe de viande de qualité du producteur au particulier. Un couple d’éleveurs de vaches Blondes d'Aquitaine de la Vallée de Chevreuse dans les Yvelines vous propose, en vente directe, une viande de qualité à un prix très abordable. Toutes nos bêtes sont nées à la ferme ce qui vous garanti
Par Henri PortesPublié le 04/08/2021 à 15h29Mis à jour le 04/08/2021 à 17h08 Jeudi 29 juillet, Émilie Deligny inaugurait une nouvelle formule de vente de ses produits issus de l’agriculture biologique. Si Émilie est bien connue de la clientèle pour sa fidèle présence au marché dominical...Jeudi 29 juillet, Émilie Deligny inaugurait une nouvelle formule de vente de ses produits issus de l’agriculture biologique. Si Émilie est bien connue de la clientèle pour sa fidèle présence au marché dominical de Gabarret, à présent, elle accueille les acheteurs chez elle, à la Ferme de Rudé, à Parleboscq, tous les mardis et les jeudis de 17 h 30 à 19 heures. Après avoir reçu une formation agricole, elle s’est installée sur une propriété de 15 hectares la Ferme de Rudé, où elle pratique une agriculture diversifiée. J’accorde une importance à la qualité des produits, dans le respect des saisons, du climat et évidemment du bien-être des animaux, précise-t-elle. Mes produits sont certifiés FR-Bio-01. En été au marché et maintenant chez moi, les personnes peuvent trouver des tomates issues de variétés anciennes, des courgettes, piments doux, haricots verts et, à la mi-saison, des blettes, des salades, des poireaux, des oignons, des courges, des radis, des navets. Ainsi, la clientèle peut avoir des légumes frais et bio, produits localement et toute l’année. » Émilie propose, pour les pâtisseries, confitures, marmelades, toute une gamme de fruits rouges frais, framboises, mûres, groseilles, cassis. Elle propose des sirops à base de fruits et de plantes cueillis à la ferme. Oeufs frais et agneauxEn complément, grâce à son élevage de poules pondeuses élevées en plein air, sur des parcours enherbés, et nourries principalement aux céréales biologiques, elle vend des œufs frais fermiers certifiés bio. Les agneaux nés à la ferme de Rudé parcourent les prairies auprès de leur mère et profitent de lait maternel et d’herbe verte. Eux aussi sont certifiés bio FR-Bio-01. La vente de ces agneaux se fait directement à la ferme. Émilie propose des colis composés de demi-agneaux 6 à 8 kilos, découpé et mis sous-vide.
Unéleveur à Gye (54) en Meurthe-et-Moselle promeut des races bovines françaises. Vaches laitières Brune suisse, Prim'Holstein, allaitantes Limousine. Cyrille Plongué (Earl de la Maie) produit du lait, de la viande, des céréales et vend en direct les produits fermiers issus de sa ferme de la Maie située en Lorraine.
Producteurs de lait de père en fils à Heubécourt-Haricourt, près de Vernon Eure, les Gavelle tirent la sonnette d’alarme leur filière risque de disparaitre. Par Arielle Bossuyt Publié le 23 Août 22 à 1930 Patricia, Benoît et Manuel Gavelle travaillent avec Laurence Aumonier. Ensemble, ils gèrent l’exploitation familiale à Heubécourt-Haricourt Eure, près de Vernon. ©Le Démocrate vernonnais Prés de Vernon Eure, à Heubécourt-Haricourt, chez les Gavelle, on est éleveur de père en fils depuis cinq générations, et ce malgré la crise de la filière laitière. Avec son père Manuel et deux autres associés, Benoît a rejoint la ferme il y a cinq ans Le métier était déjà en tension depuis quelques années. On a constaté la disparition de plusieurs fermes et l’agrandissement des autres. Mais jusque-là, on était plutôt épargné », raconte Benoît Gavelle, producteur de arrive l’année 2022 et sa succession de problèmes. Sécheresse, inflation, explosion du prix des charges les producteurs de lait sont pris à la gorge. Jusque là, on avait une visibilité sur deux ou trois ans. Aujourd’hui, tout est fluctuant, on ne peut rien prévoir », explique de fourrageL’inflation, qui a commencé bien avant la guerre en Ukraine », a fait monter les prix du gaz et du pétrole. Ce qui, par effet crescendo, multiplie par quatre le prix de l’engrais Pour 30 tonnes, nous sommes passés de 5 000 € à 20 000 € », annonce-t-il. Et l’engrais est essentiel puisqu’il permet de cultiver le maïs et autres céréales utilisées pour nourrir les bêtes fourrage.La sécheresse qui s’est abattue sur la France cet été n’a fait qu’aggraver le problème Dans le Sud, les éleveurs sont souvent confrontés au manque de fourrage. Mais dans le Grand Ouest, nous avons toujours eu du fourrage sauf cette année où même la Bretagne et la Normandie sont dans une situation critique. » L’agriculteur prévoit même une baisse du stock de fourrage de 30%. Nous travaillons à perte »Dans ce contexte, les producteurs de lait se demandent comment ils vont nourrir leurs bêtes En temps normal, c’est déjà compliqué de vivre de son labeur. Avec l’inflation, tout augmente, mais pas le prix de la tonne de lait. Nous travaillons à perte », se désole, en ce moment sur ActuEn effet, si les salaires de certaines entreprises ont légèrement augmenté du fait de l’inflation, les producteurs de lait restent bloqués, malgré eux, sur les prix habituels L’idée est de ne pas augmenter le panier des ménages en période d’inflation, sauf qu’à la fin, c’est nous qui payons la note. » Par ailleurs, il déplore que les magasins de la grande distribution se livrent à une guerre des prix au détriment de la filière. Laurent Duclos, président de la section lait de la FNSEA 27 implore l’État de prendre le problème à bras le corps Laurent Duclos, agriculteur et président de la section lait de la FNSEA 27 livre une analyse inquiétante de la situation actuelle. Une situation qui entraînera, dès le mois de septembre, une pénurie de lait La sécheresse d’envergure que nous connaissons cet été est en train d’anéantir tout espoir d’une récolte de fourrage durant l’été. Le fourrage produit à partir de luzerne et de maïs et d’herbes compose l’alimentation des vaches laitières », explique-t-il. Par conséquent, les agriculteurs utilisent les anciens stocks de fourrage mais lorsque ces derniers sont terminés, deux choix s’offrent à eux acheter du fourrage à l’extérieur, ce qui est bien trop coûteux ou abattre ou vendre le cheptel, ce qui signe la fin de leur fonds de commerce. Laurent Duclos estime une baisse de production de fourrage de 20 à 30%. Face à cette situation sans précédent, Laurent Duclos, comme ses collègues, réclament une application stricte de la loi Egalim afin que les contrats soient respectés. Cette loi permet une rémunération plus juste des éleveurs puisqu’elle prend en compte le coût de production. Dans cette logique, la FNSEA demande une réactualisation mensuelle du calcul des coûts de production pour tenir compte de l’inflation. Les éleveurs réclament également des mesures fortes pour maintenir la filière laitière hors de l’eau. Cela passe notamment par une hausse de 20 centimes du litre de lait. Nous étions mobilisés jeudi 11 août devant les centrales d’achat dans l’Eure pour demander une augmentation du prix du lait dès la rentrée », raconte Laurent Duclos. Et puisque la sécheresse a fortement impacté la filière, les éleveurs demande à l’État de créer une cellule nationale de gestion de crise de la sécheresse pour l’agriculture. Nous attendons aussi des pouvoirs publics qu’ils expliquent aux consommateurs que pour conserver une production locale et française, il faut stopper les produits d’appels, en acceptant de payer plus cher. » Payé au SMIC pour 70 heures de travail »En attendant, en France, le prix de la brique est actuellement le plus bas d’Europe Nous sommes au même prix que la Pologne, lance Benoît. Ici, tout a été fait pour que l’inflation soit limitée au détriment du marché. Nous sommes donc à un peu plus de 4 %. En Allemagne, ce n’est pas un sujet. L’inflation gravite autour des 10 %, mais les agriculteurs sont payés au juste prix », poursuit Benoît. Dans ces circonstances, certains préfèrent jeter l’éponge Dans mon entourage, des agriculteurs se préparent ou envisagent de partir. » Et il les comprend Être payé à peine au SMIC pour 70 heures de travail par semaine, ce n’est pas possible ».Ce manque de considération pour la filière laitière risque même d’avoir un impact beaucoup plus grave Dans notre profession, la moyenne d’âge est de 50 ans. Il n’y a pas de renouvellement des générations. Beaucoup d’éleveurs se retrouvent à cinq ans de la retraite. Qui va les remplacer ?» Pour créer un nouveau cheptel, il faut entre deux et trois ans. Si les exploitations ne sont pas reprises, la pénurie de lait risque de s’intensifier Si on ne réagit pas, toute une filière va disparaitre. Il faut que tout le monde joue le jeu », martèle Benoît. Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Démocrate Vernonnais dans l’espace Mon Actu . 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Ventede Lait Cru . Etant une exploitation laitière avant tout, nous vous proposons de goûter au lait cru de nos vaches. Après la traite en respect des normes d'hygiène en vigueur, le lait est réfrigéré et conservé dans notre tank à lait. Nous vous proposons de déguster ce lait entier et cru directement à la ferme. Il est également idéal pour faire vous-même vos yaourts, vos
Rédigé par , le 8 Oct 2015, à 6 h 04 min Patrick Seguin est un homme convaincu. Né d’un père viticulteur et de grands-parents fermiers dans le Lot-et-Garonne. Il a toujours gardé de sa jeunesse une certaine nostalgie et un vrai savoir-faire. Au point de décider, après une première vie professionnelle comme artisan, de se lancer dans l’aventure de la Ferme de Tauziet et de prendre en charge l’exploitation des volailles et du potager. Avec la vente directe, il combat le diktat des grandes surfaces et s’insurge contre le tout discount. Comment ? Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus. Vente directe acheter local à des prix justes, c’est possible Des producteurs landais se sont regroupés et ont créé un site de vente en circuit court de produits du terroir, pour que le circuit court et la vente directe producteur constituent une solution durable permettant aux consommateurs et aux paysans de vivre mieux, individuellement, mais aussi ensemble ». Sur le principe d’une vente privée, comme pour le linge ou la cosmétique ils offrent la possibilité de commander votre volaille, boeuf, jambon, miel, épices, sur le même espace. Le fonctionnement est hebdomadaire le groupement sélectionne les produits, regroupe les commandes le dimanche soir et collecte les produits en circuit frais. En tant que consommateur il suffit de s’inscrire sur le site et de sélectionner parmi les ventes ouvertes les produits que l’on souhaite, de régler et de valider sa commande. Les colis frais et secs sont expédiés en 24 h le mercredi. Une communauté de producteur et d’agriculteurs La Ferme de Tauziet représente 39 producteurs aquitains soit plus de 300 produits volailles, truffes, boeuf, miel…. Qu’est-ce qui change vraiment pour le producteur ? Le groupement de producteurs rémunère les agriculteurs jusqu’à 4 fois le prix imposé par la grande distribution. Les tarifs ne sont pas négociés par le groupement. Les ventes se font sans qu’ils n’aient besoin de vendre directement sur les marchés, ou d’embaucher du personnel pour tenir une boutique alors qu’ils n’en ont pas les moyens. Patrick Seguin, producteur de la Ferme de Tauziet, nous répond J’ai rencontré beaucoup de monde ! Producteurs voisins et membres également, clients qui viennent retirer leur colis à La Ferme, gens du village qui ont envie d’en savoir plus et se sentent concernés et fiers de leur région. C’est un lien social nouveau qui facilite l’entraide et permet d’échanger sur des projets ou des bons plans’. J’ai ainsi trouvé un approvisionnement de pain dur que les boulangers du coin me garde afin de nourrir les poulardes que je vais sortir pour les fêtes. Ces volailles seront finies’ au pain et au lait pendant près de 3 semaines avant de les retrouver sur les tables de cette fin d’année. J’ai aussi rencontré des amateurs de bons produits. Cette convivialité est importante sans être essentielle. Elle rompt un peu l’isolement que chaque agriculteur vit au moins une fois, et me rappelle que même si cette vocation est difficile, c’est vraiment ce que j’aime avant tout ! J’ai aussi pris beaucoup de plaisir à retrouver mes volailles sur les tables des chefs étoilés de la région. Les voir cuisiner et sublimer avec talent mes volailles ou lapins est une fierté. J’ai aussi toujours autant de joie à savoir que la convivialité d’un déjeuner du dimanche se passe autour d’un poulet de Tauziet rôti. » Avez-vous réellement senti une amélioration au niveau de votre exploitation ? J’ai réussi à valoriser le meilleur de ma production et à me concentrer sur mon coeur de métier. J’ai mis en place de nouvelles parcelles, afin d’améliorer leur rotation et afin d’avoir une herbe dense en végétation et en insectes en permanence. J’ai un dialogue régulier avec mes partenaires la Ferme de Tauziet, ce qui m’aide dans des décisions concernant l’évolution des choix de volailles, mais aussi sur les tailles des lots en fonction de la demande. J’ai ainsi réussi à développer mon activité telle que je l’envisageais, c’est-à-dire tirer le meilleur du terroir sur lequel mon exploitation est implantée, chercher à faire la meilleure volaille, la pintade fermière comme on n’en fait plus, du lapin fermier de plein air. Ces échanges me permettent de rester serein sur ma production. Sans oublier cette passion pour la poule noire landaise dont j’ai enfin réussi grâce à mes associés et à Slow Food qui l’a référencé dans l’Arche du Goût, à domestiquer et à élever. Vous pourrez enfin la trouver sur les tables des grands chefs d’ici la fin de l’année. C’était un gibier très prisé au début du siècle dans les Landes, mais qui dit gibier dit sauvage’. À force de travail et de réflexion, nous avons réussi à mettre en place une poussinière, des reproducteurs et à les maintenir sur une parcelle de 4000 mètres carrés dont elles ne s’échappent plus. » Pensez-vous que ce soit une idée à creuser pour sauver notre agriculture ? Il y a beaucoup de chemin à faire avant de sauver l’agriculture ! Néanmoins il ne faut pas baisser les bras et cette initiative de La Ferme de apporte des solutions évidentes en terme de non-gaspillage ne sont abattues que les volailles déjà vendues et d’adaptation à ma capacité de production qui guide le rythme des Ventes et non pas l’inverse Mais ce qui est sûr c’est que les gens ont le choix de faire leurs courses autrement et de mieux consommer. L’exploitation non intensive en agroécologie est plus paisible à la fois pour l’environnent, pour les animaux et les cultures, mais aussi pour moi en tant qu’exploitant. Je me procure le maïs entier à côté de ma Ferme, mais j’ai fait le choix de le concasser moi-même, car il est plus riche ainsi. Je préfère sortir 200 volailles par mois en les faisant du mieux que mon savoir-faire et mon terroir me le permet que de gérer un lot de 10 000 têtes par semaine, dont l’alimentation et la croissance, sont totalement sont totalement automatisées ! » Connaissez-vous d’autres alternatives de ce type ? consoGlobe vous recommande aussi... Rédigé par Céline Maman, éducatrice spécialisée, bloggeuse pour Mam’conseils, toujours en quête de nouveautés et d’initiatives qui nous permettent de consommer... Voir sa fiche et tous ses articles Devenir rédacteur
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